Harmonie
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[Halo] Nol Akamee, vivre cette guerre.

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Message  Akamee Jeu 10 Juin - 22:26

>>>> Chapitre 1 : Un soldat, parmi tant d'autres. <<<<



La vie dans un croiseur n'est pas toujours facile.
On attend, infiniement que l'on débarque. On y mange mal.
j'ai jamais voulu être militaire.
Je m'appelle Nol'Akamee, je suis un soldat de la 8eme armée de colonisation et voici mon histoire.

" - Lève toi Nol, on va débarquer !
- J'arrive Lina, j'arrive... "

Lina'Inderee, ma coéquipière, on se connait depuis qu'on étaient à l'école. Elle est toujours impatiente de partir en combat. Cette fois ci, elle restera à l'arrière dans l'escorte du commandant pendant que sera dressé le PC. Moi, à l'avant pour nettoyer toute trace humaine de la région, au combat. Je ne sais pourquoi l'on devais avancer, tuer, coloniser, tout ce que je sais, c'est que les saints prophètes nous en avaient donné l'ordre.

Ainsi je rejoigni mon ghost, l'opération devait être rapide et efficace, elle le fût. Les humains rencontrés sur le chemins sont partis en vitesse... justement trop vite à mon goût car pendant la pause, je vit le rouge de l'armure de mon supérieur qui s'approchait de moi.

" - Un message pour vous soldat. Cela vient du commandant. "

Il avait un air atristé, pourquoi ? Mauvaise nouvelle ?
Je pris le message et le lu discretement.
Tout à coup, sans prevenir j'accouru à mon ghost et parti dans le sens inverse de notre mission.
Le sergent ne bougea pas... Mais un jeune soldat lui demandea :

" - Sergent, pourquoi est-il parti comme ça, à l'improviste ?
- Lisez le message qu'il a laissé sur place et vous comprendrais. "

Le soldat s'éxecuta.

Message du poste de commandement à mission de recherche et de destruction.
Les soldats que vous avez affrontés constituaient une diversion. Le poste de commandement à été attaqué durant votre absence.
Message spécial à l'attention du soldat Akamee : Votre coéquipière a été gravement blessée en protêgeant sa hierarchie. Elle a été conduite à l'hôpital de campagne du PC. Désolé.

Ainsi, je suis revenu à toute hâte au PC, et dans ces couloirs remplis de blessés, j'ai cherché Lina.
Devant la porte de sa chambre d'hôpital, le commandant qui semblait m'attendre.

" - Commandant, je suis venu dès que j'ai reçu le message, laissez moi entrer s'il vous plaît.
- Je suis désolé de devoir vous l'interdire.
- Pourquoi ne puis-je pas prendre des nouvelles de ma partenaire ?
- Elle a été gravement blessée par balle.
- Elle va se rétablir ? Dites moi que oui !
- ...
- Commandant ?
- Non. "

Ce "Non" pour moi, fût un déchirement, Lina, que je connais depuis tant d'année, une amie, une vrai...
Je sortis à pas rapide de l'hôpital, le commandant me rattrapa.

" - Où allez-vous soldat ?
- J'ai des comptes à regler avec des humains.
- Ne faites pas ça, N'y allez pas seul.
- Et pourquoi pas ?!
- Car c'est un ordre !
- Je n'est que faire de vos ordres !
- Je devrais vous mettre aux arrêts. "

Sans répondre je passa par le hangar et ordonna au technicien de brouiller la balise de repérage de mon ghost, à ma grande surprise il s'executa.
Puis je passa par l'armurerie.

" - Carabine, Sniper, Canon à plasma, Épée à énergie, je veux tout ce que je peut transporter, déduit ça de ma paye.
- Comme tu veux... Hum... il te reste encore beaucoup sur ta paye, autre chose ?
- Canon à combustible. "

Armé de multiples armes je désobéissa à l'ordre d'un supérieur et partis à la recherche du convoi humain responsable de la mort de Lina. Je croisea leur route et décida d'une embuscade un peu plus loin. Un rocher sur une colline, le convoi aller passer par un sentier dans la vallée. Cette vallée leur servira de tombe.

Les voilà ! Plus de temps à perdre, la vengeance doit avoir lieu, pour Lina.
d'abord le sniper, abattre les conducteurs des véhicules. Chose dîte, chose faite en quelques rayons bleutés, les pilotes étaient affalés sur leur volants, morts.
Le canon à combustible pour détruire le scorpion qui entre temps avait tiré un obus sur le rocher qui se trouver à quelques mètres de moi. Quand cela fut fait, je pris le canon à plasma et tira tout ce que l'arme donnner à tirer. Dans la fumée des véhicules, détruits, dans la marre de sang qui recouvrait le sol, j'empoigna ma carabine, pour les finir. De ces humains, ceux qui ont tué Lina, ne restaient que des bléssés qui n'étaient plus en êtat de se battre.
Ma carabine dans la main droite, je la braqua sur un blessé, il leva la tête.

" Pourquoi tant d'acharnement... ? "

Je ne répondit pas, ma seule réponse fut un tir de carabine l'achevant, sans même que je le regarde, il n'en valait pas la peine.
Je fût de même pour touts les marines blessés, un par un, je les ai tous tués.

Pendant ce temps au poste de commandement.

" - Commandant, il y a eu bataille un peu plus loin dans la vallée.
- Unités dans le secteur ?
- Aucun des nôtres...
- Où est la balise du soldat Akamee ?
- Ici...
- Préparez un phantom... "

Je regardais autour de moi, des morts, que des morts, étendus sur le sol, mon oeuvre, ma vengeance... sa vengeance...
Un phantom arriva sur les lieux, j'etais assis sur l'épave d'un véhicule léger ennemi, le commandant déscenda du phantom pour venir me voir.

" - Eh bien soldat, je vous avais prevenus.
- Je devais le faire commandant, je lui devais bien ça.
- Vous avez désobéis à un ordre directe de votre supérieur pour assouvir une vegeance personnelle, vous avez mis votre vie et notre sécuriter en danger. Soldats, mettez le aux arrêts et enmenez le là ou il ne pourra nuir à personne, ni à lui même... "

Akamee
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Message  Akamee Jeu 10 Juin - 22:27

>>>> Chapitre 2 : Un dilemme. <<<<



Je me souviens à peine de mon arrestation, deux soldats avec des armures assez originales et armés de hallebardes m'ont enmennés dans un phantom. On m'a dit que ce phantom se rendrait dans une prison militaire. J'ai dormis pendant tout le voyage, j'ai rêver, j'ai rêver d'elle... Putain ! Si j'aurait été près d'elle ce jour là ! Merde, j'aurais pu la protêger !

Je me suis reveillé, le phantom avait dépassé la prison.

" - Ou va t'on ?
- Dans la cité sainte "

C'est ce que me réponda un des gardes qui m'accompagnaient.

Je fût donc amener dans la sainte cité des prophètes, pourquoi ? J'allais le découvrir dans une salle très spéciale. Les portes de cette pièce étaient titanesques et gardées par 8 gardes armés eux aussi de hallebardes.
Je fit mon apparition, les gardes enleverent mes menottes et l'on m'odonna de m'assoire.
Il faisait sombre, seul la place ou j'etais assis était éclairée.
Soudain, une voix.

" - Nol'Akamee. Votre commandant, a parlé de vous aux principaux généraux qui nous en ont parlés en retour. Vous avez désobéis à un supérieur et commis un acte de vengeance personnel. Selon vous quelles sont vos véritables fautes ?
- Je n'est commis aucune faute selon moi, mes actes n'étaient point nourris d'un espoir de vengeance mais d'un respect en l'honneur de ma coéquipière tombée.
- L'honneur... Vos semblables ont toujours combattus pour l'honneur... Mais il se trouve qu'il n'est pas toujours la meilleure échapatoire dans un conflit. Si vous persistez à affirmer que vos actes ont étés commis pour l'honneur, nous avons aucun motif de vous retenir ici plus longtemps et vous irez rejoindre les guerriers de l'honneur... en prison. Nous avons... une proposition à vous faire. Battez vous pour nous, dans notre commando, vous assisterez l'Arbiter... jusqu'a ce qu'il meurt, ou que vous mourriez.
- Les missions suicides ? j'en ai entendu parler. Je ne sais pas si je suis fait pour ça...
- C'est votre seule échapatoire et ce dont vous voulez c'est de l'honneur ? Alors mourrez avec le plus grand des honneurs : Servir les prophètes.
- Puis-je sortir pour réflechir.
- Nous vous attendrons. "

Sortant prendre l'air, je faisais les cents pas. Accepter ? Refuser ? Rien ne me retient ici maintenant que Lina est morte.

" - Hé Nol ! Que fais tu ici ? T'es en perm ? "

Cette voix me semblait familière, en me retournant je pu apercevoir Onem, Onem'Inderee. Le frêre de Lina.

" - Je te salue Onem.
- Bah alors ça va pas ? T'es en perm ? Ma soeur est là aussi ? Ca fait super longtemps que je l'ai pas vue !
- Onem. Quand je me suis engagé avec Lina dans l'armée, je t'es fait une promesse.
- Celle de la protêger je sais, pourquoi ?
- Je... n'ai pas pu tenir cette promesse.
- Que veut tu dire ? Ou est ma soeur ?
- Morte. Je n'ai rien pu faire, si j'aurais su je... "

Violent... le coup de poing qu'il me donna fût violent. Sans me laisser terminé il se retourna et commença à marcher.

" C'est toi qui l'a poussé à s'engager, c'est entièrement de ta faute, je ne veut plus te revoir ! "

Je suis resté muet, du sang coulait sur mon visage, accompagné par des larmes.
J'ai courru rejoindre les prophètes, j'ai ouvert la porte avec fracas, presque en la défoncant du pied.

" - Quand est-ce que je pars en mission ? "

Akamee
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Message  Akamee Jeu 10 Juin - 22:27

>>>> Chapitre 3 : Un allié sur qui compter <<<<



" - Quand est-ce que je pars en mission ? "

La phrase qui signifie "oui".
Je me suis donc engagé dans les commandos des prophètes et peut être signé ma mort, sur cette phrase. De toute façon je n'avais plus rien à perdre.

Quelques jours plus tard, je fût recontacté. On m'a annoncer que j'aurais un coéquipier pour ma premiere mission. Ben voyons, j'espere qu'il ne va pas mourrir lui aussi, perdre mes coéquipiers, ne doit pas devenir une habitude...
Son nom, Kilso Moramee, me faisait penser à quelque chose ou plutôt quelqu'un. Ce que je savais de lui, c'est quil était en quête de la vengeance de quelqu'un qui lui était cher, lui aussi. Combien de relations, ont été brisées par les humains ?

J'alla à sa rencontre quelques minutes avant le briefing.

" - C'est toi Moramee ?
- Hmpf...
- Je te parle.
- C'est toi le nouveau avec qui je suis censé faire équipe ?
- Ok j'ai compris. "

J'ai l'impression que ça allais mal ce passer...

Notre mission ne paraissait pas simple :
- S'infiltrer en territoire humain.
- Reperer la base ennemi.
- Voler les renseignements importants.
- Causer la mort si nécessaire.

Un phantom nous amena, plus ou moins discretement aux frontieres des territoires humano-covenants, un véhicule nous attendait.
Mon "coéquipier" m'interrogea.

" - Tu sais conduire ?
- J'ai piloter des ghost durant mon apprentissage.
- C'est pas de ghost qu'il s'agit mais de ça. (Il pointa du doigt le véhicule)
- Une mangouste ?!
- Pour traverser le champ de mine sans craindre de danger. "

Superbe le bolide qui nous était livré, un véhicule léger, sans armement.
Je me dirigea donc vers le champ de mine, en essayant d'accelerer avec ce véhicule tout à fait obsolète. Au milieu du champ, un objet métallique est sortit du sol et commenca à faire "bip"

" - C'est quoi ça ?
- Fonce.
- T'es sur ?
- FONCE !!
- Accroche toi ! "

À toute vitesse, je traversa le champ de mine avec des explosions de touts les côtés.
Quand j'eut fini de traverser cet enfer, on s'arreta.
Kilso commença à inspecter les environs avec deux épées à energie.

" - Tu sais que t'as pas le droit à deux épées ?
- Et alors ?
- Ben t'es censé n'en avoir qu'une.
- Les deux ne sont pas à moi.
- En plus, ah oui je sais, t'as pas supporté la vie sans ton frère alors tu te balade avec ses épées.
- Et toi avec le fusil à plasma de ton équipière qui est morte en un clin d'oeil, tu peut parler.
- Vas y répete !
- Aucun problème, tu veut que je me débarasse de toi ?
- Je te fait mordre la poussière en rien de temps qu'il le faut pour le dire moi !
Kilso commença à renifler.
- Attend,
- Quoi ? t'as peur ?
- Chut, te retourne pas.
Il renifla encore une fois.
- Des ennemis, derriere nous, même pas 15 metres.
À trois, un... deux... TROIS ! "

On s'est retourné et on a tirer sans prendre la peine de viser. Ce fût laborieux, 4 morts, une patrouille sans doute.
Pendant que Kilso inspectait les corps, je vérifiais mes munitions. Quand il eût finis je lui posa la question :

" - Ils nous espionnaient ?
- Je ne sais pas.
- Tu crois qu'ils ont transmis nos positions ?
- Je ne sais pas...
- Tu crois pas qu'on devrais bouger ?
- J'en sais rien du tout !
- Comment ça t'en sais rien ?!
- TU COMMENCE À... "

Soudain un ennemi assez bizarre sortit d'un bosquet, il étais particulierement plus grand que ses semblables.
Il tenait une épée en métal et se jeta brusquement sur Kilso, lui entailla la jambe gauche avec son épée.
Kilso tomba a terre et poussa des hurlements, je dégaina mon epée à energie et commença à charger sur cet étrange personnage. Il disparut d'un coup en esquivant et se retrouva derriere moi sans que je sache comment. Je senti le métal de son arme me traverser le corps, puis plus rien... Tout est devenu sombre.

Akamee
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Message  Akamee Jeu 10 Juin - 22:27

>>>> Chapitre 4 : Les froides prisons humaines <<<<



Je me suis réveillé dans une salle sombre, solidement attaché à une table, Kilso n'était pas avec moi. Quelqu'un entra, des lumières s'alumèrent, m'aveuglant un court instant. L'humain m'approcha et me parla.

" - Bienvenue dans notre base, si c'est cela que vous cherchiez.
- Que s'est il passé ?
- Vous avez été capturé, vous et votre coéquipier et maintenant, vous allez répondre à nos questions.
- Bonne chance pour me faire parler ça ne sera pas facile.
- Eh bien disons que... à chaque réponse négative de votre part, c'est votre coéquipier qui en soufrira.
- Bonne idée, faites lui en baver, il m'emmerde de toute façon. "

Il fronçat les sourcils. Mais il me posa quand même diverses questions. Comment sommes nous entré dans le périmetre, Combien d'espions sont encore dans la zone, quels sont nos objectifs.
À chaque fois que je ne répondais pas, j'entendais les cris de douleur de Kilso, d'une pièce à l'autre. C'était horrible à entendre.

Après de minutes de questionnement, ce fût à mon tour de souffrir. Le super soldat qui nous avait fait prisonnier, entra dans la salle, toujours avec son sabre. On m'enleva mon armure supérieur et les protections des bras. Il posa lentement son sabre sur mon torse.

" - J'espere pour vous que votre ami répondras aux questions, lui.
- Sinon quoi ?
- Vous verrez... "

Il attenda comme une sorte de signal, et après quelques secondes, me regarda, et toujours aussi lentement, retira son sabre, à l'horizontal, me causant ainsi une légère entaille sur la largeur du torse.
Si c'est des cris qu'il voulait, je ne lui donna qu'une expression de visage, mais au fond de moi, c'était insupportable.

S'en suivit, de coups de poings, de fouets, des entailles sur toute la longueur des bras, cela semblait interminable...
Écorché sur une grande partie du corps, je tourna la tête vers la gauche, je vit mon sang s'écoulait sur la table, et dégouliner au sol.
Puis l'on me traina dans les couloirs jusqu'a ma cellule, je laissa beaucoup de sang dans ce long couloir.

Une fois en cellule, je vit Kilso qui était allongé à même le sol.

" - Kilso ? Kilso ?!
- Ouais...
Il avait du mal à parler et toussa quelques fois.
- Ca va ?
- J'ai l'impression qu'un destroyer m'est passé dessus... "

Kilso avait été d'abord brulé, ensuite presque noyé pour finir par des electrochoques.
Il était très mal en point. Moi je perdait encore du sang dans la cellule. Kilso m'annonça.

" - Ils vont nous executés demain. J'ai l'impression que nos chemins vont s'arrêtés ici.
- Pas question, on va s'echapper !
- J'ai pas l'impression de pouvoir marcher...
- Je te porterais ! "

Quand on m'a emmené dans ma cellule, j'ai pu observer le code d'ouverture, et ainsi en passant le bras à travers les barreaux, pus saisir le code au clavier mural prévu à cet effet.
La porte s'ouvrit et je me dirigea vers Kilso. Il metta son bras autour de mon cou.

" - Aller Kilso, courage, on y va. "

Dans l'espoir de mes dernieres forces, je le releva, et commença à marcher dans les couloirs en le transportant. Dans une chance énorme j'ai trouvé un boitier d'urgence où été entreposée une arme humaine. L'indicateur de munitions affichait 32. Je marcha

longtemps toujours en perdant un peu de sang dans les couloirs déserts.
Je suis arrivé jusqu'a l'infirmerie, ou se trouvait une humaine.
Sous la menace de mon arme, je lui ordonna de nous donner des soins. Braquée par mon arme, elle se mis à écécution.

Mes plaies fût refermées malgrés ma perte de sang énorme. Et l'adrénaline utilisée normalement par les marines fût injectée à

Kilso, lui redonna la pêche.

" - Woua, si la je peut plus marcher, je sais pas ce que j'ai !
- Ouais bonne nouvelle j'aurais plus à te porter comme un boulet.
- On en reparlera quand on se sera tiré d'ici. "

Par peur d'une alerte, je pris tout de même l'humaine en otage, et nous dirigeâmes vers le hangar.

" - Nol' attend !
- Quoi ?
- Je dois aller à l'armurerie et chercher mes épées.
- ... Bon, vas y, je reste ici.
- Je serais rapide. "

L'infirmière et moi, nous avons attendus, un bon quart d'heure. Puis Kilso arriva en courant avec ses épées.

" - Qu'est-ce que t'as foutu ?
- Cour ! Ils sont derrière moi !!
- Mais qu'est-ce que t'as foutu ?! "

Ainsi une course dans les couloirs, tout en tirant, quelques fois. Nous sommes arrivés dans les hangars, et nous volâmes un véhicule humain, armé d'une mitrailleuse cette fois. Je pris les commandes, nous ordonnâmes à l'infirmière de monter à côté et Kilso prit la mitrailleuse et s'occupa des arrières.

C'est ainsi que nous nous sommes évadés de cet enfer. Durant notre route, je capta un message de la base ennemi, grâce à la radio de bord.

" - Commandant Gordon, à touts marines du secteur 48. Des covenants, qui étaient emprisonnés dans notre base, se sont évadés avec ma femme en otage. Faites tout pour la retrouver, quant à eux, essayez de les avoir vivants, je leur réserve le châtiment qu'ils méritent. "

Kilso me regarda.

" - Bah bravo t'as enlevé la femme d'un haut placé ennemi.
- Comment j'aurais pu savoir moi ?! "

Notre otage ne parlait pas, elle devait être sous le choque, ou alors très calme.
Nous traversons le champ de mine, qui avec notre arrivée n'avait plus de mine, et arrivâmes au point d'extraction ou se trouvait la balise.

" - Kilso occupe toi du signal, moi je ligote la prisonnière.
- Ce ne sera pas nécessaire, je ne vais pas m'enfuir.
La prisonnière laissa s'échapper quelques mots de sa bouche, enfin.
- Comme vous voudrez, mais vous serez en détention, jusqu'a ce que l'on décide de votre sort. "

Si j'aurais su que nous avions non seulement capturé la femme d'un haut gradé mais en plus une scientifique importante pour les humains. Kilso me raconta que son frère avait rencontré le même obstacle, sauf que la capture d'une scientifique, n'était pas notre objectif. Nous avons échoués à notre mission.

Mais on pensais plus à se venger de ce super soldat humain plutôt qu'a la sanction que les hierarques allaient nous reserver.

Akamee
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Message  Akamee Jeu 10 Juin - 22:28

>>>> Chapitre 5 : Une perte grave <<<<



À peine revenus chez nous, nous avons du faire nos excuses aux prophètes pour avoir échoué notre mission. Néanmoins, la capture d'une grande scientifique humaine, nous a permis d'échapper à l'accusation d'hérésie.
Kilso et moins avont été mutés dans un régiment d'espionnage interne. On été envoyés dans des escouades, ou mêmes d'autres régiments, pour observer leur comportement, et dénoncer quiquonque serait susceptible de trahir les prophètes.

À notre grande surprise, on nous envoyas tout deux, dans l'escouade de choc commandée par l'arbiter, on devait l'espionner. Au début, Kilso et moi, trouvions ça absurde, l'arbiter, trahir les prophètes ? On va perdre notre temps...
Mais finalement, l'arbiter n'était peut être pas blanc comme neige. Il complottait, seul, avec les humains, contre les prophètes.

On a découvert ce complot en le suivant en discretion quand il été seul. Il avait sympathisé avec des marines.

Kilso stupéfait me dit :

" - T'as vu ça ? Les prophètes s'étaient pas trompé on dirait.
- Ouais, faut aller rapporter ça, prend des photos. "

Avec des clichés de cette rencontre, nous avions assez de preuves pour dénoncer l'arbiter de grave hérésie. C'est ce qu'on a fait.
Nous avons montré notre preuve aux très saints, ils nous ont donnés carte blanche, à nous deux, de traquer et tuer l'arbiter.
Deux contre 100, car l'arbiter avait sa garde, sans parler des humains.

Cette opération, devait être des plus secretes. Malheureusement, les traîtres étaient partout, et quelqu'un, au courant de cette attaque, alla prévenir l'arbiter. Nous ne le savions pas encore, mais Kilso et moi allions tomber dans un piège.

L'abiter nous donna rendez-vous pour parler de la prochaine opération, nous nous sommes dits que ce serait l'occasion de l'assassiner. Notre surprise fût grande, quand à notre arrivée, des humains étaient là pour nous accueillir.

" - Planque toi ! Me fit Kilso.
- C'est une embuscade ! Mais l'arbiter est là, je l'ai vu ! "

Nous étions cachés derriere des rochers, notre armement se résumé à des fusils à plasma et nos épées à énergies.
En face, ils avaient tout, des mitrailleuses, des lances roquettes, et l'arbiter, sans sa garde, était armé d'un fusil de sniper.
Je l'eût compris quand le tir de ce fusil, toucha de plein fouet Kilso, laissant celui-ci tomber à terre.

" - Kilso ?! Kilso répond ! "

Rien. Aucune réponse de sa part, il était allongé derriere un rocher à 20 metres du mien. Je courut entre deux tirs et arriva à son rocher, Kilso gisait devant moi, vivant, il essaya de parler, le sang qui s'echappait de sa bouche lui compliqua la tâche.

" - Kilso, tient bon, tu vas t'en sortir !
- N...Non. Accomplit notre... mission.
- Mais toi ?!
- Je vais rejoindre mon frêre, je suis mort en mission, avec honneur.
- Kilso ? Kilso ?! Kilso !!! "

Il est mort, Kilso est mort, j'ai encore perdu un coéquipier, comme Lina avant cela, ma colère monta contre tout être se trouva à proximité, ils l'ont tué, il l'a tué. Mon objectif n'était plus l'assassinat, mais la vengeance. Encore une fois.

Je me releva. Un marines, surement un gradé me demanda de me rendre, et de m'avancer les mains en l'air.

Oh ça oui, je m'avança... en dégainant mon épée.

" - Ouvrez le feu ! "

À ma vue, plusieurs marines, horrifiés, s'étaient enfuis, il en restait 3 qui me tirés dessus. Les balles atteignés leur cible, j'en reçus beaucoup, mon sang coulait, mais je marcha toujours mon épée à la main, pris sous la colère, je ne sentait pas leur attaques. Voyant qu'ils n'arriveraient pas à me tuer, les 3 marines, firent comme leur collègues et partirent vite.
Il ne restait que l'officier qui avait ordonné les tirs. Je suis arrivé devant lui, il recula, et dirigeant ça main vers son pistolet, pensant m'abattre de lui même. Je ne lui ai pas laissé le temps de s'éxecuter, et lui planta mon épée.

Un mort, il y allait en avoir un autre, l'arbiter m'attendait en haut d'une colline dans une base humaine déserte.
C'était la vengeance de Kilso qui comptait le plus, j'ai donc pris ses épées qui avaient servis à son frère.
Deux épées me seraient trop encombrant, je vais n'en utiliser qu'une seule.

J'entra dans le bâtiment, et déboucha sur une grande salle. L'arbiter était là, m'attendant patiemment.

" - Pourquoi ne vois-tu pas le mensonge des prophètes en leur obéissant au doigt et à l'oeil, que t'apportera le fait de réussir ta mission ?
- Maintenant je me contrefiche de ma mission, je suis ici en quête de vengeance, pour un ami que tu as fait tomber.
- Eh bien je suis désolé, de devoir te tuer toi aussi. "

En parfaite synchronisation, nous allumèrent nos épées. La salle était spatieuse, on a tournés, tournés chacun de notre côté attendant un signal. Le signal fût, une explosion se produisit, assez loin d'ici. La salle était spatieuse, l'arbiter était à environ 15 metres de moi, je courus le premier en sa direction pour lui hacenner un coup d'épée, qu'il para par le bas. Ainsi durant de longues minutes, les épées s'entrechoquaient, sans que personne ne prenne l'avantage. Mais, l'affrontement égal fût de courte durée puisque, en parant un coup de l'arbiter, je le désarma, envoyant son arme de l'autre côté de la pièce. Je tendit le bras dans sa direction, le menacant avec mon arme, grave erreur, il fit pareil que moi et me désarma.

Sans armes, notre combat allait poursuivre.
Je donna rapidement, un coup de pied partant de la gauche, contre toute attente, il attrapa ma jambe, et donna un coup de coude sur mon genou, la douleur était atroce, mais il fallait que je continu. Il essaya de m'avoir par une droite mais, faisant comme lui, j'ai attrapé son bras, l'ai amené vers l'avant et lui ai répondu avec un coup de genou. Le coup, violent lui fit cracher un peu de sang mais il ne s'arreta pas pour autant, il se redressa et en un coup de poing fulgurant, me mis à terre. Je saignais beaucoup plus que lui à cause de mes blessures causés par les humains. Il était debout pas loin de moi.

" - Alors, fatigué ? Veux-tu que j'ecourcice ta douleur ?
- Jamais. Jamais je ne laisserais tomber ! "

Sur ces mots, je le fit tomber à son tour d'un croche patte pendant que j'etais moi même à terre. C'était à mon tour de me relever.
Je le fit rapidement et le releva à son tour, il n'avais quasiment plus de force. Je le plaqua contre un mur, pris la seconde épée de Kilso, l'alluma et lui parla.

" - Maintenant, affronte ta mort.
- Les prophètes te mentent !
- Ca... c'est pour Kilso. "

Je lui enfonça l'épée dans l'abdomen, encore, encore, un autre coup, je voulait être sur de venger Kilso.

Lorsque je laissa tomber son cadavre, son sang avait innondé le mur sur lequel je l'avais plaqué.
Je me souvint tout à coup de ma mission. Je traina le corps sans vie du traître, dehors, le posa à côté de celui de Kilso, et appela un phantom.

L'un de ces corps sera exposé dans la cité sainte, l'autre sera dans un cercueil luxueux. J'enverrais mes condoléances, à la famille Moramee, pour la perte de leur second fils.

Akamee
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Message  Akamee Jeu 10 Juin - 22:28

>>>> Chapitre 6 : La révélation <<<<



Plusieurs jours sont passés depuis ma victoire, je suis couvert de gloire, pour une fois, le cadavre du traître à surement étais exposé puis ils ont dût s'en débarasser... Dommage, j'aurais aimé un trophée.
J'etais installé dans les appartements de l'arbiter, vu que maintenant, ils étaient vides. C'était luxueux, bien plus que ma cabine à bord du destroyer où j'ai commencé.

J'ai rencontré une ravissante femelle, mais elle me semble un peu trop attachante, et je suis un soldat auquel on confit des missions à hauts risques. Une résidence, de la gloire, il me manquais, quelque chose, ils ont enterrés Kilso hier.
Je semblais avoir l'une des plus belles vie de la cité, mais elle fut courte quand on frappa à ma porte au nom de la grande garde.

C'était les même gars qui m'avaient arrêtés une première fois, et leur présence chez moi laissait dire qu'ils ne venaient pas avec de bonnes attentions.

" - Nol'Akamee, j'ai le regret de vous informer que je dois...
- Sur l'ordre de qui vous permettez vous de venir m'arrêter chez moi ?
- Oh il ne s'agit pas là d'une arrestation, mais d'une élimination.
- Puis-je savoir qui veut ma mort ?
- Ordre des très saints, à cause de l'arbiter, vous savez trop de choses comprometantes à l'égard des grands prophètes. Je suis navré. "
- Pas autant que moi ! "

J'ai réagi au quart de tour, et activé mon camouflage, pour passer le garde qui se trouvait devant moi, deux autres, bloquaient la porte.

" - Rendez vous à l'évidence, vous ne pouvez pas fuir. "

J'ai tout de même fuis, par la fenêtre, le problême était le sol, 3 étages plus bas. Je me suis mal receptionné, mais je me releva, et en boitant, j'ai fuis.

Fini, le luxe, la gloire, j'était maintenant recherché, dans toute la cité.
Aparemment l'arbiter n'avait peut être pas tout à fait tord. Mais il était trop tard pour raisonner là dessus, il fallait fuir la cité, pour aller là ou ils auront assez de mal à me trouver, sur Terre.
Heureusement, la garde était limitée en effectif et la cité, très grande.
J'ai volé un phantom, je ne pouvait faire plus discret comme évasion. Arrivé sur Terre, j'ai sauté du phanthom à une altitude respectable, pour ne pas aggraver, ce que je m'était fait en fuyant. Le pilotage automatique étant activé pour passer au dessus d'une base humaine, je put me débarasser du phantom.
Je me cacha dans une forêt à la limite des territoires humano-covenant. J'avais un choix à faire, perdre mon honneur en trahissant l'alliance pour m'allier avec la vermine humaine, ou me livrer aux forces covenant les plus proches pour finir ma vie en prison.

Il fallait que je reflechisse, j'étais épuisé de ma grande cavale et je me suis assoupi contre un arbre, au milieu d'une forêt que je ne connaissais pas. Cependant, mon somme fût écourcit par un bruit bizarre, je n'avais que mon épée sur moi, enfin, l'épée de l'arbiter, qui me servait d'unique trophée de guerre. Le dos contre le tronc de l'arbre, je regardais, à gauche puis à droite.

Rien du tout ? J'ai pourtant entendu un bruit. Là, devant moi, soudainement, sans que je m'y attende, apparut quelqu'un qui m'etais familier. Le super soldat de la base humaine, toujours armé de son sabre.

Je n'eus pas le temps de bouger qu'il se precipita vers moi pour me mettre les mains au cou. À ma grande surprise, il arriva à me soulever, un humain qui soulevait un Élite, ce soldat était vraiment étrange.

" - La...lachez-moi tout de suite !
- Chuuut... Suis moi sans faire de bruit, ou sinon tu peut apprendre à mieux connaître mon katana... "

Vu qu'il utilisait des arguments de taille, je le suivit jusqu'a un vieux rocher, recouvert de feuillages, perdu entre quelques arbres.

" - On y est, passe le premier. "

Il actionna une sorte de branche et une porte s'ouvrit dans le rocher, je resta perplexe.
Il m'amena dans une sorte de base désaffectée sous la forêt, et la tout aussi surprenant que ce soldat, une aute silhouette apparut au fond du sombre couloir. J'arriva à proximité, et la, stupeur.

" - Vous ici ?! Mais vous êtes mort ! Je vous ai moi même tuer !
- J'ai cru que j'allais mourir moi aussi, et les prophètes m'ont également crus mort et se sont débarassé de mon cadavre dans cette forêt. Heureusement pour moi ce spartan, m'a sauvé. Je lui dois la vie, quant à toi, tu as failli me tuer.
- Je vous ai donné 4 coups d'épées, personne, même vous ne peut y résisté !
- Je ne peut pas non plus expliqué ma survie. "

L'arbiter. Ici ! Vivant ! En pleine forme !
Je n'en revenais toujours pas...

" - Il me semble que tu as quelque chose qui m'appartient. "

Il s'approcha de moi et me repris l'épée. Paralysé par la peur, et l'incompréhension, je n'ai même pas remarqué qu'on m'otait mon unique arme.

" - Suis-moi, j'ai à te parler. "

Sans parler, sans afficher d'expression, je le suivit, en baissant la tête. Finalement, je n'avais pas réussi à tuer l'arbiter.

Mais ça n'était plus le moment d'y penser. Il me mena dans une salle, qui semblait être un bureau.

" - Ca va ? On dirait que tu viens de voir un revenant.
- C'est le cas...
- Je ne suis pas un mort, et je doit t'avouer que ton style de combat est imparable.
- Qu'attendez vous de moi au juste ?
- J'ai appris que tu étais recherché.
- Et comment le savais vous ?
- Je suis bien informé, mais là n'est pas la question. Je veux que tu collabore avec les humains et plus précisement avec moi.
- Les prophètes avaient bien raison, tu as bel et bien trahis l'alliance.
- L'alliance, le voyage... tout ça n'est que pur calomnie. Un mensonge pour rallier toute les races aux pieds des prophètes.
- Si vous le dîtes. Que se passera t-il si je refuse votre offre ?
- Eh bien, je n'aurais d'autres choix que de mettre fin à tes jours, ici et maintenant, à mon grand regret.
- J'ai failli vous éliminer une fois, n'essayez pas de me provoquer une seconde fois.
- Est-ce un défi ?
- Non. Nous verrons. "

J'avais encore plus envie de le tuer, il ne me respectait pas du tout, alors que même sans mon arme, je pouvais le tuer.

" - Ta réponse ?
- Je peut réfléchir ?
- Non.
- Eh bien puisque vous m'y obligais, je n'est d'autres choix que d'accepter.
- Bien, pour prouver ta collaboration, nous allons te confier une mission.
- J'écoute "

Le... "spartan" entra dans la salle, toujours avec son sabre sur le dos, cet étrange personnage me donnais frisson à chaque fois que je le voyais.

" - La scientifique que ton pote et toi avaient capturés dans la base "secrete".
- D'ailleurs, comment va ton coéquipier ? Coupa l'arbiter.
- Tu le sais très bien, tu l'as tué, et c'est pas parce que je suis maintenant en "collaboration" avec toi, que je ne tenterais pas de te tuer à chaque occasion.
- Bon, merci de ne plus me couper, arbiter.
- Désolé.
- Je disais donc, il va falloir que tu récupère la scientifique.
- Mais elle est sur Grande Bonté !
- Non. Elle a été tranferée sur Terre, dans une base covenante, pas très lointaine.
- Bon, eh bien d'accord, je la ramene, et vous m'emmerdais plus.
- Bien... l'arbiter va te mener jusqu'a la porte. "

Je retournais dans les sombres couloirs de la base cachée avec ma première mission CONTRE les covenant.
L'arbiter s'arreta à la porte et me parla d'un tout autre ton.

" - Je n'ai pas pus rallier tout nos frêres dans nos rangs. Tu va devoir tuer des Élites.
- J'essairais de causer le moins de morts possible, en même temps, sans armes...
- Improvise. et au faite ?
- Oui ? "

Je m'en doutais, il m'a appelait, je me suis retourné et il m'a frapper au visage.

" - Ca me demengeais depuis longtemps. "

Il se retourna et parta.
Me voila à nouveau en pleine forêt, je devais trouver la base, y penêtrer, liberer la prisonnière et partir.
Pour changer... Sauf que cette fois, ce ne sont pas des balles mais du plasma que je devrais encaisser. Et les brutes ne sont pas aussi indulgeants que les humains, ils ne me feront aucun cadeau...

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Message  Akamee Jeu 10 Juin - 22:28

>>>> Chapitre 7 : Une révolte se prépare <<<<



Ca paraissait plus facile d'infiltrer une base covenant en étant un covenant, mais en tant que fugitif, j'étais déclaré comme "individu dangereux à abattre". Cette notoriété allait beaucoup compliquer ma tâche. Mais mon fidele camouflage me permetta de passer les quelques gardes qui se furent être des grognards faisant la sièste. Dans le bloc carceral de la base, la cellule de la prisonnière était gardée par un frère. Il fallait que je le neutralise, sans le tuer. J'ai pas cherché par quatres chemins, j'ai foncé sur lui et en lui plaqua la tête contre le mur, j'ai réussi à l'étourdire pour un petit bout de temps.

J'étais en train de forcer le code d'ouverture de la cellule, quand j'entendis le bruit d'une épée à énergie s'activée derriere moi.

" - Reste où tu es Nol, ne fais plus aucun geste.
- Onem ?
- Qu'est tu en train de faire ?
- Je vais liberer l'humaine Onem, laisse moi passer.
Il remonta son épée au niveau de mon visage.
- Je ne te laisserais pas quitter la base qui est sous mes commandes, comme ça. Tu es recherché mort ou vif, heureusement tu es tombé sur moi. Gardes ! Préparez un phantom en direction de Grande Bonté !
- Ne commet pas cette erreur Onem, les prophètes ne sont pas tout à fait ce qu'on pense qu'ils sont.
- Et en quel honneur devrais-je croire quelqu'un qui n'a pas su tenir une promesse ?
- Je suis profondemment désolé pour Lina, tu le sais, je n'est rien pu faire. "

Notre conversation fût coupée par un garde extérieur de la base.

" - Chef Inderee ! Des brutes autour de la base ! Les grognards ont demandé le motif de cette visite et ils les ont attaqués, on essuis des tirs nourries ! C'est une haute trahison !
- Quoi ?! Les brutes nous trahissent ?
- Affirmatif, ils ont reçus un odre des très saints, c'est un complot, il faut faire quelque... Argh !!!!

- On a perdu la liaison.
- Je t'avais prevenu.
- D'accord, attend. "

Onem enclencha la communication d'urgence de la base.

" À toute les unités Sangheilis à la base, preparez vous au combat, les brutes, sous l'ordre des prophètes, ont étés envoyés pour nous éliminés dans notre plus grande surprise. Eliminez les brutes près des hangars, nous allons évacuer vers...

- Ou allons nous Nol' ?
- Aller vers les bases humaines du secteur, elles seront prevenus.
- Bien... je transmet.
- Merci Onem. Merci beaucoup. "

L'arbiter avais donc raison. Maintenant nous n'allons pas nous laisser faire par les brutes. Nous allons nous battres. Dépassé par les evènements j'avais oublier la prisonnière qui commencais à partir en douce dans les couloirs.

" - C'est pas bien de tenter de nous fausser compagnie.
- Laissez moi partir.
- Bien sur, nous vous ouvrons la porte principale et vous offrons aux brutes qui sont dehors, vous voulez bien ?
- ...
- C'est ce que je pensais. Suivez moi. Onem ? Qu'avez vous pour évacuer ?
- 6 phantoms, ca devrait suffir.
- Amplement oui. Allons y ! "

Nous avons donc fuis la base, qui été assiègée par des une armée entière de brutes. On auraient pas pu rivaliser.
Nous avons rejoins une des base parincipale des marines, l'arbiter s'y trouvait ainsi qu'un Élite en armure argentée avec lui. Les phantoms débarqués de troupes j'ai donc rejoins l'arbiter au poste de commandement.

" - Bravo Akamee, cette humaine est très importante.
- Je ne vois pas en quoi mais là n'est pas la question. Pourquoi les brutes nous ont trahis ?
- Ce n'est pas les brutes, mais toute l'alliance qui nous a tourné le dos. Déclara l'Élite argenté.
- Et a qui ai-je l'honneur ?
- Akamee, voici le commandant Vadumee, un vieil ami à moi. Il est arrivé en orbite terrestre après que sa flotte ai été attaqué par les vaisseaux brutes.
- Enchanté, commandant.
- De même, j'ai été informé de votre histoire, et j'aurais une ou plusieurs mission à vous confier.
- J'écoute. "

Là je crois qu'on pouvait le dire, j'avais vraiment changé de camp. Mais bon, au moins, j'allais pouvoir retourner dans l'armée régulière.

" - Une base brute, implantée dans un point stratégique, empêche nos destroyers d'entrer dans l'orbite terrestre. Elle est équipée de dizaines de blindé DCA et d'une armée de l'air brute très expérimentée. Il faut absolument détruire cette base. Avez vous déjà piloté un chasseur ?
- Nol sait tout faire, commandant. Déclara Onem qui fit son apparition dans la salle.
- Très bien, vous serez touts les deux dans l'escadrie de choc. Akamee en tant que leader et vous, Inderee en tant que co-leader. Détruire cette base sera votre unique objectif. Vous serez bien armés. Et sous l'escorte d'un destroyer, du moins jusqu'a la limite des tirs de la DCA.
- Bien commandant. "

Onem, mon 3eme coéquipier. Je ne supporterais pas de le perdre. Il est mon dernier rempart.
Nous avons été amenés dans un destroyer d'assault en phantom. Là attendais le reste de l'escadrie. Leurs noms ? Top secret. Ils répondaient à : 1.3 / 1.4 / 1.5 / 1.6 / 1.7 et 1.8.
Moi j'étais 1.1 ou 1 leader, Onem était 1.2. L'escadrie de choc, avait déjà accomplie beaucoup de bombardmeents lourds sous la DCA humaine, l'attaque d'une cible covenante sera pour eux une première.

Onem et moi avont faits plus ample connaissance avec l'escadrie. Ce qu'ils avaient fait était impressionant. Même si l'escadrie de choc rassemblait au départ plus de 75 pilotes, ces 6 survivants, étaient prêts à tout pour réussir leurs mission.

" - Ordre de rassemblement au hangar pour l'escadrie de choc, nous atteignont l'objectif, bonne chance frères. "

Le signal, fût donné.

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Message  Akamee Jeu 10 Juin - 22:29

>>>> Chapitre 8 : Supériorité aérienne <<<<



Chacun notre tour, nous sommes montés dans nos chasseurs, et moi le premier, sommes partis dans les airs. La cible n'était pas loin, mais l'escadrie ennemi allait nous donner du fil à retordre.

" - 1 leader à tous les chasseurs, formation en colonne, rase-motte au dessus de l'eau pour brouiller les radars.
- 1.2 bien reçu.
- 1.3 engagement.
- 1.4 engagement.
- 1.5 engagement.
- 1.6 engagement.
- 1.7 engagement.
- 1.8 engagement. Euh... 1.8 à 1 leader, regardez 600 pieds plus hauts. je vois quelque chose.
- Affirmatif 1.8, des chasseurs ennemis, j'en vois 3.
- Ils font des manoeuvres bizarres 1 leader. Bon sang, ils ont rejoins le reste de leur escadrie !
- 1 leader à tous les chasseurs ! Escadrie ennemi au dessus, ils foncent sur nous, rompez la formation ! Bordel combien y'en a ?!
- Y'en a 50, 1 leader !
- Bien reçu 1.2, on attaque ! 8 contre 50, ça me semble équilibré ! À tous, ouvrez le feu ! Descendez moi ces brutes !
- 1.2 confirmation pour attaque, en ligne décolée, on décroche à gauche et on remontes. "

Les combats aériens, j'en ai toujours rêver. J'aurais jamais pus imaginer que c'était aussi compliqué.
Des tirs fusaient tout autour, on devaient faire des manoeuvres d'évitements pour éviter les projectiles à plama et le nombre de nos ennemis nous compliquait la tâche.

" - 1.3 missiles tirés !
- 1.4 missiles tirés.
- Putain ! Ca fait 4 points pour 1.4 !
- Prends en de la graine 1.3, héhéhé... Merde ! 5 chasseurs derriere moi, feu nourries, j'arrive pas à les éviter.
- Tiens bon 1.4 j'arrive. je suis juste derrière toi je dégage les chasseur du centre... Et voilà ! Coupe tes moteurs
- Quoi ?
- Coupes les ! Et rallumes les quand tu sera derriere eux.
- Moteurs coupés... Moteurs redemarrés, haha ils ont rien compris.
- Feu !
- Bien joué 1.3 je te doit une fière chandelle.
- C'était normal 1.4 mais tu me doit 5 points.
- 1.7 en danger, y'en a 9 derriere moi, ils me collent au train, j'ai perdu l'aile gauche, Non je part en vrille !
- 1 leader à 1.7 ejectez vous avec votre jet pack !
- Jet pack coincé ! Aller ! Aller ! Rien à faire je vais m'écraser !!
- ...
- Bon sang on a perdu 1.7 !
- J'ai vu 1.2, j'ai vu... Bon on en a eu la moitié mais on a subit une perte. 1.2 prenez le commandement et repliez vous avec l'escadrie.
- Et vous 1 leader ?
- J'ai un plan.
- 1.2, escadrie en manoeuvre... 1.1 ! Derriere vous ! 10 non 15 chasseurs ennemis ! Nol dégage de là !
- Négatif 1.2, Onem, replie toi sur le destroyer avec les autres, ces 15 chasseurs seront ma couverture pour passer là DCA.
- Tu vas attaquer la base ? Tout seul ?
- Mes missiles ont étés remplacés par une tête nucléaire humaine, mais mon lanceur à été endommagé, il va falloir que je crash mon vaisseau.
- Tu es fou ! Nol ne fait pas ça ! Nol ? Merde, il a coupé la communication ! Bon escadrie 1 on se replie. "

Je suis arrivé dans la zone aérienne de la base ennemi et me suis lancé à pleine vitesse, vers le centre celle-ci.

" - J'ai un petit cadeau pour vous ! "

>>>>>>> Liaison coupé... Fin du récit raconté par le sujet <<<<<<<
Sujet : Nol Akamee
Taille : 2m42
Chef d'escadrie
Présumé mort.


>>>>>>> Images prises par drone traqueur. <<<<<<<
Acivités nucléaires détectées. Cratère d'environ 150 metres.
Traces de vies : Erradiqués.
Scan des zones alentour...
9 empreintes trouvés: 8 Jiralhanae, 1 Sangheili.
Visionnage des images.

" - Le voilà ! Attrapez le !
- Nous l'avons !
- Tenez le bien, il va goûter à mon marteau ! Tient !
- Argh !
- Tient encore !
- Ahh...
- Aller on va l'amener aux prophètes, ils sauront quoi en faire !
- On peut le tabasser pendant le voyage ?
- Faites vous plaisir. "

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Message  Akamee Jeu 10 Juin - 22:29

>>>> Chapitre 9 : La fuite après la honte <<<<



>>>>>>> Reprise de l'hitoire racontée par le sujet <<<<<<<
Sujet : Nol Akamee
Taille : 2m42
Chef d'escadrie
Prisonnier de guerre



C'était pour moi, comme un retour à la case départ, le retour à Grande Bonté, sans savoir si j'en ressortirais un jour. Dans le phantom, les brutes ne me laissais pas une seconde de répit, ils avaient là à côté d'eux, un punching ball gratuit, ils allaient pas s'en priver.

Arrivé dans les hangars de la cité, j'ai été accueilli par la garde des prophètes. Ce n'était plus des Élites, les brutes nous ont tout pris. Pour la seconde fois, dans la même cité par les mêmes personne, j'allais être jugé.

>>>>>>> Du côté de la Terre <<<<<<<

" - Vous avez des nouvelles de Nol ?
- En effet Inderee, votre ami à été capturé, il est en ce moment, dans Grande Bonté.
- Ils ne vont pas le laisser s'en tirer, j'en suis persuadé...
- En effet, d'après mes sources, Il sera marqué du fer de la honte et executé le landemain sans conditions. Je suis désolé.
- Vous n'y êtes pour rien Arbiter. Il a toujours joué les héros, d'ailleurs je crois que c'est ce qui l'a maintenu en vie jusqu'a maintenant.
- Ils n'auront pas le temps de l'executer. Intervena Vadumee.
- Pourquoi cela commandant ?
- Oui explique nous R'tas.
- Le parasite. Il se rapproche de la zone où Grande Bonté est à l'arrêt pour le moment. À coup sur, la cité sera touchée. Si votre ami est si chanceux et fort qu'on le dit, il saura s'échapper quand la ville sombrera dans le chaos.
- Mais le parasite ? Une fois dans Grande Bonté, il pourra se déplacer où il le souhaite et de plus avec invisibilité !
- Oui Arbiter, mais j'ai préparé une flotte pour le tenir à l'écart, ne t'inquiète pas, je sais à quel point le parasite peut être dangereux. C'est du vécu, pour moi.

>>>>>>> Sur Grande Bonté <<<<<<<

Encore aujourd'hui, je resent la douleur de cette marque. Comme ci la chaleur du fer, ressurgissait infiniemment. J'étais seul, dans une cellule sombre, je n'avais plus d'armure, je n'avais plus de dignité, d'honneur. Je me sentais partir. Demain je vais mourrir. Vais-je revoir Lina et Kilso ? Surement pas. Il parait que cette marque maintenant imprimé jusqu'a ma mort sur ma peau, est mon ticket voyage pour les enfers. Maintenant où j'en suis, mourrir, est ma seule échappatoire. Je vais mourrir, je veux mourrir.

Voilà que ma volonté m'abandonne, je repense sans cesse au moment ou le fer, rouge fumant, à touché ma peau, les cris de joies tout autour. Je tremble, c'est surement la peur. Mais un second tremblement me fit remarquer que quelque chose d'étrange s'était produit. Autant ma cellule, sans fenêtre était isolée, j'entendais tout de même l'alarme d'urgence de Grande Bonté. Que se passe t'il dehors ? C'est ce que toute personne logique se serait demandé. Mon moral plus bas que terre, je n'avais plus aucune logique en moi. Plusieurs minutes plus tard, des cris étranges ont accompagnés l'alarme. On m'ouvrit la porte, une brute gravement blessé se tenait devant moi avec une hallebarde.

" - J'ai ordre de tuer touts les condamnés en urgence alors fais tes adieux au monde des vivants, haha ! Argl... "
- Lui, il est mort ! Ca va ?
- Ouais, ouais... Merci qui es-tu ?
- J'étais dans les Spec Ops avant d'être condamné pour tentative d'assassinat sur un hièrarque, je m'appele Nae Jnillee.
- Content de te voir... Que se passe t-il ici frère ?
- Je reconnais cette façon d'attaquer, c'est le parasite, il est ici.
- Ici ? Sur Grande Bonté ?
- Il a déjà pris le contrôle de la cité et de quelques vaisseaux de la flotte de protection. Il faut fuir, il doit y avoir un phantom dans les hangars.
- Allons y alors, je ne veut pas rester ici.
- Prend la hallebarde du garde que j'ai tué, fais attention, sans armures on peut très vite mourrir. "

Mon nouvel ami et moi, nous sommes dirigais vers les hangars pour trouver un phantom, sur les chemins, des centaines de cadavres, mais pas de traces de parasites. Jusqu'à...

" - Voila la porte du hangar B, je l'ouvre...
- C'est quoi ces trucs ?!
Nae alluma son épée à énergie.
- Recule ! Ces petits trucs, ce sont peut être nos prédateurs.
- Bon sang ca grouille de partout.
C'était jaune-brun, ca rampait... c'était étrange.
- Avance... doucement, y'a un phantom là bas.
- Ok... aller... On y est presque...
Les petites choses se mises à attaquer.
- Cour ! Vite ! Te retourne pas.
Je courut sans regarder ce qui nous poursuivait vers le phantom, j'entra le premier et le démarrais pendant que Nae fermer le sas ventrale.
- Y'en a qu'un qui est passé, aller reste tranquille que je te découpe... Tient ! Qu... y'en a un deuxième !! Ahhh !
- Que se passe t'il ? J'arrive !
Nae était par terre en train de se faire attaquer par une de ces choses. J'intervint le plus rapidement possible pour enlever l'abomination de là. Il était coriace, il s'accrocher à Nae et ne semblait pas vouloir le lâcher. J'y est mis toutes mes forces pour le sauver. Et alors que je ne m'y attendait pas, la bête relâcha son étreinte pour s'accrocher à mon bras. C'est alors que, par un grand et ultime reflexe j'ai abattu mon bras violemment contre la paroi du phantom éclatant litérallement la monstruosité dessus.
- Ca va ? Bon sang c'est pas beau à voir, t'es bien ouvert.
- (toux) Ouais, mais je crois que je vais m'ensortir, (toux) enfin j'espere...
- Tient bon je nous ramene sur Terre, tu y seras soigné.
- (Parlant avec difficulté) Quel est ton nom au faite ?
- Nol Akamee.
- Merci, Nol...

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Message  Akamee Jeu 10 Juin - 22:29

>>>> Chapitre 10 : Un nouvea départ <<<<



J'avais reglé le pilotage automatique pour rejoindre la base. J'ai vérifié l'état de santé de Nae, il semblait allait bien, malgrès des blessures graves. Je me suis confortablement installé dans un coin du phantom et commencé à penser.

Quand je me suis engagé dans l'armée, j'ignorais tout de mon habilité au combat. Même si durant mon enfance, mes parents m'ont envoyés chez mon oncle, pour qu'il m'aprenne à me battre à la façon propre des Akamee. Mon oncle, était d'une méchanceté sans limite, qu'importe que je sois son neveu, pour lui, il voulait faire de moi le meilleur combattant, de la famille. Des entrainements très durs, des journées entières sans manger ni voir le monde extérieur, c'était ceci ? Être un guerrier ?
J'ai découvert mon vrai côté quand j'ai été traduis en justice, un jour, pour avoir assassiné mon oncle. Il avait fait de moi un combattant, il avait bien mérité le repos éternel. Maintenant qui suis-je ? Un Élite, à la recherche d'une vengeance sans limite ?
Tout ce que je sais, c'est que faire couler le sang des autres, alimente le mien. Les horreurs de la guerre, sont devenus mon quotidien. Comme je l'ai dit, je suis Nol Akamee, unique fils de ma génération, et je ne compte pas finir mon histoire en restant inconnu.

J'ai étais réveillé par le bruit du pilotage automatique qui m'informait que l'on arrivais. Nous avons été accueilli par une équipe médical, mais je n'avais besoin d'aucun soin, par contre Nae, lui, en avait grandement besoin.
Puis la porte d'un ascenseur s'ouvrit laissant apparaître le commandant Vadumee, l'arbiter et Onem. Bizzarement, le spartan, lui n'était pas là.

" - Vous vous en êtes sortis, Akamee.
- Oui commandant, même si j'aurais préferé m'enfuir avant.
- La marque de la honte de doit pas détruire ton moral, Akamee, j'en ai l'experience.
- Je vous crois Arbiter. Mais c'est une douleur qui remonte chaque jour.
- Et elle sera toujours là. Tu t'y habituras.
- Je l'espere. Où est donc passé votre ami le spartan ?
- Nous perdons des elements importants, chaque jour, Nol.
- Que voulez vous dire ?
- Son escouade est tombée dans une embuscade, personne n'en a survécu.
- Et vous n'etes pas choqué ? Arbiter ? Vous venez de perdre un "ami".
- J'ai perdu beaucoup plus que cela, mais c'est plus personnel.
- Je vois. Commandant, je suis près à reprendre le combat dès que possible.
- J'en suis ravi, passez à l'armurerie, comme nous savions que vous reviendrez, j'ai fait entreposer une armure spéciale dans votre local personnel.
- Je m'y rend. "

Me revoila en fonction, j'allais chercher ma nouvelle armure, l'ancienne était de toute façon, bien poussièreuse...
Armurerie, local 4, Nol Akamee, j'y suis. Mais ?! Quoi ?!
Je dois être fatigué, mais c'est bien écrit sur la porte : Nol Akamee - Commandant
Je suis efficace, oui, je suis toujours prêt à partir en mission, oui, mais de là à me mettre commandant ?
Bref, j'entra dans le local, et vis resplendir de milles feux, posée sur son socle, l'armure argentée qui était maintenant en ma possession.
Enfin, enfin je suis un peu reconnu pour mes capacités...

>>>>>>>> Pendant ce temps, au poste de contrôle <<<<<<<<

" - Les humains ne se doutent pas que le portail va être activé ?
- Non, une fois qu'il le sera, la majorité des vaisseaux se rendront à proximité, le temps d'expliquer la chose aux humain. Mais il va falloir laisser le Shadow Of Intent à l'arrière. Mieux vaut prévenir que guerir.
- Bien. Quand nous aurons traversés le portail, on peut être sur de tombé sur la flotte principale du prophète.
- Quand on sera à potée de l'arche, Akamee et moi partiront avec plusieurs phantoms, comme frappe secondaire, les humains y enverrons le Démon avec quelques asco. R'tas, vous resterez à proximité avec le Shadow Of Intent, après avoir éliminé la flotte covenante.
- Rien de plus facile pour moi, que d'éliminer une flotte. "

Je fit mon apparition dans la salle avec ma nouvelle armure, Onem qui était dans un coin n'en croyait pas ses yeux.

" - Nol ?! Wouaaah ! Magnifique ton armure.
- Merci Onem, mais je n'aurais certainement pas ton armure sans ton aide, d'ailleurs je serais plus ici, sans ton aide.
- Ce n'est rien Nol, je sais que Lina aurait voulu que je t'aide.
- T'as des nouvelles de mon ami qui m'a sauvé sur Grande Bonté ?
- Il est dans un êtat stable, mais il va devoir récuperer un bon bout de temps avant de pouvoir se battre à nouveau.
- Je suis content de l'apprendre. "

L'Arbiter, ayant remarqué mon arrivée, me demanda de les rejoindres.

" - Eh bien, "commandant", ta nouvelle armure ?
- Je l'aime beaucoup, même si je ne sais pas pourquoi je suis maintenant élevé au rang d'ultra.
- Frimes pas trop, j'ai eu une armure plus belle que la tienne, avant.
- Avant.
Il me lança un regarde perçant et serra le poing.
- Calmez vous voyons.
- À votre guise.
- Comme tu veux, R'tas.
- Merci, bon on va observer l'assault du Démon jusqu'a Voi. On agira par la suite.
- Le démon ?
- Ah ! On vois que ça ne fait pas longtemps que tu es parmis nous, et on vois surtout que tu n'était qu'un bleu lorsque le premier Halo à été détruit.
- Tu peut m'expliquer ? Au lieu d'essayer de me faire culpabiliser... D'ailleurs, d'après ce que je sais, on a confié la responsabilité du Halo à un incompétant.
- Grrr... Un spartan, assez spécial, par rapports aux autres. Il survit, toujours. Quelque soit le nombre d'ennemis face à lui.
- D'accord, j'espere que je ne devrais pas faire équipe avec lui, les spartans, c'est pas trop mon truc.
- Eh bien si, tu feras parti de mon groupe d'assault, on convergera vers l'Arche avec le groupe de combat du Démon.
- Je sens que je vais beaucoup m'amuser moi... "

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Message  Akamee Jeu 10 Juin - 22:29

>>>> Chapitre 11 : Le parasite, NOTRE ennemi <<<<



Suis-je aussi séduisant que cela dans ma nouvelle armure argentée ?
Partout ou je passais, je m'attirais les clins d'oeil de plusieurs groupes de femelles... Ca n'était pas pour me déplaire, loin de là, mais Onem ne pouvait pas s'empêcher d'éclater de rire en me voyant sourire.

" - Toi qui ne sourie presque jamais, y'a que les femelles qui te font ressentir des sentiments on dirait.
- Roh aller, je suis sur que t'as une touche, ou deux...
- Arrete ! T'en a des dizaines ! "

Et il avait pas tord, même les humaines étaient folles de moi. Mais je ne vais pas m'attarder là dessus. Une bataille se prépare.
Étant trop recemment promu commandant, je n'ai pas encore reçu le destroyer que j'allais diriger. Alors je servais en temps que co-commandant dans le Shadow Of Intent. Au dessus de nous, une tempête faisait rage. Cette image de destruction, était admirable. Des éclairs passaient près, très près, mais ils étaient sans risques pour les vaisseaux. En dessous, une toute autre tempête était en train de se dérouler. La bataille, l'arbiter y était, le fameux "Démon" aussi, moi j'étais à bord, impatient de voir la suite. Je ne combattais pas, pour une fois. J'entendais quelques fois les observateurs de bord :

" - Apparition anti-aérienne détruite, les humains envoient 1 pélican supplémentaire.
- Tiens, j'ai du lourd sur le radar.
- Mouais un scarab, il va pas durer longtemps...
- On parie ?
- Trop tard, il a explosé.
- Bon ben... on parie sur le canon anti-aérien alors. "

Et le canon fût détruit. C'étais d'un ennui là haut. Mais une lumière forte me sortis de mes pensées.

" - On y est, il a activé le portail, à tous les vaisseaux, positionnez vous près du portail, attention aux collisions avec les vaisseaux humains. Poste de pilotage, restez en position, on passera en dernier. "

Enfin, cela devennais interéssant.

" - Euh, commandant ? J'ai un autre contact qui se rapproche. On dirais un destroyer mais il n'est ni allié, ni ennemi.
- Je l'avais prévu, ne restez pas sur sa trajectoire ! "

Un vaisseau, aparemment un des nôtres s'écrasa en plein centre ville de Voi. Qu'est-ce qu'il y'avais donc là dedans ?

" - Akamee, tu vas prendre les commandes d'une unité de Spec Ops, vous serez envoyés sur une corniche pour y affronter un ennemi que tu as déjà vu. Le parasite a passé la flotte de surveillance.
- Bien, je me rend aux modules de largage.
- Vous serez larguez dès que l'arbiter et le spartan arriveront au niveau de la corniche cible, puis vous continuerez vers le site du crash, pour récupérer un colis assez spécial, une IA pour être précis.
- Bien. "

Je suis aller rejoindre ma section de Spec Ops, ils étaient 4, leurs armures brillés autant que la mienne. Ils avaient l'air courageux, puissants, ils étaient impréssionants.

" - 15 secondes avant largages, à vos modules. "

C'est parti, j'entra dans mon module de largage, la porte se referma, quand on touchera le sol, la porte sera ejectée vers l'avant . Dangereux ces trucs. C'était étroit mais ce n'était l'affaire que de quelques secondes. Au sol, on devaient être près à sortir nos armes et à se battre.

" - Largage imminent, bonne chance frères. "

Je n'eu pas vraiment le temps de compter les secondes, à peine lancés, notre module s'écrasa dans le sol et la porte se détacha avec fracas, des parasites autour de nous, avaient pris les formes d'humains, de brutes... d'Élites...
Ces monstruosités devaient être éliminés, les Spec Ops étaient rapides, efficaces, moi j'étais comme d'habitude, animé d'une haine sans limite, pourtant ils ne m'avaient encore rien faits. Dans un sentiment que je ne pus distinguer entre la joie et la colère, j'ai même failli ouvrir le feu sur un allié, qui d'un geste de la main dirigea mon fusil à plasma vers une autre direction.

" - Désolé.
- Attention à vos mouvements, commandant. "

Une fois la corniche dégagée, nous eûmes la visite de l'Arbiter et de ce fameux spartan aux grands exploits. Même à travers sa visière, je pu remarquer qu'il n'avait pas l'air très... "amical", mais bon, il fallait faire avec. L'Arbiter fit les présentations, rapides.

" - Akamee, voici spartan 117, le fameux Démon.
- Content de vous connaître.
- De même, où est tombé le vaisseau ?
- Un peu plus loins sur les corniches, à l'endroit précis ou les premières apparitions ont étés détruites.
- Alors c'est là bas que nous allons, je dois aller la chercher. "

Il avait l'air assez froid, et c'était qui "la" ?
L'arbiter me fit un geste de la main, apparement il voulais pas trop que je me pose des questions. Bref ma section et moi, avont poursuivis l'objectif. Ces abominations avaient différentes formes à pars nous voler les notres. Il y en avais qui s'aggripaient aux murs pour nous envoyer des projectiles perforants ressemblants à ceux tirés par les spykers brutes, d'autres étaient de vrais colosses. Des montagnes de, je ne pourrais même pas expliquer ce que c'était, mais c'était grand et assez éffrayant. Il y avait aussi genres d'arachnides à 4 pattes qui se métamorphosés en les choses étranges décrites précedemments.

Nous avons donc traversons tout ça, sans subir de pertes, il n'y avait pas "beaucoup" de parasites et on avais l'avantage d'être sur un terrain ouvert.
Arrivés sur le lieu du crash du vaisseau, l'arbiter ordonna à la section de ne laisser que le spartan entrer à l'intérieur. Bien sur, je ne lui ai pas obéi et moi aussi, me suis dirigé vers l'entrée qui s'avèrait être un trou dans la coque. Mais l'arbiter m'attrapa par le bras et m'envoyant quelques metres plus bas.

" - j'ai dis, on restes ici.
- Et pourquoi je devrais répondre à vos ordres ?
- Parce que le démon à l'autorisation d'abattre quiquonque le rejoins à l'intérieur et surtout parce que je te fout une dérouillée quand je le souhaite.
- Tu peut me rappeller qui à gagner notre premier combat ?
- Je me suis entrainé depuis cela, et je peux t'assurer que si on recommencais maintenant, tu mordrais certainement la poussière.
Soudain une voix, dans nos casques.
- Arbiter, Akamee, j'en ai vraiment marre de vous entendre vous chamailler à chaque instant, alors si vous voulez vous battre, vous le ferez après la guerre.
- Désolé. "

Franchement, je me le demandes toujours, pourquoi je ne lui ai pas donné un 5eme coup d'épée pour être sur de mon coup ?
Mais là n'était pas la question, le spartan avait récuperé l'IA et un phantom nous a rejoins pour nous débriefer avant que le Shadow Of Intent ne passe le portail.
Les combats, allaient s'intensifiers, derriere ce portail, l'Arche, et le prophète. Si l'arbiter dit vrai et qu'il m'a dépassé au niveau du combat au corps à corps, je peut encore le distancer, en tuant le prophète moi même. En même temps, nous avons tous deux la même vengeance à accomplir, non ?

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Message  Akamee Jeu 10 Juin - 22:30

>>>> Chapitre 12 : Un héros s'éteint, un autre va naître. <<<<





Fatigué, nuit très mouvementée avec une femelle très captivante. Elle se nomme Krana 'Ralsamnee. C'est une spec ops que j'ai rencontrée dans le Shadow Of Intent ses derniers jours. Elle est magnifique et de plus tellment affectueuse. Mais ce n'est qu'une face de sa personalité, l'autre côté, c'est une guerriere. Durant l'entrainement, j'ai été très surpris du fait qu'une femelle me mette par terre si rapidement et efficacement.
Je recent ce que je n'ai jamais montré dna sma vie, même en présence de ma propre famille : l'amour. Mon oncle me disait toujours que ce sentiment n'existais pas en temps de guerre, mais depuis peu que je suis possedé par celui-ci, j'ai l'impression que Krana me pousse à donner le meilleur de moi même. Je recent aussi l'inquiètude à présent. Je sais très bien qu'elle est très forte au combat, mais la voir partir en mission, me fait penser déjà à un jour fatidique. Je donnerais ma vie pour que la sienne soit longue.
Ca y est voilà que Nol Akamee, la terreur de l'armée, devient un romantique. Peut être que cette face de ma personalité était enfouie depuis longtemps en moi, pour ne jamais ressortir.

Je ne me connais pas moi même...


Au niveau des combats, ils étaient rapides et efficaces, comme il fallait qu'ils soient. L'arbiter, a eu la chance de gagner notre défi personnel qui était de tuer le prophète de la vérité. Je n'ai pas pu participer à sa mort car le Shadow Of Intent avait été endommagé par le parasite, qui penser être en danger autre part que sur l'arche, est venu se joindre au combat.

Les anneaux, désactivés, nous pouvions maintenant nous concentrer sur l'objectif secondaire : le parasite. Et je le promet, celui là, c'est moi qui l'aurait.

Le plan était simple, activer un unique halo, et fuir par le portail qui nous a amené ici, le parasite sera alors piegé et nous tous hors de danger.
Ca allait certainement être le dernier et l'un des plus durs assaults. Car la route sera sémé d'embuches. Une armée de parasite

contre quoi ? un commandant de deux élites et de deux humains ?
La seul satisfaction que j'avais, c'est que Krana n'allait pas y participer. La savoir à l'abri, me donnait confiance en moi.

Le spartan et l'arbiter sont rentré sur un destroyer qui remplace le Shadow Of Intent, pour le briefing, le deuxième humain qui allait venir était à ce que j'ai entendu, un grand ami du spartan, mais j'en ai strictement rien à cirer. Après le briefing, quelques minutes avant notre départ, je suis aller à l'armurerie pour mieux m'équiper.

>>>> Pendant ce temps, dans les couloirs du destroyer <<<<

- Arbiter ? Puis-je vous parler ?
- Mademoiselle Ralsamnee ? Que puis-je pour vous ?
(Elle lui murmura à l'oreille)
- Je vois.
- Dites lui, quand vous voudrez.
- Bien sur.

>>>> De retour à l'armurerie <<<<

Je ne vais pas faire très original mais le plasma à de bons résultats sur le parasite, alors je vais en prendre deux fusils.
Maintenant armé, il faut partir, c'est un pélican qui va nous amener sur place, les phantoms étants mobilisés pour l'évacuation massive.
À bord, personne ne parlait, on attendais le moment de l'atterrissage avec impatience, on va enfin finir cette guerre.


Vivre cette guerre ou y mourir, le choix est vite fait.



>>>> Fin de l'histoire racontée par le sujet <<<<
Sujet : Nol Akamee
Taille : 2m42
Commandant
En service - Espace aérien du Halo




>>>> Histoire racontée par l'arbiter <<<<
Sujet : Thel Vadam (suffixe perdu)
Informations : Erreur /!\







La fin d'une guerre qui n'aurait jamais du avoir lieue. En éliminant le parasite, nous allons finir ce que nous avons commencé.
J'ai jamais été très ami avec Akamee, mais ce jour, ce qu'il a fait, restera gravé dans ma mémoire. Pour toujours.

Le pélican s'est posé, ou devrais-je dire crashé, entre deux montagnes, le paysage était blanc, un blanc qui nous aveuglais jusqu'a que l'on s'y habitues. Nous avons passé une grotte, John et moi, et avons été accueillis par des parasites, en grand nombre. Akamee et Johnson, ont été posés plus haut dans les montagnes. Ils sont venus en warthog, et doivent nous rejoindres.
Nous n'avons pas trop de mal à passer la vermine qui nous barrais la route. Et quand nous sommes arriver à portée du laser spartan de Johnson, son soutien, était d'une grande aide. Le parasite, envoie de plus en plus de renforts, il y en a une infinité. Mais à force de combattre, les assauts ont céssés, il était temps d'activer Halo.

>>>> Brouillage des archives, reprise de l'histoire quelques minutes plus tard <<<<

Après un lourde perte, nous sommes ressorti, et en plus de renforts ennemis, les sentinelles nous attaquaient également, ne nous reconnaissant plus. Akamee, qui gardait la porte depuis tout ce temps, me demanda :

" - Il est où le serg...
- Pas le temps, Halo est activé, il faut rejoindre la frégate, vite ! "

Nous avons du faire vite, dans notre cource vers le warthog de Johnson, nous avons du laisser des parasites derriere nous, ils étaient trop occupé à se battre avec les sentinelles pour nous apercevoir. Mais certains nous attaquaient quand même.
La cource éfreinnée s'arreta sur une petite falaise, ou était garé le véhicule. Il y avait des parasites partout autour de nous, mais je ne les avais pas remarqué, quand soudain :

" - Arbiter ! Derriere t...
Je me suis retourné.
- Akamee ? Akamee ?! Bon sang !"
Akamee était là, par terre, des parasites, tirant des pointes me guettaient depuis avant, il s'est jetté entre le prédateur et sa proie.
Il était encore en vie, mais gravement blessé, je l'est donc porté jusqu'au warthog et l'est mis en place de passager. J'ai laissé John conduire, car il s'y connaissait mieux que moi et que j'étais encore choqué de ce qui venait d'arriver sous mes yeux.
Il fallait faire vite, atteindre la frégate, le plus rapidement possible, l'état d'Akamee s'agravait. Le voyage, fut rapide et dangereux mais après un saut improvisé, nous avons atteint la frégate, j'ai, tout en évitant les véhicules qui bougaits beaucoup, extirper Akamee du warthog accidenté, et je l'ai amené avec moi au poste de pilotage. il fallait quitter cet enfer au plus vite.
Quand nous avons passer le portail, j'ai ressentit un choc à l'arriere du vaisseau, j'espere qu'il n'est rien arrivé.
Akamee, dans sa malheureuse agonie, arriva à placer quelques mots.

" - C'est... fini ?
- Oui, et c'est en grande partie grâce à toi.
- Je vais pouvoir mourir, en héros...
- Non Nol, tu ne va pas mourir, tu sais pourquoi ?
- Non... ?
- Tu vas être père Nol. Nol ?!... "

Il est partit, avec un sourir. Ce sont toujours les meilleurs qui partent les premiers.
La paix est maintenant revenue, c'est en temps de paix, que les fils enterres leur pères.
Je souhaite à son fils, d'être aussi courageux et héroïque, que son père l'a était.

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Message  Akamee Jeu 10 Juin - 22:30

Deuxième partie.

>>>> Chapitre 1 : Sur les traces du père. <<<<

Sangheilios, plusieurs années, après la mort d'un certain Nol Akamee. Rahlala... Qu'est-ce que j'aurais aimé connaître mon père...

>>>> Nouveau sujet <<<<
Ezn'Nol Akamee
Descendant direct du premier sujet.
>>>> <<<<

On m'a toujours dit que mon père était un héros. Ca n'était pas pour me déplaire, mon père, un héros tombé au combat, ma mère, commandante des forces Spec Ops à l'armée. Mon parrain était l'arbiter ! J'avais tout ce dont rêver les autres jeunes sangheilis de mon âge. J'ai été formé dans un régiment de haute classe. À l'âge ou certains étudiaient encore, j'étais un officier, un combattant hors paire, un dragueur très demandé, comme mon père d'après ce que l'on ma raconté.
Étant dans l'armée avant l'âge adulte, j'ai pour obligation de veiller sur ma mère, jusqu'a que j'obtienne l'âge nécessaire pour partir sur une flotte et surtout partir à l'aventure.

Je pouvais être heureux, d'avoir une famille puissante, une grande richesse, un rang d'officier et pleins d'autres choses... Mais, je me sentais seul. Je me demande si mon père était seul lui aussi. Si je pouvais parler aux morts, j'aurais des tas de questions à lui poser. Mais je n'ai pas le temps, l'arbiter m'attend pour mon entrainement personnel au combat !

Je sortis de la maison qui donnais sur l'imposante cour de notre résidence familiale. La cour était un grand parc, avec un étang, des jardins, des statues... ou plutôt des gardes. Je me suis rendu au au bâtiment d'entrainement. J'aime bien être à la maison, je suis jeune mais ici, tout le monde m'appelle "Seigneur Akamee". Je sortais rarement en dehors du territoire familiale. Perdu dans mes pensées, j'en avais oublié l'entrainement. Je me suis de ce pas précipité vers le bâtiment pour entrer discretement, mais l'arbiter était déjà devant la porte, semblant m'attendre.

" - Eh bien Ezn'Nol, encore en retard.
- Je... je suis désolé, cela ne se reproduira plus.
Il soupira.
- Je l'espere, l'honorable guerrier sangheili se doit dêtre ponctuel.
- Je ne l'oublierais pas.
- Entre donc. "

Pfiou, j'ai eu de la chance, d'habitude il tire la tête...

" - Aujourd'hui, tu vas t'entrainer à combattre à mains nues.
- À quoi ça va bien me servir ? Avec toutes les armes que nous possèdont...
- Si tu compte sur ton arme pour te sauver la vie, tu es déjà mort.
- Ouais mais... Je sais me battre.
- Ah oui ? Vas y, frappe moi donc, si tu sais te battre.
- Vous êtes sur ? Vous voulez pas faire venir le médecin d'abord ?
- Tu doutes, es tu sur que tu sais te battre ? Je n'en crois pas du tout un mot.
- Vous êtes énervant quand vous vous y mettais.
- Et toi tu es faible. "

Ah il voulait que je le frappe ? Bien, avec plaisir ! Il va pas se relever.
" - Bonne sieste !
Je donna un coup de pied partant de la gauche, c'etait une spécialité de mon père, l'on m'avais dit. Mais sans que je ne sache comment l'arbiter me pris le pied et me souleva du sol, j'avais la tête à l'envers.
- Trop lent, on devine tes mouvements à l'avance.
- Wouua... en même temps vous connaissez les mouvements de mon père alors... Je suis sur que si ça aurait été lui, vous n'auriez pas pu parait le coup.
- Oh que si, il me l'a déjà fait, et en un coup de coude, je lui ai regler son compte.
- Je vous crois pas, et lâchez moi j'aime pas être la tête en bas.
- À un peu moins d'un mètre de hauteur ? D'accord... "

Il me lâcha, et j'atteris la tête contre le sol.

" - Aïe... vous avez triché !
- Pas du tout, je n'ai eu qu'a bouger un seul bras.
- Ouais bah... Vous êtes plus grand que moi.
- Ha ha, à ton âge je donnais moi même les leçons à mes professeurs !
- Alors ça j'ai du mal à y croire !
- T'es encore plus tétu que ton père toi dis donc.
- Bah vous, vous êtes... agacant !
- Restons sérieux, si tu tombe face à un ennemi, il t'agacera pas, mais te tuera, sans préavis. Ton coup de pied était bien engagé, mais juste trop lent.
- Et comment je fais pour être plus rapide.
- Je te laisses deviner.
- Oh non !!
- Et si, tu vas me faire 75 fois le tour de la résidence, puis tu reviens ici, en pleine forme.
- Ce sera tout ?
- Tu as 10 minutes "

Et c'est reparti. Je le déteste !

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Message  Akamee Jeu 10 Juin - 22:30

Deuxième partie.

>>>> Chapitre 2 : Une trahison mène à une guerre. <<<<




L'arbiter était fort, rapide, c'est vrai, mais ses cours me faisaient perdre du temps plus qu'autre chose. Une fois mes 75 tours de la cour finis dans les délais, je suis revenu le voir, épuisé.

" - Bien, c'était pas mal.
- Ouais, j'ai encore assez de force pour... pour vous mettre mon pied dans la figure.
- Même essouflé, tu m'es insolant. On voit bien de qui tu tiens ça. Mais bon, tu as besoin de mon entrainement.
- Pour combattre qui ? Les brutes ?
- Non. Comme tu le sais, nous attendons demain, l'arrivée d'un vaisseau diplomatique brute, pour négocier une paix durable.
- Depuis quand on fais confiance aux brutes ? Surtout en matière de diplomatie...
- La confiance ne règne pas, mais, nous n'avons pas vraiment le choix pour mettre un terme aux conflits.
- D'accord alors au lieu de m'entrainer au combat qui n'aura jamais lieu, je vais me coucher, bonne journée !
- Reviens-ici tout de suite.
- Pas question, je suis fatigué.
- ... (soupir) Les jeunes de nos jours... "

Contre qui je me battrais quand je serais en âge de partir ? Les brutes vont faires la paix, le fameux parasite que je n'ai jamais vu n'existe plus, et les humains, sont nos fidels alliés. J'ai besoin de dormir. Cet entrainement m'a vidé de mes forces. Demain je me tiendrais au courant de cette rencontre diplomatique, la seule chose bien, c'est que l'arbiter sera occupé avec les brutes. Je n'aurais donc pas d'entrainement et je vais pouvoir avoir une journée de tranquilité.

>>>> Le lendemain <<<<

La nuit à été courte. J'ai presque pas fermé l'oeil. Entre mes interminables crampes aux jambes et un mal de tête carabiné, j'étais servis. Je me suis levé, ai commencé ma minute de baillement quotidienne, puis je me suis rendu près de la fenêtre pour dire bonjour à ce nouveau jour. Mais le spectacle était tout autre.

J'ai ouvert ma fenêtre qui donnait sur l'immense cour. D'habitude ornée d'une marre à l'eau bleutée, d'arbres grands et résistants, elle etait maintenant couverte de sang, les arbres en feu, un cadavre dans l'eau. Qu'a t-il bien pu se passer ici ?
Depuis ma fenêtre j'ai observé le ciel, l'on pouvais distinguer beaucoup de vaisseaux, pas tous des notres.

" - Que se passe t-il ?
On frappa à la porte.
- Seigneur Akamee, c'est moi Pnerph'n, ouvrez !
Pnerph'n était mon garde personnel. Un robuste gaillard, courageux, et l'un des seuls qui arrivait à me supporter. J'ouvrit la porte.
- Que se passe t-il ? pourquoi la résidence est elle à feu et à sang ?!
- Les brutes ont cachés leur jeu ! Après le vaisseau diplomatique, des dizaines d'autres vaisseaux sont apparus, ils ont largués des troupes sur la cour ! Tous les gardes sont à leur poste mais nous subissons de lourdes pertes, je doit vous amener à l'abri.
- Bien sur laissez moi le temps de prendre mes affaires.
- Bien je... "

Soundain, une brute armée d'un marteau surgit à l'intérieur, envoyant par la force de son arme, Pnerph'n contre un mur. Il se releva et chargea la brute, il n'avait aucune chance, étant déjà blessé.

" - Fuyez ! Je l'occupe ! "

Il ne fallu pas me le dire deux fois. J'essaya de passer par la fenêtre de ma chambre restée ouverte, mais une explosion fit effondrer une partie du plafons, ce qui a enssouveli la partie fenêtre de la pièce. j'étais pièger. Un cri et un bruit sourd venant du couloir m'a alerté, j'y suis retourné. La brute avait eu raison de Pnerph'n qui gisait dans son sang, au sol.
Le monstre qui devait bien mesurer deux fois ma taille, s'approcha de moi. je reculla à petits pas, mais aucune fuite n'était possible.
Il m'a attrapé par le col et m'a amener à sa taille, je touchais plus le sol depuis longtemps maintenant. Il rigola à ma vue, se moquant de moi.

" - Ah, un petit vermisseau ! Dommage pour toi, que de mourir si jeune !
Paralysé, envouté, je ne pus rien répondre à cela. Quelqu'un s'en chargea à ma place.
- Attaque toi à quelqu'un de ta taille.
Je reconnu la voix de l'arbiter en même temps que son épée à energie sui ressorta de la poitrine de la brute. L'étreinte qui était serrée, se relâcha, me laissa retrouver le sol.
- Merci, arbiter.
- Je suis arrivé trop tard, pour les autres gardes, par chance, tu es encore en vie. Le bâtiment est en feu, il faut fuir. Prends une arme en sortant. "

Nous sommes sortis silencieux de la résidence, j'ai ramassé un fusil à plasma qui jonchait le sol à côté du cadavre d'un des gardes de la cour. Je n'ai pas tenu longtemps sans poser de question à l'arbiter.

" - Les brutes nous ont trahis ?
- Oui. Encore une fois. Ils ont tentés l'invasion de notre planête mère. Traquant et assassinant les familles.
- Avons nous beaucoup de morts ?
- Des centaines, mais ce n'est rien à côté de la vengeance que nous préparons.
- Où est ma mère ?
- Elle est en sécurité dans un transporteur, nous allons la rejoindre. "

Dans les rues de la ville principale du nouvel état d'Akamee, nous devions nous frayer un chemin à travers les forces d'invasions brutes. Des cadavres de sangheilis, morts sans avoir eu le temps de se défendre, massacrés par dizaines, étaient éparpillés dans les rues. Cette ville d'habitude si chaleureuse, est devenu en quelques heures, un cimetière. Le ciel rouge, accompagné de fumées, l'ambiance d'apocalypse, accompagnée des cris de nos frêres égorgés chez eux. tout cela, doit césser.

" - Arbiter.
- Oui ?
- Attendez, le transporteur peut attendre, je veux vider les rues de ces monstres. Je veux remplacer nos cadavres par ceux des brutes.
- Nous ne sommes que deux, ils sont des milliers.
- Ca suffira.
- Je croirais entendre parler ton père. Allons y alors, j'ai entendu dire que des citoyens s'étaient réfugiés dans un lycée combatant non loin d'ici.
- Il faut s'y rendre, s'ils essaient de tenir la bas, ils sont fichus. "

Mission héroïque ou suicidaire, ca n'importais peu à l'arbiter, il semblait en avoir vu d'autres. Nous nous sommes mis en route vers cet établissement surement assiegé par les brutes. C'était le cas, de loin, des tirs de plasma, des explosions, des morts...
Il n'y avait que quelques brutes, elles furent éliminés rapidement par l'arbiter qui a profité de l'effet de surprise. Moi je n'ai eu le temps de rien faire. Les survivants, se sont raliés à nous. Notre section se composait de deux spec ops en manque de munitions, de trois civils bléssés, et d'un soldat peu expérimenté. Nous avons marchés. Longtemps, dans les rues désertes, l'odeur des cadavres et les murs devenus violets, accentuants la violence sans limite des brutes. Nous sommes finalement arrivés à un phantom qui allait nous conduire au transporteur, nous avons perdu un des civils pendant notre longue marche. Nos pertes étaient immenses. il falait que la vengeance soit de taille.

" - Arbiter. Je sais ce que je vais faire.
- Je t'écoute, jeune Ez'nol.
- Je vais entrer dans les spec ops, les brutes ne resteront pas impunis, je vais terminer mon apprentissage sur ce vaisseau, et quand je serais prêt, je me lancerais à l'assault de Doisac.
- Le monde natal des brutes, est très dangereux. Ton apprentissage devra être plus intensif que jamais.
- Je suis prêt à tout pour venger nos morts.
- La haine ne doit pas guider ton esprit. Restes fort Ez'nol.
- Je le serais. "

Le voyage fut rapide, nous avons atteints le transporteur où se trouvait les plus hauts graders de notre peuple.
Ma mère m'attendait au hangar. Elle n'avait pas l'air inquiète, elle savait que j'allais m'en sortir.

" - Mère, la résidence à été rasée.
- Je le sais mon fils, l'important est que tu sois là.
- Je veux entrer dans les spec ops, et participer à l'offensive de repraisailles. C'est mon choix.
- Je le comprends. La flotte va partir vers le monde natal des brutes, les spec ops seront les premiers à être largués.
- Je souhaite y poser le pied le premier, et tuer la première brute. "

Ma mère semblait me regarder avec admiration. Je devais lui rappeler mon père, j'étais determiné à punir cet acte de sauvagerie orchestré par les brutes. Ma mère m'enlaça avec douceur.

" - Mon fils, je suis fiere de toi. Arbiter, je compte sur vous pour veiller sur lui.
- Je suis assez grand pour veiller sur moi même, l'arbiter ne m'est pas d'une grande utilité.
- Je comprends ta haine mon fils, mais nos ennemis sont forts, même pour un Akamee. Maintenant je vais te mener dans ta cabine, tu devrais te reposer, le voyage sera long. "

Sans contester, je suivis ma mère. Elle était douce, mais à ce qu'on me racontait, sur le terrain, mieux vaut l'avoir dans son camp. Je comprends pourquoi mon père, un fier et puissant guerrier, l'a choisi. Je suis arrivé devant la porte de ma cabine.

" - Cette cabine était, il y a des années, occupée par ton père, c'est d'ailleurs ici que.. euh non (elle se mit à rougir).
- D'accord, je vous remercie beaucoup mère. Je ferais mieux de dormir, demain, mon nouvel entrainement commence.
- L'arbiter sera toujours là, pour t'enseigner des choses indispensables. Certains de mes soldats vont t'apprendre la manière de combat des Spec Ops, moi je t'enseignerais le maniement de l'épée. En parlant d'épée. "

Elle sortit une boite magnifiquement ornée, qui était cachée sous le lit de la cabine.

" - Poses ta main dessus, mon fils.
Je le fit. La boite s'ouvrit...
- Seul la main d'un Akamee peut l'ouvrir ?
- Exactement, voici l'épée que ton père a manié jusqu'à la fin de sa vie. Elle est marqué de son nom et modifiée pour diverses choses utiles que je t'apprendrais lors de ton apprentissage.
- Merci mère, cela m'honore grandement que de manier la lame de mon père. "

Akamee
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Message  Akamee Jeu 10 Juin - 22:31

Deuxième partie.

>>>> Chapitre 3 : Les retoruvailles familiales <<<<



>>>> Plusieurs jours après le départ de la flotte à destination de Doisac <<<<
>>>> Salle d'entrainement du tranporteur <<<<

" - Ez'nol, aujourd'hui, tu vas apprendre beaucoup sur l'ancien équipement de ton père.
- Bien mère, je suis tout ouïe.
- L'épée à energie, une arme noble, la lame purificatrice. Celle de ton père est spécial.
- Quel est son secret ?
- Quand les épées standards encaissent les tirs de plasmas, celle-ci les renvois. mais pour réussir à renvoyer le tir, il faut être en parfaite harmonie avec ton arme.
- je suis prêt à la manier.
- Bien. "

Elle alluma son épée, et se mis en garde. Je fis de même.

" - Tiens ton épée, vers l'avant, verticalement en face de ton visage. Quand tu donnes un coup, tu doit ressentir le poid de ton arme. Une frappe légère et rapide, le coup standard.
- Je vois.
- Maintenant serre ta main et pense au premier sentiment qui te parcoure l'esprit.
- Bien... Mais que se passe t-il ? Mon épée est presque entièrement noire !
- C'est le sentiment que tu éprouves qui est noir. Cette épée puise ses attaques dans els sentiments de la personne qui la tient. Ton père aussi, ressentait la haine quand il se battait. La haine, est un sentiment puissant, il donne à l'épée, une force imparable, mais ressentir la haine tout les jours finis par te détruire.
- Comment est-ce que mon père a resisté alors ?
- Il pensait à notre amour, l'arme avais la même puissance, celle de la puissance de notre amour.
- Incroyable.
- Passes moi l'épée je te montre.
Je lui donna l'épée à energie.
- Elle est passé du noir au bleu clair ! Wouaa on dirait du sang d'Unggoy !
- Ce sentiment est tout aussi puissant et beaucoup moins dangereux que la haine. Mais tu es trop jeune pour le ressentir. libre à toi de choisir, si tu veut manier l'épée de ton père ou pas.
- Je le veux, mais je n'utiliserais pas les attaques sentimentales.
- Bon choix, mon fils, très bon choix. Bien, maintenant que tu connaît cette caractèristique, viens donc par là, que je te fasse la leçon. "

Sur le coup, je m'y suis pris doucement, mais quand je me suis retrouvé au sol en quelques secondes, j'ai décidé d'y aller sérieusement. Ma mère, alliait la vitesse et la force avec grâce et élegance. Et moi je mordais la poussière avec... honte.
J'ai réussi à l'atteindre une seule fois, surement un coup de chance.

" - J'abandonne, vous êtes trop forte mère.
- Oui je crois que cela suffira pour aujourd'hui, tu as du potentiel, mon fils, ton apprentissage va toucher à sa fin, tu as reçus divers entrainements de Spec Ops, et demain tu vas être le premier Spec Op largué sur Doisac. Tu dois te reposer.
- bien mère, je vous remerci infinimment. "

Je suis partis dans ma cabine, du repos, j'en avais besoin. Demain, la guerre, enfin, ma première vrai bataille, la vengeance.



>>> Le lendemain, espace aérien de Doisac, module de largage N° 954310/2 <<<<



Les modules de largages sont petits et étroits, mais le voyage est rapide, sauf celui la. Le premier est toujours le plus long aparemment. Je ne suis plus le jeune guerrier voulant éviter les ennuyeux cours de l'arbiter. Je suis maintenant un Spec Op, largué sur un champ de bataille, en térritoire inconnu.

Le choc, le choc fût puissant, mais sans danger, à peine la porte du module ouverte, je sortis à moitié aveuglé par la lumière du jour. Les autres membres de la section ne tardèrent pas à sortir à leur tours. La zone de largage était déserte, aucun accueil, nous nous sommes regroupés autour du module de largage du chef de section.

Ma section était spéciale, nous étions tous des jeunes guerriers, mais seul moi était guider par un désir particulier de faire couler du sang. Les autres étaient calmes. Le chef de section, Anvell Volen'ee, semblait moins nerveux que les autres, je ne pouvais pas cerner son esprit, ni le comprendre.

" - Bon, va falloir se séparer, y'a plusieurs temples anciens dans cette zone, Akamee tu prends celui au Nord. Iqdonee, le sud,

mon frêre et moi on prends l'est et l'ouest, en avant !
Il y avait deux Volen'ee dans l'équipe, deux frêres qui se suivaient partout. Mais cette fois ils devaient se séparés. J'ai marcher sur une bonne centaine de mètre en coupant par une forêt et je suis arrivé devant l'imposant temple à inspecter. Dans le ciel, la bataille faisait rage. Des explosions habillées le ciel et des vaisseaux venaient s'abattre sur le sol. Je suis entré dans le temple et commencé l'exploration.

" - Gardez le contact.
- Ici Akamee, je suis dans le temple, aparemment les communications passent, il fait un noir pas croyable à l'intérieur.
- Iqdonee, ton côté ?
- C'est bien noir, mais y'a personne, j'attaque le deuxième étage.
- De ton côté mon frère ?
- R.A.S.
- Tout se passe bien. gardez le contact. "

J'ai penetré dans ce qui semblait être la salle principale du temple. Agitant ma lumière de gauche à droite, je put voir des chaises à côté d'une grande table, on aurait dit une salle de réunion, j'ai continué mon avance et mon pied à rencontré, un objet métallique. Je me suis baisser pour le ramasser.

" - Tiens, qu'est-ce qu'un pistolet à plasma, fait dans cet endroit lugubre ? "

J'etais accroupi pour examiner l'arme, c'est alors que quelqu'un me frappa à la tête, le coup semblais venir de derriere.
Je me suis relevé et j'ai dirigé ma lampe vers l'endroit d'où venait le coup mais je n'ai pas eu le temps de bien voir que j'ai reçu un coup de pied qui m'a mis à terre.

" - Un coup de pied partant de la gauche ? Il n'y a que moi qui fais ça ? Montrez vous !
- Oh, je le faisais bien avant toi jeune Spec Op.
- Qui êtes vous ? Montrez vous, je ne vais pas tirer.
- De toute façon tu n'as pas remarquer que j'avais pris ton fusil à plasma.
- ... en effet.
Mon aggresseur se dévoila, c'était un sangheili, son armure était couverte de poussière, on ne pouvait même plus distingué sa couleur.
- Content de te rencontrer Ez'nol j'ai beaucoup entendu parler de toi, mais je ne t'avais jamais vu.
- Qui êtes vous pour connaître mon nom ? Et rendez moi mon arme par la même occasion.
Je dégaina mon épée qui devint noire aussitôt.
- Magnifique lame, cette couleur, me rappele beaucoup de choses...
- Que voulez vous dire ?
- Tiens, voici mes états de services, ils sont vieux, je te l'accordes mais tu peut y lire certaines choses. "

J'eteignis mon épée, et pris doucement le document pour le lire.

" - Qu... Ce n'est pas possible. Vous... vous êtes...
- Nol Akamee, content de te voir enfin, mon fils. "

Akamee
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Message  Akamee Jeu 10 Juin - 22:31

Deuxième partie.

>>>> Chapitre 3 : Akamee, du père au fils. <<<<



>>>> À l'intérieur du transporteur <<<<

L'arbiter contemple la bataille qui fait rage autour du vaisseau tandis qu'aucun conflit n'a éclaté à la surface de la planête.
" - Soldat, avons nous reçu une réponse des humains ?
- Aucune, soit nos communications sont brouillées, soit ils ne répondent pas. "

>>>> Sur Doisac, dans le temple <<<<

Sous le choc de cette rencontre innatendue, mon épée, éteinte, me tomba des mains et vint tomber sur le sol. Je le regardais, l'admiration mais surtout l'incompréhension devait se lire sur mon visage. Mon père était déclaré mort au combat, dans un vaisseau humain. Que faisait il en vie sur la plnête mère des brutes ? Il devait m'expliquer.

" - C'est une longue histoire fils. Assis toi.
- Je ne vois rien ici, comment avez vous fait pour vivre ici ?
- Depuis le temps que je suis là, je me suis habitué à l'obscurité. Bien, j'imagine que tu as beaucoup de question à me poser.
- En effet, j'aimerais déjà savoir, pourquoi, pourquoi l'on vous croyait mort ?
- Je suis tombé dans un profond comac, à l'intérieur du vaisseau qui nous a ramenés, l'arbiter et moi. Je me suis accroché au dernier souvenir de bohneur qui me restait, ta mère, et l'annonce de ta venue proche.
- Mais alors, que faites vous ici ?
- Les humains m'ont soignés d'urgence, je leur doit la vie, mais pas ma liberté. Quand l'arbiter et les Élites sont repartis, les humains m'avaient déclaré mort, en réalité, j'étais encore en vie. Plusieurs jours après le départ de notre flotte, des brutes sont venus sur Terre. Quand ils ont su que j'étais en soin intensif ici, ils ont menacés les humains, et les ont pervertis en leur promessant une guerre contre notre peuple qui d'après leurs dires, était gagnée d'avance. Les brutes y gagneraient notre extinction, les humains, notre planête, et notre technologie. Mais pour ce faire, les humains devaient offrir un présent aux brutes. Ce présent, moi. J'ai été amené ici dans une prison, mais je me suis rapidement échappé. Cela fait maintenant longtemps que je me terre dans ce temple.
- Les honorables humains nous aurraient également trahis ?
- Je n'ai jamais cru en l'honneur chez les humains, fils. "

Soundain je remarqua que l'on essayait de me contacter par radio, ca devait être mon chef de section.

" - (interférences) Akamee, t'es restait en silence radio trop longtemps, t'as des nouvelles.
- Une nouvelle, ça oui, j'ai découvert, une personne d'importance 10. Il faut contacter le transporteur pour l'évacuation, aparemment, la zone semble prête à un débarquement massif.
- D'accord on se rejoint à la ZL.
- Bien reçu, je m'y rends. "

J'avais beaucoup d'autres questions à poser à mon père, mais dans un temple brute, ce n'était pas vraiment l'endroit adéquat.

" - Nous devons quitter les lieux, j'espère que la lumière vous sera pas trop gênante, père.
- C'est avec plaisir, que je souhaite revoir le jour.
- J'en suis bien heureux, j'oubliais, votre épée, elle vous revient.
- Gardes la, j'ai vu qu'elle s'est habituée à toi et que tu t'es habitué à elle. Elle est à toi, et je ne penses pas que mes tactiques à l'épée soit aussi concluantes qu'avant.
- Bien. Mère sera ravie de vous voir.
- Je ne suis pas surpris d'apprendre sa présence ici. Elle va toujours là ou il y a un conflit. Je vois que tu es un Spec Op également.
- En effet, j'ai était entrainé par mère, l'arbiter, et d'autres Spec Ops expérimentés.
- L'arbiter est également ici ? Il t'as entrainé, je l'imagine pas en professeur.
- Je comprend vos doutes, mais ces entrainements finissent par payer, un jour. Nous arrivons à la porte. "

Nous sommes sortis du temple, les quelques minutes d'obscurité, m'avaient habitués, à très peu de luminosité, mais cela semblait plus gênant à mon père qui se cachait les yeux. Je pouvais enfin distinguer et admirer son armure argentée, elle ne brillait pas, elle avait l'air vieille. Je voyais qu'il avait beaucoup combattu en remarquant divers sangs différents sur son armure. Du sang orange qui semblait provenir de chasseurs, du bleu, du violet... Il avait toutes sortes de tâches sur cette armure dévorée par la poussière. Mais lui semblait avoir retrouvé sa jeunesse.

Nous avons rejoins la ZL et les autres membres de la section. Volen'ee m'approcha.

" - Qui est-ce ?
- Une personne, très importante.
- J'en juge à son êtat, qu'il a fait la guerre bien avant nous.
- C'est le cas.
- Un commandant, impréssionnant. Commandant comment ?
Plus assomé par le soleil, il prit la parole.
- Commandant Akamee, déclaré mort en 2553, vous êtes ?
- Unité de Spec Op Majeur 97 135, Volen'ee, enchanté, commandant. Un phantom V.2 devrait bientôt venir nous chercher.
- V.2 ?
- Plus performants, résistants et surtout mieux armés.
- Je vais devoir m'actualiser. "

Nous nous sommes reposés, autour d'une histoire de bataille d'autre fois, racontée par mon père.

" - Alors, si j'ai bien compris, vous avez du travailler pour les prophètes, contre votre grès ?
- Exact, les prophètes ne supportaient pas le fait que quelqu'un leur résistes. Avec un coéquipier, j'ai du traquer et assassiner les membres de complots hérétiques. j'ai fais d'affreuses choses, en tuant certains de nos frères. La guerre est une sale chose, mais elle me maintenait en vie.
- Une sale chose... "

Volen'ee semblait très interessé par les histoires de mon père, autant il étais jeune et orgueilleux, il était en admiration en écoutant le lourd passé de la guerre.

" - Voila le phantom, ne perdont pas de temps. Déclara Volen'ee
- Bien, père ? Vous raconterez ce que vous m'avez raconté à l'arbiter et aux autres graders, à propos des humains. Mais après vous être reposé bien sur. "

Nous sommes retournés sur le transporteur, et avons débarqués. Je suis sortis le premier, l'arbiter et ma mère m'attendait.

" - Qui est ce personnage important dont tu as parlé ?
- Voyez par vous même, arbiter.
Père sortit du phantom.
- Alors Thel, tu m'a laissé pour mort ?
- ... Je ne pensais pas que tu étais encore en vie.
Il s'approcha de mère, qui certainement choquée, n'avait rien dit. Il lui toucha le visage.
- Je suis revenu. Je ne vous ai jamais quitté...
Mère parla.
- J'ai vécu, un amour brisé, pendant tout ce temps, et je te vois maintenant, Nol.
Ils s'enlacèrent. Le fait qu'ils ne se soient plus revus depuis si longtemps... Les voir réunis, maintenant. Tout cela remplissait le hangar d'une émotion plus forte que tout.
- Je dois me reposer, je suis de retour, mais propulsé dans une nouvelle guerre, je suis resté longtemps dans l'ombre d'un édifice froid et lugubre. Quand je serais remis, arbiter, j'aurais quelque chose à vous dire.
- Bien, reposes toi.
Ma mère, plus radieuse que jamais.
- Suis moi, je vais te montrer les cabines, cela fait longtemps que tu n'a plus vu de transporteur.
- En effet. "


Elle l'amena dans son ancienne cabine qui était maintenant la mienne, elle était si spatieuse, qu'il y avait de la place pour une escouade entière.

" - Ca devrait te convenir, le temps que l'on aménage une autre cabine, cela ne te déranges pas, Ez'Nol ?
- Pas le moins du monde, mère. J'ai beaucoup à parler avec mon père.
- Bien, je vais sur le pont, la bataille continue à faire rage, dehors.
Elle parta, elle semblait plus heureuse que jamais, son amour de jeunesse, mon père, était de retour.
- Ah... Quel plaisir que de la revoir, toujours aussi radieux, toujours aussi... dynamique. Bien, mon fils, je t'écoutes.
- Je voudrais entendre, toute ton histoire.
- Elel est très longue, mais je crois que j'ai tout le temps nécessaire. Alors voila ou commence l'histoire de Nol Akamee...

Akamee
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Message  Akamee Jeu 10 Juin - 22:31

Deuxieme partie.

>>>> Chapitre 5 : La vérité vraie <<<<




>>>> Dans le passé <<<<
>>>> Hôpital humain <<<<

" - On est en train de le perdre.
- On le perdra pas, gardez confiance.
- Le poux remonte, mais il est dans un comac léger.
- Allez prevenir le colonel, dites lui que...
- Je suis ici.
- Colonel, il est en vie, il faudrait prevenir les Élites avant qu'ils ne partent.
- Ce ne sera pas la peine, donnez moi plutôt une heure de décés.
- Mais ?!
- Et pas de contestations, c'est un ordre venant de l'amiral. heure du décés.
- 18h27, 25 mars 2553.
- Nous transmettrons ceci aux Élites. Amenez le dans une cellule.
- Une cellule ? Un prisonnier ?!
- Oui, il pourra nos servir pour nos futurs plans. "

Quelques semaines plus tard.

" - Colonel, les brutes sont arrivés.
- Bien, notre cadeau est prêt ?
- Il a était dur à maîtriser mais avec les somnifères injectés, il fait moins le malin.
- Bien, préparez le pélican, nous allons accueillir nos nouveaux amis.
- À vos ordres, mon colonel. "

Dans le pélican, se trouve notre héros gardé par un marines.

" - Où m'amenez vous maintenant ?
- Aucune idée, je n'ai reçu l'ordre que de vous surveiller, mais si vous voulez mon avis, ca s'annonce mal.
- Pourquoi ça ?
- Y'a un vaisseau brute dans le ciel, aparemment, on lui a pas tiré encore dessus. La hierarchie semble faire confiance aux brutes ce n'est pas mon cas.
- Si vous allez me donner aux brutes, ca me va très bien, je pourrais m'échapper.
- Je l'espere pour vous, prenez cette arme, ce n'est pas beaucoup, mais avec le silencieux, ca vous aidera grandement.
- Merci beaucoup, j'espere que l'on se reverra.
- Si l'on se revois, ce sera pas dans le même camp.
Le colonel arriva avec ses marines.
- Soldat, vous n'etes pas payé pour parler avec les prisonniers il me semble.
- Mes excuses mon colonel.
- Aller sortez. "

Le pélican décolla en direction du vaisseau brute qui habillait le nouveau ciel de la Terre. Ce ciel, était bleu, pour une fois.
À l'intérieur personne ne parlait, mais notre ami posa la question à l'humain.

" - Pourquoi m'avoir gardé jusqu'a l'arrivée des brutes ? Quels sont vos plans ?
- Hum... étant donné que je ne vous reverrais plus, je vais vous le dire. Nous allons nous allier avec les brutes. Ils ont été très convainquants sur certains points. Votre peuple, sera mis à genou, les brutes obtiendront leur revanche, nous, nous aurons votre planête et les survivants pour esclaves.
- Vous n'etes qu'assoifés de pouvoir. Et moi, que suis-je là dedans ?
- Vous êtes un cadeau pour les brutes, étant donné votre importance pour vos congénères, si ils ripostent, ils n'oseront pas attaquer la planête sachant que vous êtes dessus. Vous êtes un bouclier vivant.
- Votre plan est voué à l'echec.
- Silence nous arrivons, allez donc provoquer les brutes. "

Le pélican se posa sur une île juste en dessous du vaisseau brute, sur ce rocher, se trouvaient déjà plusieurs brutes. Les occupants du pélican sortirent et l'une des brutes approcha.

" - Ah, nos nouveaux amis ! Nous sommes contents de vous voir !
- Il en est de même pour nous chers brutes. Regardez ce que nous avons là...
- Ha ha, celui la ira pourir dans une de nos prisons.
- Bien, savez vous quand l'assault sera lancé ? Nous devons d'abord finir de nous relever, de bâtir une nouvelle flotte, de nouvelles villes.
La brute tapota l'épaule du colonel. D'habitude, il lui aurrait déjà arracher le bras.
- Dans quelques années, nous avons aussi besoin de temps.
- Bien, je suis content de voir que nous sommes d'accord sur certains points. Eh bien, bon retour chez vous. "

Chaque camp retourna dans son vaisseau respectif. Dans le phantom qui l'amenait vers le vaisseau, Nol était pensif.

" - Freres, aujourd'hui, c'est moi qui paie la tournée ! Quant à toi, tu vas gentillement nous servir tout le long du voyage.
- Et en quel honneur devrais-je faire ce que vous désirez ?
- En quel honneur ? Vous ne pouvez pas faire de phrase sans le mot honneur dedans ? Bien sur je vais te répondre. Tu as le choix entre nous servir et rester en pleine forme, ou presque. Ou tu peut n'en faire qu'a ta tête et te faire tabasser par tout l'équipage chaque jour. "

La brute avait un rire à en glacer le sang, c'est sur que notre héros était dans l'impasse.

>>>> Quelques jours plus tard <<<<

Après un voyage qui paraissait être eternel pour lui, Nol devait rejoindre un phantom direction Doisac, direction la prison.

Pendant son voyage humiliant, il a été rabaissé à l'etat de grognard, même encore plus inférieur. Les brutes ne changeront jamais de comportement envers leur prisonniers. Ils ne respectent aucune loi.

>>>> Dans le phantom, survolant une immense forêt. <<<<

À l'intérieur, tout le monde dormait, des ronflements de touts côtés, un vacarme invivable, tout le monde dormait... sauf un.
Nol prit donc ce moment, comme le moment idéal, empoigna l'arme silencieuse que lui avait donné le marines, et discretement, tua les quelques brutes endormis dans la soute. Il se dirigea vers le cockpit, l'ouvrit.

" - Ne bougez pas, ne vous retournez pas. À moins que la mort, soit la chose que vous recherchez.
- D'accord, tirez pas, de toute façon si vous me tuez le phantom se prend un arbre.
- Activez le pilote automatique pour la prison, ou sommes nous ?
- Nous sommes au dessus de la plus grande forêt de la planête, plus précisement au dessus de la zone sacrée des 4 temples.
- Des temples ? Ce sera parfait. Merci, et... au fait ?
- Oui ? "

Il tira. L'équipage du phantom étant abattu, Nol put sortir sans aucun danger ou presque de celui ci. Il sauta et retomba dans un arbre. Après avoir rencontré quelques branches qui ont ralentis sa chute, il toucha le sol. Il se releva et commenca à marcher dans un sens choisi au hasard, il arriva dans une clairière ornée d'un temple.

" - Ca doit être un de ces fameux temples, s'ils sont si sacrés que cela, aucune brute n'y mettra les pieds pour me chercher. "

>>>> Retour dans le présent <<<<
>>>> Cabine d'Ez'Nol <<<<

" - Voila, la suite tu la connais, je suis resté dans ce temple, jusqu'à que tu me trouves.
- Alors, les humains nous ont vraiment trahis ?
- Oui, le désir de richesses, de conquêtes...
- Ils ont toujours étés comme ça ?
- ... Si seulement je le savais. Bon c'est pas tout ça, mais au lieu de dormir, je prefere aller manger un morceau, raconter tout cela m'a ouvert l'appetit. Pas toi ?
- Bonne idée, allons y.
Père ouvrit la porte, mais quelqu'un tomba à l'intérieur, aparemment, ce quelqu'un etait appuyé sur la porte pour écouter.

C'était Anvell, le chef de ma section, qui aparemment été toujours curieux des histoires de mon père.
- Que fais tu là, jeune Spec Op ?
- Excusez moi commandant, je... je...
- Tu écoutais à la porte, non ?
- En effet, j'en suis désolé, je mérite une sanction.
- Non. Si tu veut en savoir plus sur moi, viens avec nous au refectoire.
- Avec plaisir, enfin si votre fils est d'accord.
- Bah pourquoi je serais contre ? Tu es le bienvenu. "

Aujourd'hui j'ai appris comment mon père a été déclaré mort, dehors la bataille continuait encore, mais si les humains viennent vraiment en renfort côté brutes. On devra surement se replier.
Pas le temps d'y penser, je meurs de faim moi aussi.

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Message  Akamee Jeu 10 Juin - 22:32

Deuxième partie.

>>>> Chapitre 6 : Un nouvel ancien ennemi <<<<



>>>> Salle des commandes <<<<

Mon père ainsi que l'arbiter regardaient la bataille depuis la salle des commandes du transporteur, au plein centre des flottes de combat.

" - Comment se passe la bataille Thel ?
- Nous aurons bientôt triomphé de leur flotte, nous avons également eu des pertes.
- Ils sont morts pour la bonne cause, comme beaucoup.
Soundain.
- Arbiter, les radars longues portées détectent énormement d'échos se dirigeant vers ici. Contact inconnu, des nouveaux vaisseaux que nous n'avons pas encore vus sans doute.
- Par quelle direction viennent ces vaisseaux ?
- On les verras dans quelques secondes quitter l'hyperespace, à 35 degrés à l'ouest du destroyer 953.
- Patientons, que penses-tu que ca soit, Nol ?
- J'ai mes craintes là dessus.
Des vaisseaux arrivèrent dans la zone de combat.
- Des vaisseaux humains ?
- C'est ce que je craignais ! Ordonnes à la flotte de rester en position de défense, il faut faire revenir les chasseurs.
- Pourquoi ? Qu'y a t-il à craindre de nos amis ?
- Ils ne sont plus ce que l'ont crois qu'ils sont. Combien de vaisseaux ?
- Excusez-moi commandant, nous nous sommes arretés de compter à partir de 150...
L'arbiter appuya sur un bouton qui fait apparaître en mini hologramme, tous les commandants des destroyers et croiseurs des deux flottes. Il y en avait beaucoup.
- Formation de défense, destroyer 953 tenez les à distance sur la...
L'hologramme du commandant du 953 disparu au même moment de l'apparition d'une énorme explosion dans un vrombissement d'explosions. Ils avaient tirés.
- 953 a été détruit ! Nom de...
- Rompez la formation, retraite, mettez toute la puissance dans l'artillerie arrière ! "

Une fuite desesperée commença alors, avec des centaines de vaisseaux ennemis, nouveaux, puissants, rapides, qui nous nargués en détruisant nos destroyers, un par un, en quelques missiles. Des explosions, on pouvaient en voir de partout, autour du transporteur. Celui-ci se trouvait il y a quelques minutes, encerclés de vaisseaux alliés. Il était à présent l'un des dernier de la flotte. La retraite, chose rare, le dernier recours pour sauver des vies. Même la retraite nous était coupée.

" - Ils nous ont encerclés.
- Réacteurs coupées, ils ne répondent plus.
- Divers vaisseaux ennemis arrivent vers nous, que fais t-on ?
- Silence, laissez moi reflechir. Combien de vaisseaux nous reste-il ?
- 7, 4 endommagés dont le notre.
- Euh... arbiter ?
- je croyais vous avoir dit de.
- Des milliers d'échos arrivent de toutes les directions !
- Qu'est-ce que ?
- Transmission radio, je l'établie.
Un élite à l'armure de commandant apparu à l'écran, il semblait avoir vécu la grande guerre lui aussi. Il avait... quelques cicatrices.
- Tu auras toujours besoin que je te suives où que tu ailles Thel ?
- R'tas ? Tu nous a suivis ?
- Et j'ai bien fait on dirais, j'amene les 23 flottes non mobilisées avec moi. Des nouveaux vaisseaux humains c'est ça ? On va voir combien de temps ils tiendront à 150 contre 10 000.
Un deuxième écran afficha un deuxième commandant, qui lui aussi semblait avoir vu beaucoup de chose.
- Arbiter, commandant Inderee toujours dévoué à vos services, j'amene avec moi 5 flottes nouvelle génération. "

La retraite ? Ca n'était plus pour nous. Tout semblait sourire à notre victoire, même les réacteurs, se mirent à démarrer et à fonctionner à pleins régimes.
Tout le monde retourna à son post, de leur côté les humains devaient se demander ce qu'on faisait, à retourner en position d'attaque, mais quand ils virent les breches d'arrivée de nos vaisseaux, ils eurent le reflexe apeuré, de tirer sans le moindre calcul de trajectoire. Les éliminés ainsi, devenait une tâche facile pour les notres. Je ne pourrais pas dire combien de vaisseaux ont été abattus, ni le temps que cela a mis. Tout ce que je peut vous dire, c'est que leur démonstration de force, était passée inaperçu par rapport à la notre.

" - Ce fut un plaisir Thel.
- Merci, nous n'aurions pas pu nous en sortir sans toi, merci d'être là.
Père sortit de l'ombre.
- Bonjour R'tas.
- Akamee ? Vivant ?
- Oui, c'est une longue histoire.
- Eh bien je suis content de te revoir toujours debout, tu me racontera ça sur le chemin du retour quand on aura fini cette guerre. Je vais stationner les flottes autour de la planête. Il ne faut pas que des brutes s'enfuies, ni que des humains n'approchent.
- Bien, nous allons pouvoir débarquer le reste de la flotte, réparer les vaisseaux et nous reposer. La bataille ne devrait pas durer longtemps, pas avec cette puissance d'attaque. "

Après toutes ces revèlations, j'avais mal à la tête, c'etait insoutenable. Je ne m'étais même pas rendu compte que la salle de commandes avait été déjà vide. J'ai moi aussi quitté la salle pour me diriger vers ma cabine. Arrivé devant celle-ci, j'ouvris puis refermi doucement la porte sans un bruit sans y entrer. Père et mère s'y trouvaient, ils avaient certainement beaucoup de choses à se dires. Ce n'est pas grave, je vais piquer un somme dans les quartiers des Spec Ops. La couchette n'est pas très confortable, mais cela ira. Que va t-il se passer, maintenant que nous avons de nouveaux ennemis ? Après les brutes, allons nous envahir les humains ? Encore une fois ?
Je preferais trouver une solution radicale à tous ces conflits, une solution rapide, efficace.
Quoi qu'il en soit, la bataille va vraiment commencer, maintenant, nous allons débarquer sur Doisac, et je vais tuer ma premiere brute, un mort, il y en aura d'autres.
Je suis un Spec Op, prêt aux affrontements, aux combats sur une planête que je ne connais pas. J'ai hérité de la force de mon père, et du contrôle émotique de ma mère. J'ai reçu l'entrainement du grand combattant qu'est l'arbiter.
Je suis Ez'Nol Akamee, pour l'instant unique fils de ma génération, et c'est ici, maintenant, et pour longtemps, que mon histoire commence.

Mon père m'a dit : Vivre cette guerre ou y mourir ? Le choix... est vite fait.

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Message  Akamee Jeu 10 Juin - 22:32

Deuxième partie.

>>>> Chapitre 7 : La premiere fois <<<<




Cette fois, l'invasion de Doisac commence. Des milliers d'unités vont être déployées sur la planête, pour la plupart, deux par deux. J'ai donc dit aurevoir à ma jeune section pour combattre aux côtés de mon père. nous allons bientôt êtres largués.

>>>> Intérieur du transporteur, module de largage 079 <<<<

" - Ici salle des commandes, largage dans 10 secondes, bonne chance.
Nous avons été largués de haute altitude, la descente sera un peu longue. Je voyais par les petits hublots, le module de mon père, on pouvais communiquer facilement.
- Alors fils, prêt pour une vrai bataille ?
- Plus que tout père, j'ai hâte d'arriver au sol.
Mais nos modules s'eloignèrent l'une de l'autre, en fait, je m'eloigner de tous les autres modules.
- Transporteur, que se passe t-il ?!
- On a une alerte, un commando orbital humain s'est infiltré dans le vaisseau et s'est ammusé à trafiquer les zones de largage, vous allez être séparers, tous. Nous devons trouver cet humain avant qu'il ne trafique tout le vaisseau. "

Je me suis éloigné, de plus en plus pour atterir dans une valée entre deux montagnes. Étant vite sortis, j'ai vérifier les alentours avant de regarder vers le ciel, j'était le seul à m'être écrasé ici. J'ai tout de suite testé les communications.

" - Squad 02 à toute squad alliée, quelqu'un m'entend ? Squad 02 à transporteur... Les montagnes coupent peut être. "

Quand on est largué en binômes, l'un doit compter sur l'autre, je transporte les munitions, père, les vivres. Et me voila seul, perdu en territoire ennemi.
Je marcha, longtemps, vers le sommet d'une montagne pour réessayer les communications. arrivé sur un flanc de la montagne, je vis une patrouille brute. Ils m'ont certainement vu m'écraser. Je me cacha dans des buissons épineux, par rapport aux brutes, ca n'était pas plus mal. 6 brutes passèrent très près de moi, sans me reperer. Une fois la patrouille passée, je sortis difficilement du buisson pour me remettre à marcher, la montagne étant haute, les patrouilles nombreuses, les heures passèrent, j'étais déjà à bout. Quand enfin j'atteignis le sommet, une sentinelle qui apparemment m'avais vu donna l'alerte à 4 autres brutes qui arrivèrent aussi tôt. Caché derriere un petit rocher, je dégaina mon fusil à plasma et tira un premier temps à l'aveugle. Les ennemis faces à moi étés bien determinés à me tuer. Des grenades, des tirs de spyker, je ne pouvais pas bouger de ma couverture, à ce moment là, chaque erreur me serait fatale. J'étais déstabilisé, que faire ? Je fus sortis de mes pensées par une grenade spyke qui atteris à quelques centimetres de moi. Je fis un bond sur la gauche pour éviter l'explosion et reçu en punition quelques piques de spyker dont un dans la jambe gauche. Cloué au sol, je n'avais plus vraiment le choix que de donner tout ce que j'avais. J'ai tirer, pleins de fois, sur ceux que je voyais. J'ai vu quelques brutes tombés, j'en ai vu d'autres qui ont disparus dans l'explosion bleue de mes grenades. Je crois que je les ai tous eux. J'essaya de me relever mais je ne sentais plus ma jambe, un nerf avait du être touché. 4 ou 5 morts, difficile de savoir, il y avait des cadavres déchiquetés partout. Mais aparemment, j'avais mal compté, la sentinelle qui avais donné l'alerte approcha, je repris mon fusil pour tirer, je ne recu de sa part qu'un "clic". Il devait être vide. La brute approcha, m'attrapa, me souleva. Me parla.

" - Je me demande ce que je vais gagner en ramenant ton cadavre à mes supérieurs.
- Si tu gagne de quoi de donner une bonne haleine, fais en bon usage.
Il grogna et m'envoya contre un rocher voisin de celui où je m'etais caché. La douleur de la rencontre de mon dos à ce rocher fût terrible, j'ai l'impression d'avoir été ecrasé par je ne sais quoi de très lourd. J'étais completement paralysé. La brute, fiere de son coup, me repris et me plaqua la tête contre le rocher, un peu coloré de mon sang. Il ricana. Alors que tout semblait perdu pour moi. Que la mort était présente à mes côtés, j'entendis un tir. Le bruit de cette arme m'était inconnu, on aurait dit que la munition était en métal.

La brute, au sol, semblait morte, le crâne transpercé par le tir. J'étais également allongé sur le ventre, je ne pouvais plus bouger. Mes yeux se fermaient et s'ouvraient rapidement, au bout de quelques secondes, je pus apercevoir un être se dirigeant vers moi. Mes craintes s'étaient revelées justes, c'etait un humain, mais pourquoi un humain tuerait il une brute ? Il s'approcha de moi, s'accroupi et enleva son casque. Il m'observa, vit que j'etais encore en vie et remit son casque.

" - J'ai un survivant élite ici, dans un sale état... Bien reçu, je fais le nécessaire et je retourne au camp.
Il posa un sac, sortit une telecommande et appuya sur un bouton, un robot médicale assez ancien arriva.
- Pourquoi me venir en aide, humain ? N'etes vous pas allié avec les brutes ?
- Évites de trop parler pendant tes soins, non nous sommes une minorité à encore résister aux ordres de nos chefs. Les brutes nous croient avec eux, alors que notre camp, est placé ici pour les espionner. Sur Terre, on nous appele terroristes, meurtriers, voleurs. Nous ne sommes rien de tout cela.
- Merci de m'aider.
- Tu n'es pas le premier qu'on aide, sur Terre, j'ai armé un prisonnier, j'espere juste qu'il s'en ai sorti.
- C'etais vous le marines qui a donner une arme à mon père ?
- Tu... tu es le fils du prisonnier Akamee ? Quel coincidence !
- Il est ici lui aussi, grâce à vous il a pu échapper aux brutes, temporairement.
- Bien, j'espere que vous allez vous en sortir, une fois les brutes hors combats, nous pourront parler plus sérieusement de la Terre. Je t'ai soigné mais ne t'attends pas à une autre aide venant de moi, je dois rejoindre le camp, seul, sinon les brutes vont nous dénoncer et nous éliminer.
- Merci beaucoup, sans toi, je serais un cadavre de plus sur cette montage. J'espere te revoir.
- Bonne chance. Et, mes amitiés à ton père, si tu le revoit. "

J'en avais oublié mon père, je tenta la communication, mon armure était écrasée, fissurée, mais les comm. fonctionnaient encore.

" - Squad 02 à Squad 01.
Des interférences se firent entendre.
- ... je suis content de t'entendre fils.
- Père, je suis sur une montagne mais aucune idée où précisement. J'ai rencontré des brutes et pour être franc, j'ai failli y passer.
- ... j'ai entendu... tir humain dans... secteur, je me dirige... la montagne.
- J'ai croisé un humain qui m'a aidé, d'ailleurs il t'a aidé il y a quelques années quand tu as été trahis.
- Je vois de qui... veux parler... content qu'il s'en... sortit. J'ai également croisé... brutes et... radio a souffert... tir de plasma.
- Je n'ai aucune vivre père, je suis épuisé et la nuit approche. En plus avec l'odeur des cadavres brutes.
- Fils... les brutes... pouvoir te servir.
- Quoi ?! Jamais de la vie, c'est immoral ce serait ignoble !
- ... guerre fait faire... choses horribles mon fils.
- Bien père. Nous devrions économiser la puissance des comm. j'espere vite te revoir. "

Après avoir improvisé une cachette faite de bois et de feuillages principalement, après un repas que je n'aurais jamais voulu faire, j'avais besoin de dormir. Aujourd'hui j'ai vécu ma premiere véritable bataille. J'ai failli mourir, le premier jour, et je suis sur que je vais encore connaître cette sensation d'echec et de mort. J'ai besoin de dormir, j'en connaîtrais d'autres.

Le lendemain, après une nuit à vomir tout ce que j'avais mangé à contrecoeur. J'ai recontacté père.

" - Squad 02 à Squad 01.
- Ez'Nol, j'ai pu réparer mes communications. Je suis bientôt au sommet de la montagne, ca va ?
- J'ai pas l'habitude de manger de la brute mais, je crois que ca va aller.
- Quand on aura fini cette guerre, je te promets que tu n'auras plus à faire une horreur pareille.
Après plusieurs minutes père me rejoigna au sommet.
- Eh bien, il y a eu une grande bataille ici, il y a du sang partout.
- Je crois pas que tu va me croire si je te dit que il y a plus de mon sang qu'autre chose ici. Je me suis fait avoir par une patrouille, sans cet humain, tu aurais du annoncer ma mort à mère.
- C'est une chose que j'espere ne jamais devoir faire. Que t'as dit notre ami humain ?
Je raconta à père tout ce que j'avais appris de la part de mon sauveur. Il semblait savoir de quoi l'humain voulait parler. Je lui posa la question.
- Eh bien fils, lors de la grande guerre, les survivants humains, étés unis. Après la guerre, quand j'y étais prisonnier, cela avais changé. J'ai appris que leur amiral qui soit disant avait tout manigancé, avait en faite été assassiner par un colonel qui avait les marines sous ses ordres. Il a pris le contrôle entier de l'armée et maintenant c'est lui qui dirige. Les civils humains en souffres beaucoup.
- Je comprend. Mais si nous allons envahir la Terre ?!
- Ils se serviront des civils innocents comme bouclier. "

L'humain est une créature sans conscience. Jamais, jamais un sangheili, ferait une chose pareille à un frère, même pour le plus puissant pouvoir qui puisse exister.

- Regardes toi, fils, ton armure ne te sert plus à rien dans cet état, il faut te rapatrier.
- Et vous père ?
- Les troupes de débarquement ont installés une base dans la clairière des temples. Une fois reéquipé et totalement rétabli, tu pourra rejoindre la base. "

Un phantom vint rapidement me chercher pour m'amener sur le trasporteur, il fallait faire réparer mon armure et me faire un contrôle médical, les soins humains, efficaces, ne sont pas sans risques pour moi. Arrivé sur le transporteur, mère m'attendait au hangar. Elle devait être inquiete quand mon module a été largué ailleurs que la position initale.

" - Je suis contente de te voir en un seul morceau Ez'Nol.
Elle me serra dans ses bras mais vue que mon armure avait pris un coup, cela me broya plus les os qu'autre chose.
- Aïe mère ! Doucement, mon armure me fait mal !
- Oh excuses moi, ton père disait vrai, tu as été gravement touché. Quand ton module de largage a été dévié, les communications ont étés coupées. On a crus que ton module avait explosé en plein espace.
- Le probleme avec l'espion est reglé ?
- Non, il doit être bien caché dans le vaisseau, la sécurité est partout. Maintenant vas tranquillement à l'infirmerie fils, passes par l'amurerie pour faire réparer ton armure. "

Je quitta le hangar pour aller vers l'infirmerie, dans le couloir, je me retrouva appuyé contre un mur, j'avais des hallucinations. Il faudra que j'en parle au médecin.
J'entris à l'infirmerie me posa sur un lit, le médecin arriva.

" - Alors qu'avons nous là ?
- Il faudrait me faire un contrôle de routine pour voir si des soins humains ne m'ont pas donné d'effets secondaires
- Bien cela va être vite fait.
- Et... autre chose.
- J'écoute.
- Tout à l'heure dans le couloir, j'ai eu une hallucination, j'ai la tête qui tourne maintenant, j'ai aussi un mal de ventre qui ne passe pas.
- Étrange, la nourriture des Spec Ops est pourtant très saine.
- Je n'avais pas à manger sur moi.
- Qu'avez vous ingurgité ?
- J'étais affamé, y'avais des cadavres de brutes, j'ai du...
- Oh non... C'est pas possible.
- Est-ce grave ?
- Dans le plus grave des cas, vous mourrerez, mais c'est très rare. Vous allez avoir des hallucinations pendant quelques jours.

Mais vous allez obtenir une personnalité brute. Je m'explique : Pendant les combats, si la personnalité ressort, vous allez foncer sans reflechir sur l'ennemi. Comme une brute en faite. Ca peut être agacant car vous allez devenir une cible facile.
- Est-ce curable ?
- Non mais vous pouvez apprendre à contrôler ces pulsions pour en faire une capacité très utile pour le corps à corps. Car lors de ce dédoublement de personnalité, vous aurez votre propre force additionnée avec celle d'une brute.
- D'accord, je vous remerci.
- Prenez ces médicaments, pour les hallucinations, vous vous injectais ça tous les jours, et vous êtes sur d'être tranquille... j'espere. "

Après cette revélation, plutôt étrange, je me suis rendu à l'armurerie pour prendre une nouvelle armure. Je franchis la porte de l'armurerie et me pris ce qui semblait d'après le choc être la crosse d'une carabine sur la tête. Sonné, je regarda qui m'avais frappé.

" - Oups, excusez moi, je dois veiller sur le stock d'arme, pour pas que l'humain y touche. Ca va ?
C'était une femelle qui avait mon âge, elle semblait gênée de m'avoir accueilli comme cela. Elle m'aida à me relever
- Fiou, quel accueil, et euh... quelle force, l'humain serait déjà mort.
Elle rigola doucement.
- je suis désolée de ce malentendu, j'espere que vous n'avez pas trop eu mal. Je suis bonne à rien...
- Mais non, mais non, je viens pour changer d'armure, j'ai l'impression que celle-ci va tomber en morceaux. Comment t'appelles-tu ?
- Je suis Cilla Blimee, mon père est l'armurier mais il est en réunion. Ton armure semble avoir était pietinée par des milliers de brutes.
- On peut dire que c'est le cas. Il me faudrait la même.
- Suis-moi dans l'arrière reserve.
Je la suivi, elle était étrange, j'ai vu beaucoup de monde, mais elle, me faisait ressentir autre chose, cette fois, j'avais mal au ventre, c'était pas ce que j'avais mangé.
- Alors, armure de Spec Ops, taille pré-adulte...
- Pré-adulte mais je me bat comme un vrai.
- Je te crois sur parole. (Elle me fit un sourire) Voila l'armure, oh elle est assez haute, voila l'echelle.
Elle monta sur l'echelle, la reserve avais un haut plafond, et l'armure était à environ 12 metres de haut.
- Tu la trouves ?
- Oui, oui, je l'ai, elle est tout au fond de l'etagere, aller viens par là...
Elle glissa et tomba en arrière, par un reflexe je la rattrapa elle réouvrit les yeux, et nous restâmes silencieux pendant quelques secondes à se regarder. Je la reposa sur le sol.
- (En rougissant) Merci. Merci beaucoup... Oh euh, voila ton armure.
- C'est moi qui te remercie Cilla.
- Je vais t'aider à la mettre. "

Après quelques minutes de discussion tout en mettant mon armure, j'ai appris à mieux la connaître et elle à mieux me connaître.

J'étais venu pour quelques minutes, cela fait deux heures que je suis dans la reserve, j'ai envie d'apprendre plus sur elle, et quand je repartirais au combat, j'aurais envie de la revoire. Son père entra dans la reserve.

" - Alors Cilla, on discutes au lieu de travailler, si cela se trouves, on nous a volé quelque chose ! Quant à toi, tu peux être n'importe qui et je n'autorise pas n'importe qui à venir dans ma reserve, dehors !
- À votre guise. Je sors. "

Dommage, j'aurais au moins voulu obtenir un lieu pour la revoire.
Je me dirigea tête baissée dans les couloirs, allant vers le hangar, je passa devant la porte de la salle des commandes sans remarquer que quelqu'un sortait, et me cogna à son épaule.

" - Oups désolé, je ne vous avez pas vu, ah Arbiter ? Bonsoir.
- Eh bien Ez'Nol, tu es distrais on dirait, ca ne va pas ?
- Si, bien sur que si, une hisoire de coeur.
- Ah, tu es bien le fils de Nol toi. Alors tu repars au combat ?
- Oui, un phantom m'attend, pourquoi ?
- Parce que le même phantom m'attend, j'y vais également et je prend la tête de l'équipe de ton père. Ca ne te poses pas de problèmes j'espere ?
- Non, je vous fais confiance, et mon père aussi.
- Dans ce cas, allons y. "

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Message  Akamee Jeu 10 Juin - 22:33

Deuxième partie.

>>>> Chapitre 8 : Le retour d'un ennemi vaincu. <<<<




>>>> Poste de commandement sur Doisa <<<<

Depuis le phantom, on voyais certaines zones de Doisac, ravagées et vitrifiées, l'arbiter semblait observer ce spectacle comme s'il en avait l'habitude. Quand nous sommes à arrivés à destination, j'ai compris que nous n'allions pas être 3 mais 4 dans l'équipe, un autre ultra, attendait, avec mon père. Nous sortâmes.

" - Fils, je te présente un vieil ami à moi, Onem Inderee, un chef hors paire.
- C'est un honneur commandant Inderee. Père, vous semblais pressé...
- Oui, il faut partir vite, un dernier transporteur brute va partir avec à son bord touts les survivants qu'il peut transporter. Il faut le clouer au sol. "

Nous sommes partis à pied, à travers les bois, à la recherche d'une base principale brute, des dizaines de phantoms quittaient cette base pour charger le transporteur. Ils allaient quitter leur planête subitemment. Je trouvais ça étrange, très étrange, car les brutes avaient encore de quoi nous tenir tête pendant des semaines même des mois. Pourquoi quitter leur planête natale ? Savez ils quelque chose que nous ignorons ? Je suis sur que nous n'allons pas tarder à le savoir. Nous approchâmes du secteur où l'imposante base était visible telle une montagne. Deux brutes étaient assez éloignés de la base et marchés dans notre direction.

" - Comme au bon vieux temps Nol ?
- Comme au bon vieux temps Onem... Arbiter, Ez'Nol, restez à couvert. "

L'arbiter et moi nous sommes cachés et avons observés le commandant Inderee et mon père, qui se sont rendus invisible et ont litéralement empallés les brutes dans le dos. Cela fait ils sont revenus par ici.

" - Pas très fair-play, mais efficace.
- Arbiter, si on devais être fair-play avec chaque brute...
- M'oui... Quelque chose ne tourne pas rond.
- À quoi penses-tu ?
- Tu n'as pas changé Nol, il n'y a que moi qui pense ici. Regardes la taille de cette base, combien vois tu de gardes ?
- Aucun... Je vois une substance bizarre qui coule le long d'un mur. Du sang ?
- Non. Bien pire...
- Et moi qui pensais que cette odeur venait des brutes... Ce ne peut pas être lui. L'Halo devrait l'avoir détruit.
- On ne se débarasse jamais vraiment d'une plaie comme ça.
- Je le sais bien Arbiter, que proposes-tu ?
Le commandant Inderee prit la parole.
- Et si on faisait sauter la base ? Ca le ralentira et notre objectif sera accompli.
- Bien pensé commandant, vous attaquerez la base par le premier étage avec Nol grâce aux jet-packs. Le petit et moi, on prendra la porte principale et vous rejoindrons par les escaliers. "

Le petit... Je vais lui montrer si je suis encore petit moi. Nous avons donc accepté sans conditions ce plan. Je ne savais pas vraiment de quoi ils parlaient, mais c'est vrai qu'une odeur étrange, habitait ces lieux. L'arbiter et moi avons atteins la porte principale et avons enclenché l'ouverture. Chacun d'un côté de la porte, nous sommes entrés. À l'intérieur de cette immense structure, régnait un calme, ce calme siègait sur les tas de cadavres de brutes, étrangement mutilés. Les mur et le sol en étaient entièrement tapissé de sang.

" - Que s'est il passé, ici ?
- Ce que nous craignons, il faut rejoindre les autres, vites.
Nous commencâmes à courir dans les escaliers.
- Arbiter, de quoi avez vous si peur ?
- C'est une longue histoire, trop longue. "

Nous avons finalement atteins l'étage où nous attendaient le deuxième groupe. Père avait l'air, ailleurs.

" - Finalement, il est ici. Les brutes pensaient fuir et le parasite les a piègés dans leur propre base.
- Le parasite ? Il existe vraiment ? Je n'ai jamais cru en cette histoire.
- Eh bien oui fils, le parasite a vraiment existé, nous avons cru l'avoir éliminé pour de bon, mais aparemment, ce n'est pas le cas. il nous faut rester sur nos gardes.
- Ils sont dangereux ?
- Tu ne doit en aucun cas les laisser s'approcher de toi. "

Je ne connaissais pas cet ennemi, et d'après les paroles de mon père, il ne valait mieux pas que je le rencontre. Nous nous sommes frayés un passage parmi tous ces cadavres, de salles en salles, couloir après couloir, jusqu'au dernier étage de la base, la haut se trouvait la salle des communications, qui heuresemement était en état de marche. Nous avons averti le commandant Vadumee de la situation. Je pouvais entendre à travers quelques grésillements, sa réaction.

" - ... Encore... Bon, vous avez eu une bonne idée, tant qu'il ne vous a pas reperés, faites sauter ce bâtiment, nous viendrons vous chercher dès que possible.
Puis les communications furent coupées.
- Rah... bon nous avons vu des reservoirs à combustible et diverses containeurs à grenade au premier étage. On va ramener tout ça jusqu'à l'armurerie au 2eme et tout faire sauter.
- Ton plan me parait bon Thel, Onem et moi allons s'occuper des grenades. Il faut faire vite. "

Nous nous sommes dépêchés de descendre chercher tout ce qui pouvait exploser avant que les nouveaux occupants de la base ne reperent notre présence, mais à mon avis, le fait que les communications ait lachées... Il se préparait quelque chose.
Après quelques allés et retours, nous avons pu remplir l'armurerie de matériaux à combustible et de grenades prêtent à exploser.

Inderee et père se murmuraient des choses, je me demande ce qu'ils nous prépares...
Soundain, alors nous étions à l'exterieur de la salle, père actionna la porte en verre qui se referma.

" - Que faites vous ?!
- Arbiter, prenez Ez'Nol avec vous et aller dehors, le compte à rebours avant l'explosion sera trop court.
- Mais ? et toi ? et Inderee ?
- On trouvera bien une sortie.
Je frappa à la porte mais mes coups ne résonnaient même pas sur le verre de la porte.
- Père, attendez !
Il ferma la seconde porte, en acier celle-ci. Je ne le voyais plus.
- Ez'Nol, aller sortons, je suis sur qu'ils trouveront un moyen. "

Juste après ces mots, des êtres minuscules, d'une couleur assez spéciale sortirent par milliers des conduits de la structure. Certains foncaient droit sur nous, d'autres s'arretaient au niveau des cadavres brutes, puis des choses horrifiantes se passaient. Les corps, se relevaient.
L'arbiter ne tarda pas et lanca une grenade plasma dans un tas de ces immondes créatures qui arrivaient vers nous.

" - Cours ! Ne t'occupes pas d'eux il y en a une infinité ! "

S'en suivi d'une course folle dans les couloirs et les escaliers, quelques grenades à chaque angle, des tirs de plasma en arrière, nous n'avions même pas besoin de viser, il y en avait partout. Nous avons réussi à atteindre la porte principale, nous sommes sortis et l'arbiter à fermé la porte. Mais ces choses coriaces, ont surgies de par les étages supérieurs, les petits s'écrasaient au sol lamentablement et explosaient à son contact, les brutes, qui avaient changés, restaient debout et nous dûmes combattre jusqu'a qu'ils ne se relevent plus. Leurs bras et leur jambes s'arracher beaucoup plus facilement que la normale. Ainsi, ils furent plus facile à éradiquer au plasma. Quand tout à coup, une communication.

" - Ca va sauter ! "

Avec ce signal, nous nous sommes jetés à terre et j'ai eu le temps de remarquer mon père et Inderee sauter depuis le premier étage. Ils furent ratrappés par des flammes colorées.
Le souffle m'a plaqué la tête sur le sol, je n'entendais plus rien, je voyais, des débris dans les airs, ils retombés au ralenti, un sifflement, c'est tout ce que j'entendais pendant un court instant.
Dans une fumée épaisse, nous nous sommes relevés. L'arbiter était à côté de moi, mon père plus loin, Inderee, encore plus loin.

" - Tout le monde va bien ?
- Je viens de courir avec des explosions derriere moi, j'ai sauter d'un bâtiment qui a explosé juste après cela, sinon ca va Thel, ca va très bien.
- Avoues que c'était bien Nol !
- Je l'avoue, Onem, je l'avoue...
L'arbiter semblait inquiet. Il annonca.
- Ce n'est pas fini, il faut rejoindre le phantom vite ! "

Des ruines de cette base, sortirent des armées de ces paraistes minuscules, ils étaient encore là. Nous avons vite repris nos esprits et avons commencé à courir sur de longues distances, quand un cri vint nous alerter. Père s'affola.

" - Ils ont rattrapés Onem !
En effet, des dizaines de ces choses se sont jetées sur le commandant Inderee, il est tombé à terre, ces cris se faisaient entendre, c'était terrifiant. Père se retourna.
- J'arrive ! Ne le touchez pas, parasites !
L'arbiter s'interposa et se jeta sur père, le plaquant au sol.
- Ne sois pas fou, on ne peut plus rien pour lui, releves toi et continus de courir !
Il lui prit la main et le releva, père restait silencieux. J'enclencha mes communications.
- Squad 04 à phantom de secours, vous etes où ?!
- On est sur les rebords d'une falaise squad 04, les parasites sont partout sur Doisac, vous etes les derniers, depèchez-vous !
- On arrive, armés les canons à plasma on va avoir besoin d'une couverture. "

L'épuisement ne devait pas se faire sentir, nous courrions depuis déjà un bon moment, mais si l'un de nous s'arretait, il serait instantanément rattrapé et tué. Soundainement, je recu un bref flashback, du moment où le medecin du transporteur m'avais annoncé ma face brute qui était maintenant en moi. Quand je revint au moment présent, je n'était plus fatigué de courir, et je courrais beaucoup plus vite, surement l'effet de cette personnalité. J'ai ralenti, pour laisser l'arbiter et mon père passer devant, je me suis dirigé vers un arbre et sans que sache comment, l'ai deraciné au passage, l'envoyant sur le tas de parasites qui nous suivaient. Étonnés, l'arbiter et mon père se sont retournés, et m'ont regardés. La chute de l'arbre avait soulevé un nuage de poussière, mais quand il s'est dissipé, j'ai pu apercevoir que ca ne les avaient pas arretés dans leur course. Nous avons continués à courir jusqu'à que la falaise soit en vue, j'etais encore derriere, les canons à plasma envoyés tout ce qu'ils avaient, je voyais des tirs de plasma fusés à quelques centimetres de moi pour s'ecraser sur nos poursuivants. Il y avait aussi des brutes parasitées dans le lot, l'une de ces brutes fit un bond gigantesque pour atterir sur le phantom, il frappe l'apareil au cockpit, mais se fit descendre rapidement par un autre phantom. Les coups sur le cockpit avaient fait bouger le phantom d'au moins 4 metres. J'etais le dernier au sol. Plus les secondes passaient plus ils s'eloignait.
Quand j'arriva vers le bord, les comm. s'allumèrent et le pilote hurla.

" - SAUTEZ !! "

Et je sauta, je m'accrocha à la rampe droite du phantom, je ne tenais qu'a une main, très vite cette main lacha prise.
Je me sentais tomber lentement, le phantom commencais à s'eloigner, au ralenti, ou plutôt, je m'éloignais, petit à petit. Alors que je semblais perdu, je sentis que mon bras était tiré, je jeta un regard un peu plus haut, l'arbiter me tenait la main.

" - Nol, tu peux nous remonter s'il te plaît ?
- Bien sur.
Mon père nous hissa tout deux à l'intérieur et les portes latérales se fermèrent.
- Alors fils, cette planête nous a reservée beaucoup de choses, hein ?
- Oui, père, c'est vrai... je...
- Ez'Nol ? Ez'Nol ?! Medecin ! Il a fais un arrêt...


...



LIAISON COUPÉE

>>>><<<
Sujet : Ez'Nol Akamee
Position : Espace aérien de Doisac
Etat : Inconscient.
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Akamee
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Message  Akamee Jeu 10 Juin - 22:33

Deuxième partie.

>>>> Chapitre 9 : Une vieille connaissance. <<<<




J'ai ouvert les yeux, accueilli par une lumière forte, je me suis redressé, j'etais à l'infirmerie. Le medecin était là.

" - Vous n'etes pas un grand dormeur vous. Vous avez été amené ici il n'y a que quelques heures.
- Que s'est-il passé ?
- Eh bien aparemment, vous avez fait connaissance avec votre personnalité brute. Par manque d'habitude vous vous êtes évanoui.
- Ma tête...
- Effet secondaire, ca ne durera pas. Vous feriez mieux de vous reposer, j'ai appris que cette personnalité pouvait jouer sur votre comportement, attention à ne pas devenir une brute à part entiere.
Je me leva, la pièce tournait.
- Je vous ai dit de vous reposer.
- Je vais le faire, mais dans ma cabine.
- Bien, bien, mais ne comptez pas sur moi pour vous ramasser par terre. "

Quand je suis sortit, les couloris me parraissaient sans fin, j'avais chaud, je devais m'appuyer au mur pour marcher. Je me souviens plus vraiment de ce qui c'etait passé quand ma face brute a surgit. J'entendais des cris, les mêmes que quand j'ai tué ces brutes. Des cris de douleur, et j'ai ressenti le goût immonde de ce que j'en avais mangé. Plus j'y pense, plus ma tête me fait mal, je crois que je vais dormir toute la journée...

Au milieu d'un couloir, quelqu'un m'arreta, je leva la tête, c'etait l'armurier Blimee, le père de Cilla. Il me bouscula violemment, je m'appuyer toujours sur un mur.

" - Dis donc toi, tu crois que je n'ai pas remarqué que tu t'interesse à ma fille ?
- Laissez-moi passer, je n'ai pas vraiment l'humeur de parler de cela.
- Tu peux être le fils de n'importe quel commandant, ca ne te donnes pas le droit d'approcher ma fille. Alors je vais te faire

la leçon. Si tu l'approches encore une fois sans mon consentement, je me chargerais personnelement de ton cas.
- Vous ne me faites pas peur.
Il me donna un coup de poing.
- Je ne veux pas te faire peur, mais te faire comprendre clairement, que je n'hésiterais pas à tuer les types dans ton genre. "

Mon mal de crâne s'emplifia sous ce coup, je sentais aussi les mêmes sensations que j'avais expliqué au medecin. Pourquoi ma face brute surgit à ce moment, il fallait que je me contrôle. J'essaya de partir vers ma cabine, mais il ne voulait pas me laisser partir comme ça. Ce que je cragnais arriva, je ne pus contrôler ma main, lui me regardait dans les yeux, moi, je suivais ma main qui descendait chercher mon épée. J'etais sur que mon cerveau ordonnait à ma main de rester tranquille mais celle-ci prit quand même lépée, l'amena lentement au niveau du torse de l'armurier, et l'alumma. C'est juste après ce terrible moment, que je repris le contrôle de mon corps.

Je laissa tomber l'épée, devant moi se trouvait, inerte le corps d'un frère que j'ai tué... Qu'ai-je fais ? Est-ce vraiment moi qui est commi cet acte ? Je ne pouvais pas me contrôler. J'observais, silencieusement, appeuré, le cadavre d'une personne que j'aurais jamais imaginé tuer. Que m'arrive il ? Pourquoi cette réaction ? Je m'en veux.
Je me suis assis dans un angle, à penser... Que faire ? Soundain, un cri.
Il venait de l'autre bout du couloir, je lanca un regard dans cette direction. Cilla était là, terrifiée.

" - Tu... tu l'as tué !
Elle partit en courant.
- Cilla, attends ! "

Je remarqua que dans ma main, j'avais mon épée, encore allumée. Je pensais pourtant l'avoir laissée tomber. Je ne posa pas la question, me releva et couru chercher Cilla, je devais lui expliquer, même si c'était cause perdue. Mais alors que j'arriva dans un angle de couloir, j'entendis un second cri. C'était encore Cilla, je couru plus vite, que se passait il là bas ?
J'arriva dans un hangar, le cri venait de là. Devant moi, Cilla, elle été menacée par le pistolet d'un humain posée sur sa tête.

Ca devait être cet espion.

" - Laches là humain ! Si tu veux tuer quelqu'un, ca sera moi !
Je regardais impuissant la scène, il semblait décider à ne pas la laisser libre. Je ressenti tout à coup un léger picotement dans le dos, avant que je puisse me retourner, un humain passa à côté de moi et rejoigna son coéquipier. Il avait une seringue aparemment vide dans la main. Quand je m'en rendis compte, l'une de mes jambes se plia, me forcant à mettre un genou à terre.
- Que m'as-tu injecté ?!
- Un fort paralysant, je l'ai pris apèrs avoir tué le medecin, j'ai d'ailleurs trafiqué la caméra de surveillance de l'infirmerie pour que l'on t'accuses toi d'avoir commis ce meurtre.
Plus les secondes passaient, plus je perdais l'utilité de mes membres.
- Ahh... relachez... la... Et je vous laisserez partir.
- C'est bien gentil, mais non. Elle va pouvoir nous servir à ne pas être abattu à peine avoir quitté le transporteur.
Cilla semblait terrifiée, ils reculèrent jusqu'à arriver dans un phantom. J'amena difficilement une main en avant.
- Ci... Cilla !! Je te retrouverais ! Je te le promets ! "

Les portes latérales se fermèrent et le phantom décolla. C'est ma derniere image de cette journée. Je dois retrouver Cilla. Je... je l'aime.

>>>> Quelques heures plus tard <<<<

Je me suis reveillé, cette fois ci, la lumière était un peu plus absente, il n'y avais qu'un petit hublot, c'était une cellule du transporteur. Je pensais sans cesse à Cilla, que va t-elle devenir ? Je fut sortit de mes pensées par une voix familière. C'était père.

" - Qu'as-tu fait fils...
- Père, je...
- Expliques-moi !
- J'ai tué l'armurier Blimee. Je n'ai pas pu empêcher cet acte et j'en assume toutes les conséquences.
- Comprends fils que c'est un déchirement pour moi, une trahison, et bien plus pour ta mère. Que s'est il passé ?
- Je ne peux pas expliquer la mort de Blimee, mais... des humains ont enlevés sa fille et ce sont eux qui ont tués le docteur !

Ils se sont échappés en volant un de nos phantoms !
- Ca je le sais, avant de partir, ils ont entierement faussés nos coordonnées de voyage, nous allons vers une destination inconnue et nous ne pouvons pas changer les coordonnées jusqu'a que l'on soit arrivés.
- Que va-il se passer, père ?
- Tu vas être juger, je vais surement être chargé de te retirer ton épée ainsi que ton titre de seigneur de l'etat d'Akam. Tu vas certainement devoir te racheter, mais pas encore. Tu vas rester dans cette cellule jusqu'à la fin de la guerre. J'en suis boulversé fils.
- Je suis vraiment navré, je regrette beaucoup pour Blimee.
- Tes regrets ne sont rien comparés à tes actes. Où avais-tu la tête fils ? Que s'est il passé ? Est-ce une histoire en rapport avec la fille Blimee ?
- Je ne peux pas en dire d'avantage père, mon coeur me l'interdit. "

Père se retourna sans un mot, puis commenca mon séjour dans un cellule à bord du transporteur. Combien de temps, vais-je rester ici ? Suis-je la honte de la famille ? De notre race ?

>>>> Changement de sujet <<<<
>>>> Retour du sujet initial <<<<
Sujet : Nol Akamee
Commandant, nouveau seigneur de l'etat d'Akam.

>>>> Salle de réunion du transporteur <<<<

Une grande salle pour 3 sièges, une petite réunion pour une grande situation. Cela fait 1 semaine que mon fils est en prison. Son acte reste pour moi incompréhensible, mais ce n'est pas à moi de juger de son crime. Il a tué un sangheili. Pendant la guerre, j'ai du le faire moi aussi... J'ai du le faire plus d'une fois et je ne le referais plus jamais. Thel était tout aussi pensif que moi. R'tas entra dans la salle.

" - Certains vaisseaux sont restés à l'arriere, vous connaissez le protocole, surveillance du parasite. Les vaisseaux humains rebelles viennent avec nous. Nous nous dirigeons vers une planête non connue. Comment avons nous pu passer à côté de celle-ci ?
- Elle est très éloignée R'tas, c'est tout. Thel ? Cette planête semble beaucoup t'inquieter. Un probleme ?
- Je sens la présence de quelqu'un, ca remonte à des années. Il va falloir envoyer des équipes sur place, c'est une planête minuscule, en une journée, on devrait en avoir fair la tour.
- D'accord, Nol, Thel, vous prendrez la tête des équipes de recherche, il faut faire vite, une journée suffit au parasite pour rejoindre la Terre avant nous. "

Quand R'tas est reparti, j'ai regardé par le hublot. Il est vrai que cette planête était plus petite qu'un simple satellite naturel. Elle semblait abritait beaucoup de végétation. Thel se leva et se rapprocha du hublot.

" - Quand nous avons passé le portail, il y a de ça tant d'années, quand je t'ai crus mort. J'ai regardé derriere nous, j'ai vu une petite chose de cette couleur. Je ne pensais pas à une planête au début, et après, le choc, une partie du vaisseau en moins.
- Il y a tant d'années. Crois-tu qu'il soit encore en vie.
- Depuis le temps, j'ai remarquer que rien, ne peut le tuer. Un peu comme toi.
- S'il est vraiment ici, ne perdons pas de temps, allons le chercher. "

Thel me fit part de son accord et nous avons depêché des sections de rechercher et quelques phantoms, direction cette planête.
Dans ces phantoms, Thel et moi étions facile à repérer. Les soldats en armure nouvelle génération, des armures qui brilles à chaque éclat de lumière. Thel et moi avions l'air de vieux de la vieille. D'ailleurs je lui demanda.

" - Tu n'as jamais pensé à changer d'armure ?
- Depuis le temps que je porte cette armure maudite, j'ai l'impression qu'elle me porte chance.
- C'est pas faux, elle a été moins utile à tes prédecesseurs si j'ai bonne mémoire.
- Parlons de ton armure, elle était blanche au départ, elle est toute grise maintenant. Tu as une épaulette fissurée.
- Tout le monde n'a pas la même chance que R'tas, une nouvelle armure, une nouvelle gloire. Je trouve que l'or lui va bien.
- Tu lui diras quand on sera de retour, on est arrivés. "

Nous sommes rapidement descendu et nous sommes déployés tout aussi rapidement, l'habitude sans doute. Nous avons attendu l'arrivé du deuxième groupe et nous sommes séparés. Nous avons atteins une sorte de clairière encerclée de rochers et d'abres difformes. Un soldat nous fit signe.

" - Y'a quelque chose qui brille par terre, là bas !
- je vais y jeter un coup d'oeil.
Aucun soldat ne réagissait, alors je l'ai fait.
- Non restez ici, on sait pas ce que cette planete nous reserve. Reven...
- Ouaaaah...
Il est tombé dans un toru, un piège primitif creusé dans le sol. J'ai rejoins l'extremité du trou.
- Ca va en bas ?
- Euh... oui. Je suis tombé à quelques centimetres d'un pieu aceré. Un peu plus à gauche et...
- Bon il va bien, vous deux, remontez le. Les autres surveillez les alentours. "

Ces bois étaient silencieux, certains rochers en hauteur menacés de tomber. C'était assez calme comme environnement. Mais un petit bruit attira nos regards sur un rocher. Des petits caillous dévalés la pente, surement le vent, nous avons détourné le regard quelques secondes, puis une chose sauta depuis les rochers qui se trouvaient plus haut, en faisant dégringoler un qui tomba pas très loin. Nos regards étais occupés sur ces rochers, puis la chose retomba sur un soldat, le plaquant violemment au sol.

" - Qu'est-ce que ?! Ne bougez pas !
- Ah c'est vous... Vous en avez mis du temps à me trouver.
Thel et moi étions abasourdis, finalement, il avait survécu. Le soldat qui avait repris ces esprits, grogna lentement.
- Maintenant vous pouvez lui demander de bouger de me rendre mon fusil à plasma ?
- Excusez moi, et merci d'avoir amorti ma chute... Tu as pris un coup de vieux Thel.
- Et toi tu n'as pas changé, toujours à bondir à l'improviste. Tu as du te rouiller sur cette planête calme.
- Pas si calme que ça crois moi. Le fossoyeur m'a rendu visite recemment. J'ai du me cacher puis quand un vaisseau Unggoy a trouvé cette planête, le fossoyeur s'en est emparé.
- S'il reste des parasites ici, il vaut mieux partir et rejoindre le transporteur, il va falloir te raconter ce qu'il se passe.
J'intervint.
- Il faut prévenir l'équipe 2 du danger. Je m'en charge.
J'alluma les communications.
- Équipe de recherche 2, on l'a trouvé, attention, danger propable sur la planête, rentrez avec votre phantom...
Aucune réponse...
- Reéssaie.
- Équipe deux, répondez.
Une voix se fit entendre.
- Soldat de l'équipe 2 au rapport, je... je suis le seul rescapé ! Y'en a partout ! Je cour mais ces trucs me rattrapent ! Il y'en a même devant moi, oh non je suis encerclé... Ahhh !
Des bruits horribles se firent entendre. Ca rappelais des souvenir. "

Sans chercher à comprendre d'avantage le sort de ce soldat, nous avons vite rejoins le phantom. Nous avions perdu toute l'équipe deux.

" - Alors Thel, que se passe il ?
- Encore une guerre humano-covenant John.
- Comment ça ?
- C'est une longue histoire. L'amiral Hood a été assassiné par un colonel, et maintenant la terre se retrouve sous le joug de la main de fer de cet homme. On a certains rebelles avec nous, mais ils sont mal équipés. Les marines s'étaient alliés avec les brutes pour nous anéantir, sans succès. Les brutes se sont éteints. Mais maitenant on est sur que le parasite va revenir su Terre pour finir ce qu'il a commencé. Le problème est que le chef corrompu sera bien à l'abri et que la population va être décimée.
- Je vois, on ne peut pas laisser faire ça. Mais comment m'avez vous trouvés ?
- Des commandos orbitaux avaient infiltrés le transporteur. Ils ont tout déreglés à l'intérieur, il nous faudra des jours avant de tout réparer, sauf si...
- Sauf si Cortana s'en charge.
- Content de te revoir John. "

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Message  Akamee Jeu 10 Juin - 22:33

Deuxième partie.

>>>> Chapitre 10 : La Terre, encore. <<<<





>>>> Quelques jours passèrent <<<<

L'IA a été éfficace, le transporteur a pu être entierement règlé et réparé, mais le voyage vers la Terre, s'annoncait long.

Je rendais visite à Ez'Nol tous les jours, Krana, elle, toutes les heures. Mais que ca soit elle ou moi, il ne parlait pas. Il semblait ailleurs. Il devait beaucoup penser à cette Cilla. Je le comprend. Il l'aime, et se retrouve séparé d'elle, personne ne peut savoir si elle est encore en vie. Mais je sais qu'il compte sur moi pour la retrouver. Il se sent inutil dans cette cellule, ca fait 3 jours qu'il mange pas.

" - Nol ?
- Oui Krana ? Qu'y a t-il ?
- Il me fait de la peine. Je ne peux pas le voir comme ça.
- c'est dur en effet, la justice est dur, mais elle est nécessaire. Je connais mon fils depuis si peu, tu imagines combien ca me touche.
Elle commanca à pleurer. Je la prit dans mes bras.
- Que va il devenir ?
- Il a commis un crime de trahison. Il va perdre son honneur propre. Mais il restera toujours mon fils. Ne t'inquietes pas, va te reposer, tu passes le voir toute les heures, tu ne dort plus. Je sais que c'est dur.
- D'accord, tu as raison. Merci, merci d'être toujours là pour moi. "

Krana été très touchée par l'emprisonnement d'Ez'Nol, beaucoup plus que je l'imaginnais. C'est un coup dur, qu'il faut surmonter.

Il doit se sentir seul, mais il ne doit pas se laisser abattre. Je sais qu'il ne parlera jamais de ses problemes, il a de qui tenir. Il est d'aller se coucher, dans quelques jours, d'autres, batailles. Il faut que je m'y prépare.

>>>> Plusieurs jours après, espace aérien terrestre <<<<

" - Alors Thel, le grand jour ?
- Cette vue... Ces flottes de guerre, attendants l'ordre pour lancer l'assault sur cette planête.
- Ca date hein ?
- Je me fais vieux.
- Où est John ?
- Il a pris les commandes des forces rebelles, il va rendre visite aux marines et tenter d'en rallier le plus possible à sa cause. Je sais qu'il réussira. "

>>>> Intérieur transporteur de combat nouvelle génération, UNSC <<<<

" - Qu'attendent ils ? Nous sommes prêts à les recevoir avec toute la puissance de la nouvelle flotte.
- Commandant Gordon, pélican rebelle, c'est un vaisseau dîplomatique.
- Ils veulent parlementer ? Bien, préparez le hangar. "

Dans le pélican, se trouve le Major ainsi que 3 ODST, héros de la grande guerre, qui ont ralliés la cause rebelle. Un accueil simple à été mis en place dans le hangar principal du transporteur. Ce vaisseau était immense. Et son armement, imparable.
Le pélican se posa.
Un officier rebel sortit à la rencontre du commandant.

" - Alors, que nous vaut cette visite de courtoisie ? Voulez-vous vous rendre ? Cela serait trop beau...
- Eh bien non, nous vous amenons une personne très spéciale, cette personne souhaite vous parler.
- Bien de qui s'agit-il ?
John sortit du pélican avec les commandos orbitaux. Le commandant qui, au départ se tenait majestueusement droit avait litéralement changé d'attitude.
- Major ?!
- C'est un bien beau vaisseau que vous avez là.
- Si j'aurais su, j'aurais prévu un meilleur accueil.
- Commandant, je désires vous parler.
- Ah ? Bien, allons dans mon bureau. "

Alors que John était en train de suivre le commandant Gordon jusqu'à son bureau. Les marines n'en croyaient pas leur yeux. (This is sparta)

Dans le bureau, John avait sur les bras, le sort d'une bataille. Si cette bataille éclatait, les morts auraient été nombreux. Des morts, il y en a eu assez.

" - Je connais déjà le motif de votre venue.
- Alors vous savez qu'elle décision prendre. Le fossoyeur a reconstitué son armée, il se dirige vers la terre. Votre flotte seule ou la flotte élite seule, ne peut rien face à lui.
- ... Il est déjà ici. Il a pris siège dans le quartier industriel de Final Mombasa. On a pu reconstruire, et cette ville est notre dernier espoir. Il a deja fait des milliers de morts. J'avais de la famille là dedans. Le colonel Bush, ou Monsieur le Président de la Terre comme il veux qu'on l'appele, n'a rien fait pour ceux qui ont perdus leur famille. Alors vous n'avez pas beaucoup à faire pour nous convaincre...
- Je suis désolé. Sincèrement.
- Nous allons vous laisser prendre position, mais les forces marines qui sont au sol, seront intraitables. Des fanatiques, tous.
- Merci.
- Ce fut un plaisir de vous revoir Major. Un foutu plaisir. "

>>>> Dans le transporteur Sangheili <<<<

J'ai appris que le spartan avait réussi à convaincre la flotte humaine de ne pas nous causer d'ennui. Avec cette nouvelle, des centaines de phantoms devait être prêts à décoller direction la Terre, une fois de plus. J'ai également appris la présence du fossoyeur sur cette planête. Il est ici, il tue beaucoup d'innoncents, et leur gouvernement ne fait rien. Le commandant de la flotte humaine a mis son transporteur à disposition pour accueillir touts les civils réfugiés des combats.

J'ai recu le signal de largage, je vais être envoyé sur Final Mombasa en même temps que 500 autres Spec Ops et une cinquentaine de commandos orbitaux qui se sont ralliés à notre cause.
Je suis entré dans mon module de largage, je recu une communication.

" - Content de vous savoir en vie.
- je connais cette voix, tu es l'humain qui m'a aider durant ma captivité sur Terre.
- Exact, et je suis le chef de la plus prestigieuse section d'ASCO. On se reverra en bas.
Puis une communication surprise de R'tas.
- Nol, j'ai une mauvaise nouvelle.
- J'écoutes, au point où on en est...
- Ton fils s'est évadé, il a volé un banshee et est aller dans le quartier contrôlé par le parasite. La prison s'y trouve.
- C'est pas vrai... Pouvez-vous me larguer dans cette zone ? Seul.
- Comme tu voudras. Bonne chance, Thel prendra le commandement des Spec Ops, quand son phantom arrivera. "

Fils... qu'as-tu encore fait... Il faut que j'aille le chercher, il veut retrouver Cilla, mais la prison est dans le quartier industriel. Il va se heurter au parasite. Je ne laisserais pas le fossoyeur le toucher.
J'ai été largué en avance par rapport aux autres. La DCA humaine faisait rage dans le ciel, mais quand je suis arrivé aux limites du quartier infecté, il n'y avait plus rien.

Je suis sorti de mon module à peine il a heurter le sol. Ca fait longtemps que je n'ai pas vu la Terre de si près. La ville était encore en bon etat, mais le sol était jonché de cadavres pas encore parasités. Des hommes des femmes... des enfants. Aucun marines. N'y avais t-il donc personne pour les sauver ? Je marcha, longtemps dans ces rues désertes. J'entendais au loin, les tirs, les morts. Ca me rappeler de mauvais souvenirs. Sur les murs, des messages, écrits avec du sang. "Governement is lyar", "Flood are everywhere", "Where is sparta ?". Ces inscriptions, sanglantes avec des cadavres autour, faisaient froid dans le dos.
Dans une rue tout aussi déserte que les autres, se faisait entendre une radio. Des messages de propagande pour le colonel Bush ainsi que les lois du couvre feu et les annonces des personnes condamnées à mort. C'est ce que la radio passait en boucle.

J'arriva devant une tour, sur un panneau d'affichage était écrit "PRISON". C'est le seul endroit du quartier, où j'ai trouvé des cadavres de marines. J'ai examiné leur cadavres. Des blessures par épée. Je touche surement au but.

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Message  Akamee Jeu 10 Juin - 22:34

Deuxième partie.

>>>> Chapitre 11 : Un ennemi plus puissant. <<<<





La prison était une immense tour. Je m'avanca vers la porte et remarqua une grande à plasma par terre, je la ramassa.

>>>> FLASHBACK <<<<
Sujet : Ez'Nol Akamee
>>>> <<<<

" - Un Élite là ! Le laissez pas approcher ! "

Des tirs de plasmas et d'armes balistiques s'echangerent pendant plusieurs minutes. Certains marines étés balayés par les tirs bleutés du fusil à plasma d'Ez'Nol. Ils furent rapidement éliminés. Ez'Nol continua son chemin, marchant lentement, son arme à la main, ignorant les cadavres de ses ennemis, il ne remarqua pas qu'il avait fait tomber une de ses grenades à plasma.

>>>> FIN DU FLASHBACK <<<<

Ez'Nol est bien là dedans, il faut que je le retrouve, vite. J'ai gardé la plasma avec moi et je suis entré dans la tour. Le rez de chaussée donnait sur un ascenseur. Certains boutons ne fonctionnaient plus, il n'y a que le 8eme étage qui était disponible, je n'eu donc pas le choix et appuya sur ce bouton.

>>>> FLASHBACK <<<<

Ez'Nol entra dans l'ascenseur, appuya sur le bouton du 8eme étage et alluma son épée à energie.

>>>> FIN DU FLASHBACK <<<<

Je me rapproche. L'ascenseur faisait un bruit non rassurant, mais il arriva tout de même au 8eme étage. Je sortit, il y avait plusieurs cellules vides. Puis plusieurs traces de sang. Je les suivies jusqu'à que je tombe sur deux cadavres d'ODST. Je m'approcha, posa ma main sur l'un d'eux.

>>>> FLASHBACK <<<<

Ez'Nol arriva au 8eme étage, l'ascenseur s'ouvrit, un des deux ODST qui avaient capturés Cilla était devant la porte.

" - Toi, ici ?! "

Ez'Nol souleva l'ODST et lui planta son épée, en le laissant retomber au sol. L'ODST, encore en vie, rampa sur le sol, y laissant son sang. Ez'Nol le suivi jusqu'au deuxième ODST.

" - À... à l'aide... "

Ez'Nol acheva l'ODST avec son épée puis l'eteignit. Il s'adressa au deuxième.

" - À ton tour. Dis moi où est Cilla et ta mort sera rapide.
- Tu crois que j'ai peur ? Aller viens te battre. "

Ez'Nol fis craquer ses muscles, et s'approcha de l'ODST, celui-ci commenca par un coup de genou. Ez'Nol agissa rapidement et prit la jambe de l'ODST, il l'a tira fortement, et lui arracha.
L'humain hurla de douleur pendant que son sang se vidait sur le sol.

" - Maintenant dis moi, je peux écourcir cette douleur.
- Ahhh ! Elle... elle est dans la cellule à droite, au fond du couloir.
- Je te remerci. "

Ez'Nol alluma son épée, et donna le coup de grâce au soldat.

>>>> FIN DU FLASHBACK <<<<

Après ces images horrifiantes, je m'engouffra dans le couloir qui était surement la partie de la tour la plus atteinte par le parasite. Je trouva cette fameuse cellule, et trouva le cadavre d'une femelle, certainement Cilla. Une balle dans la tête.

>>>> FLASHBACK <<<<

Ez'Nol coura jusqu'à la cellule. Et vit avec stupeur, la chose qu'il craignait le plus. Cilla était là, assise contre un mur, morte.

" - Non ! Ce n'est pas possible.
Soundain, une voix grave et lente, le fossoyeur.
- Et si... Tu l'aimais...
- Oui... je l'aimai, je voulai la retrouver, la ramener ! Je ressent maintenant tout autre chose...
- La haine... la colère... Tu veux te venger des humains...
- Oui. Plus que tout.
- Je peux t'aider... "

Plusieurs petits parasites entrèrent dans la pièce, l'un d'eux grimpa lentement sur Ez'Nol, puis celui-ci tomba à terre.

>>>> FIN DU FLASHBACK <<<<

Tout devint clair pour moi. J'hurla.

" - Qu'as-tu fait de mon fils, fossoyeur ?!
- Ha ha ha ha ha ha...
- Je vais en finir pour de bon avec toi. "

Je me precipita dans les escaliers, pas loin de la cellule et monta les quelques derniers étages, jusqu'à arriver au tout dernier.

C'était une grande salle, remplie de parasites. Ils s'ecarterent tous en me voyant.

" - Montres toi ! Au lieu d'envoyer tes pantins !
- Non, j'ai envie de m'amuser avec toi. Je vais t'envoyer quelqu'un qui sera content de te voir. "

Une porte s'ouvrit, une chose s'avanca, quand je pus clairement l'apercevoir, je pus constaté que c'étais Ez'Nol... parasité.

" - Non. Non tu ne me feras pas combattre mon fils fossoyeur.
- Dommage, lui est bien décidé à te tuer... "

Ez'Nol alluma son épée, je jeta la mienne.

" - Je ne le ferais pas.
- Eh bien tu vas mourir ! "

Ez'Nol chargea. Je ne bougea pas et encaissa une entaille à la cheville, je posa le genou à terre. Je n'eu pas le temps de manifester ma douleur qu'il enchaina par un coup de genou qui me fis tomber en arriere. Je le vis se tenir debout devant moi, il eteignit son épée, m'attrapa et m'envoya contre un mur un peu plus loin. Le choc me fit vibrer les os, et avant même que je tombe à terre, il etait déjà en train de me frapper. La douleur était si forte que je ne savais même plus d'où venaient les coups. Il me prit et m'envoya encore en arriere, je glissa sur le sol sur plusieurs metres avant de tomber au bord d'une gouffre. Ce gouffre était un trou dans le sol, je ne pouvais pas y voir le fond tellement qu'il était profond.

" - Ha ha ha ha ha... Maintenant, serviteur, achèves le... "

Ez'Nol alluma son épée, se placa au dessus de moi. Je ne pouvais plus bouger le moindre muscle. Je me sentais partir. L'épée descendit lentement à la verticale... Pour s'arreter à un centimetre de mon corps. Le fossoyeur enragea.

" - Quoi ?! Tues le...
Ez'Nol eteignit son épée et la laissa tomber à côté de moi. Contre toute logique, il réussi à parler.
- Adieu, père. "

Il sauta dans le gouffre.

" - Ez'Nol !!!
Le fossoyeur ne put s'empêcher de rire.
- Ah, tout comme son père, faible... fuyant devant la triste vérité... Je vais quand même avoir le plaisir de te tuer moi

même... "

Un tentacule sortit du sol et m'attrape par le pied, j'etais suspendu dans les airs. Un autre apparu et se positionna devant moi, il était aceré. Cette fois, je pense que rien ne pourra me sauver. Je suis perdu. Je ferma les yeux...
Très vite je n'entendis plus les rires incessants du fossoyeur. Je n'entendais plus rien du tout et je vis des choses apparaître.

Trois silhouettes apparues devant moi... Lina, Kilso et Onem.

" - Que se passe il ?
Kilso commenca à parler.
- Alors Nol, on laisse tomber ?
- Pas du tout... Mais je suis seul, et je n'ai plus de forces.
Onem parla à son tour.
- T'en a connu d'autres Nol, tu peux le faire.
- Tu en es sur ?
Lina parla à son tour.
- Tu n'es pas seul Nol, nous sommes tous là, et nous le seront toujours.
Une 4eme forme apparue soudainement... Ez'Nol.
- Allez y père, reveillez-vous et battez vous, comme vous me l'avez appris ! "

Je revint à moi, le fossoyeur était toujours en train de rire. Je lui parla d'un ton sec.

" - Sais-tu qui je suis ?
- Une misérable chose, qui ne pas tarder à rendre l'âme...
- Je suis Nol Akamee, et je ne suis pas si facile à tuer !! "

Je m'empara de l'épée d'EZ'Nol (qui fut la mienne autrefois) que j'avais ramassée quand il l'avais fait tomber, et trancha le tentacule. Je tomba sur le sol et me releva très rapidement. Le fossoyeur ria encore une fois.

" - Tu es seul... et tu vas mourir, seul !
Une explosion fit effondrer un mur et quelqu'un sortit de la fumée que ce mur avait soulevée. C'était Thel.
- Un Sangheili, n'est jamais vraiment seul !
- Ah... Arbiter, je vais pouvoir faire d'une pierre deux coups.
Une autre voix.
- Je suis là moi aussi.
- Rah, ce ne sont pas un spartan et deux sangheilis qui vont me détruire, à eux tout seuls.
Je rejoigni Thel et John.
- Merci d'être venu. Merci beaucoup.
- tu peux toujours compter sur moi Nol. Tout comme je peux compter sur John.
Thel recu une communication venant de R'tas.
- Je t'écoutes R'tas mais fais vite s'il te plaît.
- Il ne faut pas rater cette occasion d'exterminer les parasites, des snipers Kig-yar sont en ce moment en poste de tir autour du bâtiment, ils vont pouvoir vous être d'une grande aide. De plus, des Lekgolo approchent pour vous appuyer. "

Le fossoyeur va devoir maintenant répondre de ces actes de génocides. Il faut en finir, pour tous ceux qui sont tombés. Autant côté humain, que covenant.

Akamee
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Message  Akamee Jeu 10 Juin - 22:34

Deuxième partie.

>>>> Chapitre 12 : Une guerre contre soi-même. <<<<




>>>> Pendant ce temps, en pleine ville <<<<

Les combats font rages dans les rues de Final Mombasa, les humains s'entretuent. Nous retrouvons l'ODST commandant des forces rebelles.

" - Tenez la cadence de tir avec les mitrailleuses, vous 3 aller en renforts près de la tour de l'église, il faut couvrir notre sniper !
- Lieutenant, ils ont encore des renforts !
- Je le vois bien soldat, mais on les éliminera tous ! Continuez de tirer ! "

Les balles sifflaient tout autour, des grenades jettées sur le champ de bataille, puis des bruits, des cris, du sang... L'horreur de la guerre, bien présente ici. On entendais des soldats, étendus sur le sol, en plein milieu d'une rue.

" - Il a le foie touché ! Apportez de la morphine !
- Impossible, l'infirmier s'est fait descendre !
- Et merde !
Un autre soldat chez qui les organes sortaient litéralement du corps.
- Maman !! Maman !! Ahhhhhh.... "

Toutes ces horreurs, touts ces morts, il y avait là des centaines de cadavres. Chaque camp se battait pour la victoire, mais en continuant ainsi, personne ne l'aura. La victoire, sera amère. Une mitrailleuse rebelle était stationnée dans un immeuble et plombait l'angle d'une rue, cela offrait un repit aux soldats panqués derriere des gravas, mais après quelques secondes de calme, l'immeuble en question s'effondra après avoir reçu ce qui semble être un obus. L'ODST s'intterogea.

" - Quoi encore ?!
- Scorpions !!! Barrez-vous de là ! En seconde ligne !
En effet, les scorpions ne tardèrent pas à rappliquer, écrasant rapidement les gravas de la premiere ligne. Le lieutenant se metta à couvert derriere la troisieme ligne.
- Soldat lance roquette, au rapport et que ça saute.
- Lance roquette au rapport, deux scorpions ? On va voir testé leur blindage.
- Armé. Feu !
La roquette partit mais ricocha sur le scorpion pour s'écraser sur un bâtiment. Le soldat en tira une deuxième qui celle ci fit mouche.
- Réarmement. Deuxième scorpion à 25° sur la gauche, roquette armée. Feu !
Le soldat n'eut pas le temps de s'executer qu'une balle de sniper se logea dans son crâne.
- Tireur embusqué ! Dit un soldat inquiet.
L'ODST désigna un autre soldat.
- Vous ! Ramenez vous ici et prenez ce lance roquette !
Le soldat approcha mais fut propulser à quelques metres par une grenade.
- Et merde ! Un soldat pour ce lance roquette putain !
- Vous êtes malade, on perds tout nos hommes, on se replis !
- Alors repliez-vous je vais le faire moi même.
L'ODST prit le lance roquette sur l'épaule, visa et tira sur le scorpion. Mais l'arme ne fonctionnait plus.
- Manquez plus que ça...
Il sortit de la ligne de défense tout en abattant l'artilleur du scorpion, courut vers celui-ci, évita de peu un obus et sauta dessus.
- C'est un emprunt les gars.
Il tira dans la fente qui servait de visière au conducteur avec sa mitraillete, du sang jallissa de cette ouverture. Il prit ensuite le contrôle du char.

Pendant ce temps, dans la tour de l'église, le sniper faisait merveilleusement bien son travail grâce à son coéquipier.

" - Sniper, cible à 8 heures, près de la voiture en flamme !
Un coup de feu se fit entendre.
- Cible à terre... Sniper, défilement de 8 soldats près de ce reservoire de gaz.
Le tireur explosa la citerne en un seul tir provoquant la mort inévitable des 8 ennemis.
- Joli.
Une balle atteignit le rebord de la fenêtre.
- Putain il a failli m'avoir, Sniper ! Tireur ennemi dans le bâtiment à 1 heure, dernier étage côté gauche, 4eme fenêtre.
Tout aussi rapidement et efficacement.
- Il nous causera plus d'ennuis celui-là.
- Tu l'as dis, Sniper, passage d'un scorpion ennemi juste en dessous, butes l'artilleur.
Le tireur d'exeption tua l'artilleur et le scorpion s'arreta.
- Tiens, il s'arrete ? La balle à traversée le blindage et tué le conducteur ?
- Aucune idée.
Le coéquipier vit le canon du scorpion se lever jusqu'à pouvoir viser la tour.
- Bordel... COUCHES-TOI !! "

Le char tira un obus qui fit effondrer la tour, le duo n'a pas pu survivre à cela. Au sol, les rebelles se firent en partie ecraser par les débris. De son côté notre ODST se faisait plaisir avec son nouveau joujou. Il détruisait des warthog et délogeait les marines dans les bâtiments. Mais recu une roquette sur la chenille droite qui lâcha. Le char ne pouvait plus avancer. Les marines encore en vie, prirent les initiatives.

" - Rendez-vous ! Vous êtes cerné ! Sortez les mains sur la tête ! "

Le lieutenant quitta le véhicule les mains sur son casque, il avanca, les marines s'approchèrent et formèrent un cercle. Le soldat de choc en profita pour se baisser tout en dégainant deux mitraillettes et tira en tournoyant sur lui même. Des cadavres tombèrent. Il coura dans un bâtiment en ruine, grimpa sur des débris pour arriver aux restes d'un étage ravagé et regarda par un trou gigantesque dans le mur, les combats qui n'avaient pas diminués en intensité.

>>>> Scènes au ralenti <<<<

Dans les débris des maisons, des soldats des deux camps qui se battaient maintenant à coup de crosse et de poignard. Certains rebelles et marines, rampants dans les rues, certains assis contre un mur en train de pleurer. Il y avait ceux qui désertaient...

>>>> Retour en vitesse normale <<<<

Quelqu'un arriva derriere le lieutenant, il l'entendit et sortit son poignard.

" - Doucement monsieur, ce n'est que moi.
- Ah... Je ne vous avais pas remarqué.
- Pourtant, toute la section est ici.
- je veux leur parler. "

La section était dehors, ils avaient l'air fatigués, certains baissaient la tête, le moral bas. L'ODST s'approcha et leur parla.

" - Soldats... C'est pas ce qu'on fait au quotiden, n'est-ce pas ? Combattre les notres... Mais nous n'avons pas le choix. À l'époque, le gars qui désertait son poste, je l'aurai cloué en prison, mais maintenant, dans un combat comme celui-ci. Si vous voulez partir, allez y, je ne vous retient pas. Mais sachez, que ici, dans cette ville, nous nous battons contre la tyrannie, pour notre liberté, pour la liberté de nos familles. Vous savez ? 4 millions. 4 millions, c'est le chiffre des citoyens que cette ordure de Bush à fait executer. 1 200. Ce chiffre signifie les hommes, les femmes et les enfants qui ont pérris dans le quartier industriel sans qu'aucun marines ne vienne à leur secours. Maintenant que vous connaissez la cause pour laquelle nous nous battons, que ceux qui veulent combattre jusqu'au bout, me suives. "

Il marcha sur quelques metres puis se retourna. Sur les 15 soldats de l'escouade, 15 étaient là. Ils parlèrent chacun leur tour.

" - Pour la liberté chef.
- Toujours présent.
- Soldat, au rapport.
- Prêt à mourir, monsieur.
- Alors quand c'est qu'on bute Bush ?
- Je vous suivrais jusqu'à la mort.
- J'ai perdu ma famille, j'ai plus rien à perdre Lieutenant.
- Donnez moi une arme et je reste.
- Vous ne vous débarrasserez pas de nous comme ça chef.
- Pour la liberté.
- Ouais, pour la liberté.
- Pour la liberté.
- Pour la liberté. Pour la vie.
- Pour la liberté, je répond présent.
Ne restait plus que le sergent, le second de l'escouade.
- Je vous suivrais toujours Lieutenant.
L'ODST étais fier de ses hommes. Il leur montra en remontant sa visière. Les soldats se mirent tous au garde à vous.
- Alors, allons y messieurs. "

Le groupe marcha dans les rues jonchées de cadavres, d'épaves... Impossible de compter les cadavres, soit il y en avait trop, soit ils n'en restaient que des morceaux. Ils arrivèrent près d'un bâtiment en bon etat.

" - Sergent.
- Oui, lieutenant ?
- On a une troupe de marines là dedans, on va essayer de faire le moins de morts possible, charge explosive sur la porte, lampe torche et demande de rédition.
- Ok vous prenez qui ?
- Jackson, Mellish, Fields, et Robert. On entre à droite et on vérifie les salles du même côté.
- ca me va. "

Les groupes se placèrent sur les côtés d'un mur, et le fit sauter avec du C4 (à l'ancienne). Ils entrèrent et se déployèrent rapidement. Les marines étaient en train de diner, ils étaient en treillis et avaient leurs armes à proximité. Les "dialogues" commencèrent.

" - Jettez vos armes, jettez les au sol !
- Mains sur la tête, jettez vos armes !
- Toi là, jettes ton putain de flingue ! "

Les marines sous pression, obéissèrent, ainsi que touts les autres du bâtiment. Une trentaine de prisonnier. Avancants dans les rues, par colonnes, les mains posées sur la tête. Des pélicans vinrent les cherchers et les amenèrent dans les vaisseaux rebelles pour les déséquiper completement.

Côté marines, ca ne se passait pas comme ça, à chaques que des rebelles étaient capturés, ils étaient alignés contre un mur, et abattus.
Le sergent vint parler au lieutenant, pendant que l'escouade se reposait.

" - On a éliminer les principales poches de résistance dans la ville. Le palais présidentiel et le dernier endroit sûre pour Bush.

Il n'a plus que quelques marines non expérimentés. Il a fait abattre un officier pour chaque bâtiment perdu, il a dut en perdre beaucoup. Il devient fou, il donne des ordres à des armées qui n'existes plus.
- Une fois débarassé de lui, je prendrai la tête de l'armée, et je releverais l'humanité, comme ma famille l'a toujours fait.
- Nous croyons tous en vous Lieutenant Hood.
- Putain de bataille, James. Sacré putain de bataille... "

Dans un coin, des marines, et des rebelles, fumaient ensemble. Ils se comparaient leurs blessures, parlaient de leurs familles, faisaient un concours de qui avait plus belle femme. Enfin ça c'etait pour les quelques vieux. Les marines, étaient majoritèrement composés de jeunes. Comme l'a si bien dit l'ODST-C123 Patrick Hood, une sacrée putain de guerre...

Akamee
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Message  Akamee Jeu 10 Juin - 22:34

Deuxième partie.

>>>> Chapitre 13 : Un tyran s'éteint, un autre nous menace. <<<<







>>>> De retour dans la tour de la prison <<<<

John, Thel et moi, nous sommes réunis dans un côté de la salle, les parasites emplissaient celle-ci. Le fossoyeur, qui riait depuis avant leur arrivée, apparut soudain sous une toute autre forme. Il avais la taille d'un chasseur, mais l'apparence d'un humain. Il sauta très haut, si haut qu'il causa un trou dans le plafond. Un tentacule m'attrapa pour m'y amener, nous étions sur le toit de la tour. J'entendit Thel, à l'étage en dessous.

" - Tiens bon, nous allons te rejoindre.
Le fossoyeur répliqua
- Pas question, je vais vous occuper le temps de tuer Akamee, j'irais vous finir après...
- Tes floods ne peuvent rien.
- Oh j'ai un serviteur qui sera ravie de te voir, Arbiter...
Une brute parasitée apparut soudainement, il tenait un marteau qui ne ressemblait pas aux autres. Il alla rejoindra l'étage inférieur.
- Quoi ?! Tartarus, ici ?... Bien, cela ne peut me faire que plaisir de le tuer encore une fois.
Le fossoyeur ria encore une fois de sa voix grasse et lente.
- Quant au spartan... Il y a tellement de mes esclaves qui veulent le tuer... Je vais tous les envoyer. "

Il se tourna vers moi et s'arracha le bras qui se reforma aussitôt, son bras devint une genre de masse d'arme faite de matière parasitée, elle avait quelques pics de métal un peu partout. J'enclencha mon épée et nous nous regardâmes, quelques secondes...
Je jeta un rapide coup d'oeil sur mon épée, elle était déjà devenue d'un noir intense. Un noir entouré de légers éclairs bleutés.

Je sentais cette energie traverser mon bras en me picotant, J'entendis soudainement la voix d'Ez'Nol dans ma tête.

" - Nous sommes deux à manier cette épée, père, je suis votre fer de lance. "

Je fût sortit de mes pensées par le fossoyeur qui chargea rapidement sur moi, j'esquiva sa masse en me baissant, avec une arme pareille ces mouvements en étaient ralentis, mais la vue de l'arme à quelques centimetres de ma tête me terrifia. Je me repris en main et essaya d'éloigner sa masse avec mon épée. Je fût consterné de voir que ma lame ne pouvait pas trancher cette matière. Plus encore quand j'ai senti mon bras revenir vers moi, il était plus fort. Je méloigna en reculant, lui avancait en riant. Il s'elanca tout à coup d'un bond sur moi en envoyant sa lourde massue pour essayer de m'avoir. Par reflexe, je saisissa le manche de l'arme et profitant de la force du coup, pûs me retrouver sur son dos. Je lui planta rapidement l'épée qui traversa son corps facilement.

Je pensais l'avoir calmé mais il se laissa tombé en arriere, m'écrasant litéralement sur le sol. Il se releva facilement, moi avec plus de dificultés, mon épée était encore plantée sur son dos, hors d'atteinte pour moi.

" - Alors, est-ce la fin ? "

Je ne répondis pas, je tenais à peine sur mes jambes tremblantes, ma vue était trouble. Pour lui prouver que je ne m'avouais pas vaincu, je lui donna un coup de poing, il ne le sentait quasiment pas, je le savais. Il ria, tout en souleva sa masse lentement, il l'a fit repartir de bas en haut jusqu'à qu'elle atteigne ma tête. Le coup fût violent, je tomba à terre rapidement, j'avais mal à la tête, ca resonnait à l'intérieur. J'essaya de me relever, je ne pouvais pas, je tennait sur mes genous et mes coudes, mes forces m'avaient quittées. Je vis s'abattre à côté de moi la masse d'arme, colorée de mon sang, je pouvais y voir mon reflet. Il me manquais une partie de mon casque, mon oeil droit était visible et le reste de cette partie du visage entièrement recouverte de sang.

À travers le trou dans le sol, je pûs apercevoir les combats qui se déroulaient en dessous, Thel, encore plus en difficulté se faisait massacrer par Tartarus, les coups de marteau se faisaient entendre. John avait moins de difficultés avec les parasites mais ils étaient toujours en surnombre, il ne devait plus avoir beaucoup de munitions. Ma vue se troublait de plus en plus, mes yeux se fermaient puis se réouvraient... Je m'écroula litéralement sur le sol, la tête regardant les immeubles alentours, détruits, parasités, puis plus loin, des explosions... Je commencais à partir, peut être pour de bon, les rires de mon ennemi invaincu seraient la derniere chose que je puisse entendre ?

Non. Une explosion détruisit toute la largeur d'un mur à l'étage inférieur, mes yeux se réouvrairent. Je pûs apercevoir plusieurs phantoms et des nuées de drones qui se rapprochaient. Puis les communications s'allumèrent.

" - Les drones vont occuper les parasites, vite entrez !
- Pas question, le fossoyeur, nous devons l'éliminer !
- Je sais Thel, justement, vitrification dans 2 minutes... "

R'tas était très sérieur, en effet, le transporteur apparut dans le ciel, il commencait à charger son rayon. Dans mes ultimes forces je me leva. Les autres étaient déjà à l'intérieur, couverts par les canons à plasma, un phantom avait s'était arrêté au bord du toit, je me dirigeai vers lui, en boitant, me tennant l'épaule gauche à l'aide de mon bras droit. Le fossoyeur marcha vers moi, je le savais du fait de la sensation de ces pas lourds sur le sol. Mais des dizaines de drones arriva de front pour l'occuper avec leurs rafales de plasma. J'étais à quelques metres du phantom, j'allais y entrer...

" - NOOOOON !!! "

Un tentacule sortit encore une fois du sol et transperca litéralement le phantom qui en perdant de l'altitude explosa en plein air. R'tas semblait inquiet dans les communications.

" - Nol ! J'espere qu'il te reste de quoi faire une chose suicidaire dans tes forces. Mon phantom va larguer un banshee en plein air.
- Vas y... au point où j'en suis... "

Le phantom s'approcha au maximum de la tour et lâcha le banshee au passage, quant à moi, je me laissa tomber du haut de la tour, et ramena mes bras le long du corps pour aller plus vite. J'eus le temps d'entrer dans le banshee et de la démarrer, plutôt que de m'écraser lamentablement au sol. Je rejoigni l'altidude du toit, les phantoms faisaient les manoeuvres d'évacuations, je tenta de faire de même mais un tentacule s'empara du réacteur gauche du banshee.

" - R'tas, j'aurais besoin d'aide, il est coriace.
En effet, le tentacule me rapprochait du bord.
- Rah bon sang, on a 30 secondes, passez moi ce canon à combustible !
R'tas se mit en position sur la rampe droite du phantom, visa et tira un combustible qui, après avoir frolé mon banshee, désintegra un morceau du tentacule qui lacha son étreinte.
- Merci, finissons en avec lui. "

Mais en regardant sur l'écran arrière, je pus apercevoir qu'il s'était déjà débarassé des drones et commencait à quitter le toit.

Les canons à plasma étaient en surchauffe, nos drones, morts, et le temps de rotation pour mon banshee, trop elevé. Il allait s'enfuir et tout sera à recommencer. Je regardait impuissant le fossoyeur se diriger vers le bord de la tour, puis au moment de le voir disparaitre, une explosion le frappa.

" - On veux aussi le descendre le fossoyeur les gars !
C'était la voix du Lieutenant Hood.
- Pas faché de vous entendre l'ami, vous nous amenez des renforts à ce que je vois. "

En effet, en regardant plus bas, des dizaines et des dizaines de char scorpion et dans les airs, le plus gros nombre de hornet jamais vu. Étrangement, des rebelles ET des marines se battaient côte à côte contre le fossoyeur. Les explosions ne le détruisaits pas mais le forcait à rester sur la tour qui commencait à s'écrouler de part en part. R'tas reparla.

" - 5 secondes, c'est fini ! "

>>>> Scène au ralenti <<<<

Sur ces mots, la tour s'écroula, emportant le fossoyeur dans sa derniere chute. Il eu le temps de dire son dernier mot.

" - NOOOOOOOOOOOOOL !!!!!! "

Et le dévastateur rayon de vitrification le frappe de plein fouet, emportant la zone alentour de la tour. Cette lumière était aveuglante. Les floods qui étaient hors d'atteinte, explosaient touts seuls, sans leur chef, ils n'avaient plus qu'a disparaître.

>>>> Retour en vitesse normale <<<<

Je suivais la formation des phantoms pendant que le transporteur éradiquer toute présence parasite du quartier. J'accrocha le banshee au phantom et y entra. John, Thel et R'tas admiraient le spectacle.

" - Tu as pensé aux souvenirs Thel ?
- Un marteau, quoi de plus beau comme souvenir d'un ennemi coriace. Et toi ?
- Ma vie, la deuxieme chose la plus précieuse pour moi.
- Quel en est la premiere ?
- Une personne à qui je dois annoncer une triste nouvelle. Bon, c'est fini.
- Pas totalement.
- R'tas ?
- Le colonel Bush. Il s'est enfermé dans son palais présidentiel, un palais remplit de civils. Pire encore, avant notre venue, il a fait venir dans son palais, toutes les têtes nucléaires humains existantes. Il ne va pas nous laisser approcher, si nous le faisont, la planête entiere partira en poussière. "

Qu'avons nous perdu sur Terre ?

Il y a des années, j'y ai perdu mes amis. Aujourd'hui mon fils. Cette guerre qui semble tournée autour de moi, fait beaucoup de ravages, tant de sang a déjà coulé. Des victimes par milliards, des armées décimées, des familles déchirées. Tout cela, alimente une guerre sans merci, et la guerre... la guerre ne meurt jamais.
Cette guerre est la mienne, peut être s'arretera elle, le jour de ma mort ? Qui sais...

Je l'ai dit et je le dirais. Vivre cette guerre ou y mourir, le choix, est vite fait...

Akamee
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