[Halo] Nol Akamee, vivre cette guerre.

Fin de la deuxième partie.

>>>> Chapitre 14 : La paix, ne dure jamais. <<<<



Dans le phantom, nous étions calmes. Nous avions "gagnés", mais, la victoire sans perte n'existe pas... Le fossoyeur a subit un lourd jugement des faits qu'il a commit, tant de morts...

Il nous restait un objectif, Bush. Ce fou était assi sur des milliers de bombes et pouvait les faires sauter en un clin d'oeil.

Pas de pause, le soleil se couchait et nous devions opérer de nuit avec le Lieutenant Hood. Je regardait par terre, je me regardais dans une tâche de sang, ce sang qui coulait encore de mon visage. R'tas apparut dans la tâche, je leva la tête.

" - Tu devrais changer de casque, il ne vas plus te protêger celui-la.
J'enleva mon casque et le laissa sur le lanca à l'autre bout de la soute.
- Pas le temps, je vais me débrouiller sans.
- Comme tu voudras, ce sera une grosse opération et nous sommes 5. Toi, Thel, Hood, notre démineur, et moi. D'après nos renseignements, autant que les marines l'ait abandonné, Bush est entouré de sa garde personnelle, 75 hommes.
- Comment allons nous atteindre Bush alors ?
- Il va falloir trouver un moyen de passer.
- On fonce...
- Il a une dizaine d'otages avec lui, il en tuera à chaque fois que nous ferons 10 metres. Je pense plutôt que nos amis humains vont faire diversion à l'exterieur, le temps d'occuper la majorité des gardes, nous pourrons alors nous infiltrer dans le palais et arriver discretement jusqu'à la salle présidentielle.
- D'accord, nous ferons comme cela. "

Le pilote nous informa que nous allions arriver. À bonne distance du palais le phantom s'arreta et le pélican de Hood le rejoigna.

Après un petit transfert, Hood était avec nous, dans le phantom qui continua vers le palais en se rendant invisible.

" - Ok, alors le plan. Votre pilote va se poser discretement sur le côté Ouest du toit du palais, l'attaque de diversion aura lieu côté Est, nous déscendrons au dernier étage et continuerons à descendre jusqu'au 5eme, Bush se trouve ici, au centre du palais. Des questions ?
Le soldat démineur en avait une.
- On a nos camouflages, mais vous ?
- T'as quoi dans tes yeux ? T'as pas vue que j'ai la tenue d'un garde présidentielle ? "

Ce plan me paraissait bon, le pilote nous prevena une nouvelle fois de notre arrivée. Nous nous sommes tous levés, j'ai voulu prendre mon fusil à plasma mais Hood intervint.

" - Pas question, prenez plutôt ses mittrailletes à silencieux.
- Bon... on aura au moins droit à nos épées, ou c'est contre tes règles ?
- Si tu sais rester discret, ca me va. "

Je pris donc l'arme proposée et sortit en dernier du phantom. J'avais quelques crampes mais c'était assez insignifiant. Nous activâmes nos camouflages et suivit Hood à l'intérieur. Après quelques metres, j'entendis R'tas me murmurer.

" - Nol, tu laisses du sang partout...
- Encore heureux qu'il me reste du sang... "

Hood nous arrêta dans un couloir, il faisait un signe de la main vers un angle de mur, une camera semblait nous suivre. Soudain la porte d'un segment de couloir que nous venions de quitter se referma et un écran s'alluma, montrant Bush, sur son trone.

" - Je suis bien content de vous voir, desactivez vos camouflages voyons, cette camera a une vision thermique.
Nous désactivâmes nos camouflages et remarquâmes qu'il n'avait en réalité pas d'otages. Hood commenca à parler.
- C'est fini Bush, vos marines ne croient plus en vous, vos citoyens ont étés évacués ou tué par les flood sans aucune aide de vous.
- Fini ? Ah ! Tant que j'aurais le doigt sur ce bouton rouge, rien se sera jamais fini ! Si je ne peux pas avoir la Terre, personne ne l'aura, maintenant, adieu ! "

L'écran s'eteignit et des gardes arrivèrent, ils étaient armés principalement de matraques electriques et de magnum. Nous sortîmes nos armes et, prêts à l'engagement, nous nous sommes dispersés dans cet étroit couloir.
Nous nous attendions à un combat mais un étrange bruit nous fit tourner la tête vers le plafond. De l'eau en sortait et la deuxieme porte du segment se refermait. Autant surpris que nous les gardes étaient pile en dessous du conduit d'où sortait l'eau, et furent litéralement écrasés par les torrents qu'ils en sortaient. Nous avons vite courus vers l'autre côté du segment avant que la porte se referme, Hood était le dernier, il s'est laissé glisser sur le sol et nous a rejoins juste avant que la porte ne se referme. C'était juste, Hood se releva.

" - Voyez, voyez comme il sacrifie ses hommes !
Thel constata.
- Il faut mettre fin à ça, allons y. "

Avancant prudemment, nous avons progressés dans les couloirs déserts, nos camouflages n'étant plus utiles. Dehors la diversion tenait toujours les gardes sur les côté Est du bâtiment.

Au bout de quelques couloirs et escaliers, nous avons réussi à rejoindre la salle où se trouvait Bush. Elle était ornée de diverses engin explosifs lourds reliés par de gros cable à une seule bombe, gigantesque. Il y avait seulement 2 gardes dans la salle. Bush nous accueilla.

" - Bravo, vous avez réussi à arriver jusqu'ici, quoi de plus merveilleux que cet endroit pour y entreposer vos cadavres ? Quoi qu'il en soit, bienvenue dans ma demeure, comme vous le voyez, j'ai ici, sous ma main, un bouton, que se passera t-il i je le presse ?
- Trève de plaisanteries Bush, soyez courageux pour une fois, et ramenez vous ici !
- Ici ? Mais votre sang va ruiner mon sol mon cher Hood.
Rt'as provoqua l'humain, mauvaise idée.
- Vous n'êtes pas assez courageux pour combattre un membre de votre race, vous n'oserez pas activer cette bombe. "
Sans parler, d'un geste reflexe, Bush se leva en appuyant sur le bouton, il fit signe à ses gardes.
- Tuez-les ! "

Les 2 gardes, misérables avancèrent vers nous. En parfaite synchronisation, Thel et R'tas en soulevèrent chacun un en leur plantant leur épées. Distrait par cette courte scène, je n'avais pas remarqué que Bush était en train de partir, j'en averti les autres.

" - Bush s'enfuit, rattrapons le !
Puis Hood intervint à nouveau.
- Non, occupez vous de la bombe, il est à moi. "

Puis il est parti à sa poursuite. Nous nous sommes dirigés alors vers la bombe, c'était un gigantesque amas de metal, avec un compteur rouge sur le milieu, le compteur affichait 1:48:30 (précis). Le démineur commenca, pendant des secondes interminables, à examiner l'engin. R'tas s'enerva.

" - Alors démineur ?! Ca fait 15 ans que vous faites ce métier !
- J'ai jamais touché à ça moi ! Bon, du calme, je crois qu'il faut relier ce fil... avec celui la...
La bombe emetta un "bip" et le démineur fit un bond en arriere.
- Le décompte s'est acceleré. 15 secondes !
R'tas poussa un hurlement.
- RAAHH, écartez vous !!
R'tas donna un coup de pied puissant dans l'engin, le faisant reculer d'au moins 20 centimetres, puis, "bip".
- Relevez-vous démineur, le décompte bouge plus.
- Quoi ?! Incroyable votre pied si vous me le permettez. "

Après tout cela, nous avons tous beaucoup ris, sauf bien sur le démineur, qui lui a été doublé dans son travail.

>>>> Du côté de Hood <<<<

En suivant la trace de Bush, Hood arriva sur le toit, le tmeps avait changé, il y avait une tempête au dessus de la ville, on entendais, en plus des coups de tonnerre, les cris de guerre de dizaines de milliers de rebelles, marines, civils, attaquants le palais de leur dictateur. Dans le noir de la nuit, Hood ne voyait quasiment rien.

" - Ecoutez bien Bush, c'est fini, ecoutez les, c'est le peuple que vous avez délaissé, il est là pour vous ! Vous avez le choix, soit vous ME combattait, soit vous LES combattais ! Quoi qu'il en siot vous êtes piègé ! "

Un long silence, c'est tout ce que recolta Hood. Le seul bruit présent était celui de la pluie, tombant abondemment sur le toit métallique de l'édifice. Puis après un puissant éclair, Hood vit en face de lui, son ennemi foncer vers lui avec une barre de fer.
Puis s'en suivie une chaîne d'éclairs révelant les combat qui se passait. Hood se baissa pour éviter un coup et donna un coup de pied dans les côtes de Bush, celui-ci, répliqua rapidement en lancant sa barre de fer vers le visage de Hood qui l'esquiva grâce à un grand reflexe. Mais étant coriace, le dictateur se jetta sur le héros qui fut plaqué sur le sol. Le bruit de l'armure de garde fit un bruit infernal sur cette surface metallique. Hood à terre, Bush debout, il lui donna quelques coup de pied, avant de tomber à son tour par un croche pate astucieu. Dans sa chute, Bush fit tomber son pistolet qui glissa sur quelques metres avant de se retrouver bloqué par le bord du toit. Les deux combattants l'ont vu. L'eau qui coulait fortement sur ces tois, les empechas de se relever en vitesse alors le président avanca à quattres pattes, mais sa jambe fut tirée en arriere par Hood qui ne l'entendait pas de cette façon. Celui-ci reçu un coup de pied nous prévu dans le menton. Bush continua à avancer prudemment vers le pistolet, et réussissa à l'atteindre, il se releva mais quand il se retourna, Hood était aussi debout à côté.

" - Maintenant, c'est fini ! "

Hood donna un uppercut à Bush qui tomba en arriere, Hood le ratrappa, lui mit une grenade dégoupillée dans la poche et le laissa tomber par dessus le toit. L'explosion se fit entendre. Hood regarda en bas, puis marcha du côté Est de la batisse, il grimpa sur le rebord du toit, ou le drapeau figuratif de la tyrannie de Bush était posé.

>>>> Au sol <<<<

Les combats faisaient rages. On ne parlaient plus de "marines contre rebelles" mais de "peuple contre tyrannie". Les chars des combattants du peuple synchronisés leurs tirs sur la ligne défensive de la garde présidentielle qui eux ripostaient avec de l'artillerie fixe. Tout ces tirs mélangés faisaient un vacarme assourdissant, il fut pourtant écourta par le son du cri d'un humain venant du haut, c'était Hood. En bas, plus personne tirait, ils regardaient tous vers le haut.

" - Regardez ! C'est le lieutenant Hood !
- Que se passe t-il ?
Puis, quand touts les projecteurs furent redirigés sur le toit, LA chose se produisit... le drapeau tomba. Hood qui tenait son arme vers le ciel, cria donc.
- Le colonel Bush, est TOMBÉ !
Et plus bas, les cris.
- Ouais !!!
- Hourra !!! "

Et les gardes qui sortirent de leur ligne de défense, les armes sur le dos, certains jettaient leur insigne de garde présidentiels. Puis, la marée humaine, des centaines de milliers d'hommes, coururent vers le palais, suivant un jeune soldat qui avait un tout nouveau drapeau à la main, un drapeau symbolisant la liberté. Partout sur les balcons du palais, encore plus sur le toit, il y avait des gens faisant la fête. Les Élites avaient débarqués certains soldats pour profiter de cette fête commune. Dans le ciel, les parades de centaines de pélicans et de phantoms, l'orage avait laissé sa place à un ciel étoilé et coloré de divers feux d'artifices. La Terre avait retrouvée sa liberté.

>>>> De retour dans la peau de Nol Akamee <<<<

" - Aller Nol, encore un verre ?
- Je crois que ca suffira Hood, c'est mon 8eme et toi tu ne tiens plus debout. De toute facon, nous allons partir, j'ai été content d'aider à cette libération. Je vous souhaite une vie prospere, à tous. "

Je rejoigna le phantom, j'etais le dernier. J'entra, les autres étaient assis. Je m'adressa à Thel.

" - Eh bien, Hood ne voulait pas me lâcher avant que je finisse mon 9eme verre.
- J'ai eu droit à 12 verres j'ai battu John la dessus.
- Haha ! Esperons que l'alcool ne les tues pas tous, ce serait dommage.
R'tas sortit du cockpit.
- Bon, direction le transporteur. Direction chez nous. Là bas, 2 verres vous suffiront pour dormir.
- C'est tout ? lui demanda Thel.
- C'est moi qui paie la tournée... "

Enfin, la paix, un mot très rare. Nous allons retrouver une vie normale, je connais un soldat qui raconte sa vie à chaque mission.

Il a pas longtemps il a dit que s'il s'en sort, il ouvrirait un club privé sur Sangheilios. Je me demande s'il a toujours la même idée... Mais bon, Krana me tuera si elle me voit dans un club en train de draguer.

Krana. Il faut que je lui annonce, ce sera dur.

>>>> Épilogue : Il a vécu cette guerre <<<<



>>>> Sur Sangheilios <<<<


Cette guerre, a fait beaucoup de morts. Je dis cette guerre, car la vie est une guerre. Au début je pensais qu'une seconde guerre avais éclatée et qu'elle allais vite se terminer. Elle s'est revelée être la suite de la première. De notre côté, des enterrements, beaucoup... Pendant toutes ces années de batailles et de sang tombé, j'ai perdu mes amis, j'ai perdu, une partie de ma famille. Sur certaines plaines, vides au départ, l'on peut maintenant voir des milliers de tombes.

Parmis ces tombes, parmis ces morts, Kilso Moramee, mort en 2552, Terre. Lina Inderee, morte en 2552, Terre. Onem Inderee, mort en 2570, Doisac.

Puis, après quelques couloirs parcourues, un peu plus haut dans la plaine, une tombe sur laquelle tant de larmes ont coulées. Ez'Nol Akamee, mort en 2571, Terre. Il était jeune, trop jeune pour mourir.
En temps de paix, ce sont les fils qui enterrent leurs pères, en temps de guerre... les rôles sont inversés. Maintenant la paix est revenue, pour combien de temps ? J'ai beaucoup vieilli depuis que je suis dans l'armée. Peut être dois-je prendre ma retraite.

Je fût sorti de mes pensées par des portes titanesques qui s'ouvrèrent devant Thel et moi. Thel me regarda.

" - Allons y. "

Puis nous franchîmes ces portes qui débouchaient sur une salle immense, nous avons marchés l'un à côté de l'autre sous les ovations de dizaines de milliers de personnes. Au bout de ce chemin, au centre de la salle, se trouvait R'tas ainsi qu'une table où étaient entreposées deux armures.
Nous nous sommes arretés devant R'tas, les ovations ont céssées et il a prit la parole.

" - Nol Akamee.
Je m'avanca.
- Pour tant d'années au service de notre peuple, pour tant de combats qui semblaient perdus d'avance et qui ne vous ont pas arretés, pour avoir sauvé, non seulement les notres, mais aussi nos plus chers alliés. Voici l'appogé de votre carrière, vous êtes élevés au rang Zélote, mes félicitations.
- Merci.
- C'est nous tous, qui te remercions Nol.
Je fis un pas en arrière pendant que les ovations reprennaient avant de césser de nouveau.
- Thel Vadamee.
Ce fut à son tour d'avancer.
- Thel, quand tu as du vetir cette antique armure, qu'est celle de l'Arbiter, une partie de toi, est morte. Cette partie, peut à présent réssuciter, nous avons toujours crus en toi, et... à titre personnel, j'en ai marre de commander tout ces vaisseaux tout seul.
- Merci R'tas, cela me touche vraiment. "

Puis cette fois sans arrêts, les ovations reprirent en intensité, resonnant dans toute la salle. Mon oeil était attiré par ce casque doré, scintillant... mon casque. Finalement, la retraite semble encore lointaine.

>>>> Du côté de la Terre <<<<

" - Vice Amiral... euh... Vice Amiral ?
- Hahaha, appelez moi John bon sang Horvath. (Horvath est le sergent du chapitre 12 de la 2eme partie, il est devenu Major)
- Bien Vice... Ok John, Patrick Hood vous attend pour les festivités.
- Je suis prêt.
- Votre armure repeinte en blanche ? Ca va bien avec la casquette, Hmpf, excusez moi.
- Tu peux rire, tu peux rire. "

Les deux hommes se dirigèrent alors vers le bureau de l'Amiral Hood. Celui ci se leva et mis une main sur l'épaule gauche de John.

" - Le blanc te va bien dis moi.
- T'es sure ?
- Affirmatif, tu entends ?
- Combien de spectateurs ?
- Sous le balcon ? 80 000. Dans la ville ? Plusieurs millions... Eh ! J'ai tenu ma promesse : pas de cameras.
- M'ouais... bah on y va alors. "

Après avoir ouvert la porte du balcon, les cris de joies des milliers de citoyens de Final Mombasa réunis dans les rues, se faisaits entendre. Certains habitants étaient montés sur les toits. Des pélicans civils étaient en stationnement dans les airs.

L'Amiral s'appuya sur le rebord du balcon, appuya sur un bouton qui fit sortir trois micros dirigés vers lui.

" - Mesdemoiselles, Mesdames, Messieurs.
La foule se calma.
- Nous voila réunis, tous ensemble, ici dans la plus grande métropole de notre belle planête qu'est la Terre, pour célebrer le fait que TOUT CA C'EST FINI ! Souvenez-vous, il y a si longtemps, nous avions à peine quelques mauvaises nouvelles nous provenants de Reach, puis après, cette rapide invasion de notre Terre. Puis quand tout cela fût fini, grâce au courage de nos marines, de nos alliés, les élites, et de notre cher Vice Amiral John 117... qui se cache derriere la porte, après tout cela, alors que notre peuple semblait plus que jamais déterminé à reconstruire. La dictature en a pris le contrôle. Contrairement à ce que l'on disait d'eux, les marines tentaient bien plus que mal à renverser ce gouvernement. Je promet, nous promettons tous, nous, l'êtat major, que plus jamais, la vie humaine, ne sera traitée de cette façon.

Puis les ovations, les mouvements de foules, il y avais vraiment Mombasa entière dans les rues.

- Merci à tous de croire en nous ! Bien... je crois que John ne nous fera pas de commentaires, John ? Allons, tu n'est pas si timide que cela face à tes ennemis... Bon d'accord... Nous allons pouvoir passer au défilé chers citoyens. "

L'amiral s'installa sur son balcon puis quelques secondes plus tard, alors que tout le monde regardait vers le ciel, des centaines de pélicans et de chasseurs passèrent en vagues de formations complexes. Puis un peu plus haut les en ordres de passage des flottes, les frégates et des vaisseaux de plus en plus gros, passèrent pendant deux longues heures. Cela fini, les citoyens durent laisser un passage dans la rue principale pour le passage des forces terrestres.
Les marines semblaient plus fiers que jamais, les scorpions qui avaient surement étés nettoyés au maximum.

Puis après une demi heure de passage, plusieurs marines mirent en place une zone de sécurité, l'amiral s'interroga.

" - Tiens je n'étais pas au courant de cela John... John ? "

Puis en regardant vers le ciel, il vit des nacelles d'ODST arriver sur cette zone sécurisée, 5 ODST sortirent et se mirent en position autour d'une 6eme nacelle. Puis le spartan sortit de cette nacelle.

" - Ce John, il m'etonnera toujours...




>>>> This is the end <<<<

Woah, ya du boulot.

En tout cas, après avoir lu les deux premiers chapitres, j'ai trouvé ça intéressant, mais je peux pas tout lire aujourd'hui, je m'y mettrai mieux demain, par exemple.